Pour l’instant, on ignore les causes des explosions ayant entraîné l'incendie de deux exemplaires de la Renault Zoé le mois dernier. Peut-il y avoir un lien avec le problème de batterie ayant entraîné un rappel en début d'année ?
Une vue de détail de la Renault Zoé dans sa dernière version, qui vient de disparaître au profit de la nouvelle 5 E-Tech Electric.
D’après les rares statistiques disponibles pour l’instant sur le sujet, les voitures électriques ne brûlent pas davantage que les autos thermiques. En 2022, la société d’assurance américaine AutoInsuranceEZ révélait même que d’après ses chiffres, les voitures électriques avaient 61 fois moins de chance de brûler que leurs équivalents thermiques.
Un autre cas la même semaine en France !
Mais ce n’est pas tout : une autre Renault Zoé a également explosé le mois dernier en France. A Meyssac, en Corrèze le 16 mai, alors que le véhicule était garé sur le parking d’un restaurant. Là aussi, le pare-brise a été retrouvé loin de l’auto et la voiture a entièrement brûlé après une grosse détonation.
Dans les deux cas, il n’y a heureusement eu aucun blessé. Mais les accidents paraissent quand même graves et nécessiteront assurément une enquête approfondie sur les exemplaires en question. Il se trouve que Renault avait justement rappelé des exemplaires de la Zoé en mars dernier pour un problème de batterie pouvant entraîner un incendie, mais le modèle ayant explosé à Blagnac n’était pas concerné par cette campagne de rappel d’après sa propriétaire qui dit avoir vérifié auprès du concessionnaire.
Abonnement à la Newsletter
