Le starter de 7h00

En Formule 1, les plus riches ne sont pas les pilotes

Si les salaires de Max Verstappen ou de Lewis Hamilton atteignent des sommets, ils ne valent rien à côté de ceux du cadre d'écurie le mieux payé de la Formule 1. Ce dernier est même devenu milliardaire !

Toto Wolff, le directeur de l'écurie Mercedes-AMG en Formule 1, est beaucoup plus riche que tous les pilotes.

Toto Wolff, le directeur de l’écurie Mercedes-AMG en Formule 1, est beaucoup plus riche que tous les pilotes.

Les pilotes de Formule 1 gagnent très bien leur vie. Même dans les écuries les moins en vue, les salaires dépassent très souvent le million d’euros annuel. Dans les équipes de pointe, les pilotes multiplient ce chiffre par plusieurs dizaines : Lewis Hamilton et surtout Max Verstappen, pilote le mieux payé actuellement, dépassent largement les 30 millions d’euros chaque saison. De quoi évidemment se constituer de jolies fortunes personnes et, souvent, un beau garage bien garni en machines intéressantes.

Mais il ne faut pas chercher du côté des pilotes pour trouver les revenus les plus élevés dans le monde de la Formule 1. Selon le magazine Forbes, le directeur de l’écurie Red Bull Christian Horner peut se targuer d’un joli capital lui aussi grâce à ses dix millions d’euros de salaire annuel. Surtout, son adversaire Toto Wolff vient carrément de devenir milliardaire d’après la même source. Grâce à ses 33% de parts dans l’écurie Mercedes-AMG désormais valorisée 3,8 milliards de dollars, l’Autrichien serait « riche » de 1,5 milliard d’euros s’il revendait immédiatement sa participation dans l’écurie !

Bernie Ecclestone, le plus connu des milliardaires de la F1

Même si cette fortune reste théorique sachant qu’il ne peut pas la toucher sans vendre ses parts de l’écurie Mercedes-AMG F1, Toto Wolff n’est pas le seul homme devenu milliardaire en Formule 1. Bernie Ecclestone, le plus célèbre d’entre eux, possédait un peu moins de trois milliards d’euros sur son compte en banque en 2023 d’après le magazine Forbes. A l’origine du fort développement médiatique de la Formule 1 à partir de la fin des années 80, il ne possède plus les droits commerciaux de la Formule 1 (depuis l’arrivée de Liberty Media en 2016) qui l’ont rendu si riche.

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