Il faudra probablement patienter au-delà de la rentrée prochaine.
Lors de sa première allocution en tant que candidat à sa propre succession en mars dernier, le Président de la République Emmanuel Macron avait fait de la transition énergétique l’une de ses priorités, et avait avancé l’idée de sa volonté de permettre à un certain nombre de Français d’accéder plus facilement à l’achat d’un véhicule électrique.
“Cela s’adresse aux Français qui en ont le plus besoin”, a indiqué la ministre, qui a évoqué deux catégories “qui paraissent incontestables : ceux pour qui le véhicule est un outil de travail” comme “les infirmières libérales” et “ceux qui n’ont pas les moyens de passer à un véhicule propre parce qu’il est trop cher aujourd’hui sur le marché”.
100 000 personnes concernées ?
“Aujourd’hui, les premiers chiffrages qui ont été faits, très rapidement, c’était de l’ordre de 100 000 personnes”.
Il faudra cependant patienter encore quelques mois pour voir cette mesure mise véritablement en pratique, Agnès Pannier-Runacher ayant répété que ce ne serait “pas pour tout de suite”, et qu’il faudra probablement patienter au-delà de la rentrée prochaine.
“Parce que notre objectif est très clairement d’avoir un dispositif qui soit actionnable immédiatement lorsqu’il sera mis en œuvre”, a conclu la ministre, qui a ajouté que ce dispositif ne sera probablement pas prêt “pour le mois de septembre.”
