MotoGP - Grand Prix du Portugal 2023 : découvrez le programme de la première course sprint de la saison !

Découvrez le programme de la première course sprint de la saison, celle du Grand Prix du Portugal 2023, ci-dessus.

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Samedi prochain, à l’occasion du Grand Prix du Portugal 2023, manche d’ouverture de la saison, se tiendra la première course sprint de l’histoire du MotoGP ! À la différence de la F1, cette épreuve sera organisée durant chaque week-end de Grand Prix et n’aura aucune incidence sur la composition de la grille de départ de la course. La course sprint permettra cependant aux neuf premiers de marquer des points : 12, 9, 7, 6, 5, 4, 3, 2 et 1. Avec ce nouveau format, l’objectif de la Dorna Sport, détentrice des droits commerciaux et de télévision du MotoGP depuis 1992, est bien évidemment d’apporter davantage de divertissement au championnat. Seulement, les courses sprint divisent…

The #MotoGP family picture just got a little ✨ cooler ✨ #PortugueseGP 🇵🇹 pic.twitter.com/pKKfuHB54h

— MotoGP™🏁 (@MotoGP) 23 mars 2023

Pour ou contre ?

De son côté, Jack Miller adhère complètement à l’intention et à la stratégie de la Dorna. “Je suis super excité qu’on ait les courses sprint cette année, pour secouer un peu les choses et offrir un show supplémentaire aux fans le samedi. Et pour nous, les pilotes, c’est excitant aussi. Le MotoGP est resté inchangé pendant cinquante et quelques années, et le fait d’avoir un changement aussi radical et d’être là pour vivre ce changement, c’est génial. Il va y avoir des questions, mais je suis sûr qu’après une ou deux courses, il n’y en aura plus et que tout le monde adorera les courses sprint. Je suis sûr qu’il va y avoir des gens qui préféreront les courses sprint par rapport aux courses principales !”, a-t-il déclaré. Et si l’Australien est visiblement très enthousiaste, certains de ses camarades se montrent bien plus craintifs, comme Fabio Quartararo, qui redoute que ce nouveau format ne fasse qu’intensifier le rythme effréné auquel les pilotes sont d’ores et déjà soumis. “Je ne suis pas fan. En faire quatre, cinq ou six dans l’année, pourquoi pas, mais je trouve que c’est un peu nul sur toute la saison. Au niveau des blessures, on n’est pas dans une voiture, on peut tomber très facilement, par exemple dès le premier virage lors d’un départ. Il y a déjà énormément de courses, on en rajoute 21 et ça fait donc 42 départs. Et le plus gros risque, c’est au départ, donc c’est difficile de voir ça comme une amélioration”, a-t-il confié.