Seres distribue pour le moment deux voitures dans l’hexagone, mais la marque ambitionne d’aller beaucoup plus loin avec trois nouveaux modèles afin d’exporter à terme 500 000 exemplaires de Chine.
Alors que certains modèles chinois commencent à s'installer confortablement sur notre marché, d'autres rêvent de pénétrer avec succès le Vieux Continent. En voici quelques-uns à Munich.
Longtemps, personne n’a bien pris au sérieux les constructeurs chinois. Mais à Bruxelles, comme à Paris trois mois plus tôt, ils exposent des gammes de plus en plus intéressantes.
Bon à savoir : anticiper l’achat et la revente. Intérieur moderne… ou presque Gourmand et pas encore abouti Bon marché ...
La fin d’année est l’occasion de jeter un coup d’œil dans le rétro. Chaque jour pendant cette période des fêtes, les journalistes de la rédaction de Caradisiac vous font part de leurs enthousiasmes et de leurs coups de griffes. Aujourd’hui, Michel Holtz, éditorialiste et chroniqueur, vous livre son top/flop 2022.
Ora, BYD, Vinfast, Seres, Wey, vous ne connaissez sûrement pas ces marques, pourtant il va falloir s'y habituer car ces constructeurs ont massivement investi la Porte de Versailles afin de s'attaquer au marché français.
Émanation du chinois Dongfeng, la marque Seres se lance à l’assaut de l’Europe et de la France avec le Seres 3. Ce SUV compact 100 % électrique, rival du MG ZS EV, partage avec son compatriote un positionnement tarifaire agressif. Le ticket d’entrée est fixé à 33 990 € hors bonus.
Seres continue progressivement sa pénétration sur le marché français. Après le 3, c'est au tour maintenant du 5 de faire ses débuts.