Nouveau venu dans la téléréalité mécanique, cette série raconte les aventures d'une bande d'entrepreneurs américains qui vont récupérer des épaves au Mexique pour les rapatrier, les restaurer et les revendre. La différence entre ce concept et ceux qui existent déjà ? Des cactus et un zeste d'exotisme.
ceci n’est pas un vieux pick-up rouillé et à l’anadon, mais un futur collector.
La rénovation de vieilles autos semble devenir un genre à part entière dans la déjà longue histoire de la téléréalité. Un genre ou Netflix a commencé à s’engouffrer avec Les mécanos de Rust Valley ou Car Master, alors que nombre de chaînes traditionnelles s’en étaient déjà emparées, à l’instar de Vintage mecanic en France. Imaginerait-on François Allain, l’animateur de l’émission hexagonale, coiffé d’un Stetson et de santiags en croco ? C’est un peu l’idée de ce Tex-mex motors disponible sur Netflix depuis le 9 juin.
Une Cox mexicaine revisitée façon buggy : un passage obligé.
Une femme mécano dans un genre télévisé très très très masculin, voilà qui mérite d’être souligné.
Une fois tapé dans la main du vendeur, et après lui avoir lâché quelques dollars, Rabbit repart vers le Texas, en passant la douane, ce qui n’est pas toujours une sinécure dans ces contrées. La suite de ce Tex mex motors est plus classique. L’ancienne est restaurée, avec ce qu’il faut de ratés et de déconvenues pour créer quelques rebondissements avant d’arriver à une fin, et une auto resplendissante et vrombissante qui va faire plusieurs heureux : un client ravi de son acquisition et la team de Rabbit, ravie de son bénéfice.