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VIDEO - Citroën C3 et ë-C3 (2024) à l'essai : premier verdict express

Nouveauté, Electriques, Citadines, CitroënLe 06/06/2024 à 08:00, modifié le 06/06/2024 à 08:26

Pour ceux qui auraient raté le renouvellement de la Citroën C3, il n’y a aucune erreur ni illusion d’optique : voici bel et bien la quatrième génération de la citadine des Chevrons ! Plus grand-chose de la silhouette rondouillarde de la toute première C3 née en 2002… Nous avons désormais affaire à un petit SUV “de poche”, d’un gabarit toujours extrêmement réduit (4,01 m, donc plus court qu’une Renault Clio ou une Peugeot 208), inspiré par le concept Oli découvert fin 2022. De toute manière, il est désormais admis qu’une citadine opère sa mutation en mini-baroudeur (de façade évidemment, aucune prétention tout-terrain).

Développée sur une plate-forme inédite, d’abord destinée aux marchés émergents (et optimisée pour l’Europe), la C3 opère un repositionnement un peu délicat : concurrencer Dacia sur son terrain du rapport prix / prestations, sans pour autant verser dans le low-cost. Le mot n’est même jamais prononcé chez Citroën, où l’on parle plutôt de simplification, de rationnalisation… La C3 démarre ainsi à un prix d’appel particulièrement serré, à 14.990 € en essence 100 ch (l’évolution en principe fiabilisée du 3 cylindres 1.2 Puretech). A titre de comparaison, une Sandero GPL démarre à 14.250 €.

Quant à la version électrique ë-C3 qui arrive simultanément, son prix d’appel de 23.300 € (avant bonus de 4.000 €) en fait l’électrique la moins chère du marché, devant la Dacia Spring… avec une fiche technique d’un autre niveau (113 ch, batterie de 44 kWh) et en principe, des qualités routières autrement plus modernes. On confirme, après nos premiers tours de roues : au volant, la C3 est toujours une authentique Citroën, confortable et rassurante, et certainement pas bâclée. Doit-on y voir un futur carton commercial, en essence comme en électrique ? L’essentiel à retenir en vidéo, avant l’essai détaillé.

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