Les citadines électriques se multiplient en Chine, et Dongfeng vient se mêler à la fête. Pour l’occasion, voici la nouvelle marque Nammi. Deux nouveautés par an sont au programme.
C’est une habitude sur le marché chinois. Pour conquérir une nouvelle niche du marché, les constructeurs créent de nouvelles marques. Voici à présent Nammi, au sein du groupe Dongfeng. En chinois, le nom est « 纳米 », (Nami), qui signifie nano. Dans la constellation du groupe de Wuhan, elle sera rattachée à la division Aeolus, tout comme eπ qui sera prochainement présentée. Les marques haut de gamme Voyah et Mengshi sont pour leur part gérées de façon indépendante.
400 000 ventes dans deux ans
C’est désormais un grand classique depuis les débuts de Lynk&Co en 2017, les modèles de Nammi sont simplement numérotés et le premier sera la Nammi 01. Une citadine de 4,00 m de long et 1,84 m de large, qui entrera en concurrence directe avec les BYD Seagull et Dolphin, JAC EV3, Ora Cat ou Wuling Bingo. Sur le plan du style, les médias chinois l’ont rapidement comparée à la Smart #1, en particulier pour le traitement de son pavillon, que la Smart a toutefois emprunté à l’Opel Adam…
À bord, Dongfeng n’a montré que la version haut de gamme avec planche de bord et panneaux de portes habillés d’imitation cuir matelassé. Les écrans devraient être standardisés à toutes les versions, avec un grand écran central et un mini-compteur (5 pouces ?) face au conducteur.