Les États-Unis ne sont plus un eldorado pour les marques européennes. Elles vont devoir s'adapter aux tarifs syndicaux, et voient leurs ventes baisser dans un pays pourtant essentiel à leur chiffre d'affaires.
Les représentants de l'industrie et de la distribution se sont retrouvés à Bercy ce lundi matin pour signer un accord sur l'électrification de la filière. L'objectif, ambitieux, consiste à multiplier par 2,5 le nombre de voitures électriques en 2027, le tout avec des aides à l'achat constantes.
Carlos Tavares n’aime pas les voitures électriques mais il demande à l’Europe de continuer à les promouvoir. Il veut lutter contre les marques chinoises tout en s’associant à l’une d’elles. Et il critique le coût indécent de la Formule 1 tout en recevant ses 36 millions d’euros de salaire. Pas facile de le suivre !
Conforté par les excellents résultats du groupe Stellantis en 2023, son directeur général a plus que doublé sa rémunération pour l'année dernière. Il devrait toucher au total 36,5 millions d'euros.
Pour la première fois, des automobilistes se mobilisent pour défendre le garage ou ils ont l'habitude d'acheter leurs voitures et de les entretenir, en l'occurrence, la succursale DS, Citroën et Peugeot du 15e arrondissement de Paris. Une enseigne du groupe Stellantis que ce dernier entend fermer, faisant fi de ses clients, de son histoire et de son prestigieux fondateur : Émile Darl'mat.
Le boss de Stellantis suscite toujours autant de rumeurs. Après celle de la fusion de son groupe avec Renault, surgit celle de sa succession. Et qui serait le mieux placé pour le remplacer si ce n'est le patron du losange ?
Après un succès que Bercy n'avait pas vu venir, le leasing social s'est arrêté. Dans la foulée, le ministère a annoncé un bonus 2024 racorni. Du côté de Stellantis, en revanche, pas de diète, avec 18,6 milliards de bénéfices pour l'exercice de l'an passé.
À l’occasion de la publication des résultats 2023 de Stallantis, Carlos Tavares a accordé un entretien à quelques médias dont Caradisiac. L’occasion de commenter l’actualité française, comme l’arrêt brutal du leasing social, mais aussi d’évoquer la conjoncture à venir et même son éventuelle succession en 2026.
Avec un bénéfice de 18,6 milliards d'euros pour 2024 et une marge opérationnelle de 12,8 % : tout va pour le mieux dans la galaxie de 14 marques. Mais les chiffres auraient pu être encore plus spectaculaires sans le léger fléchissement américain de l'automne dernier.
Le salon Rétromobile bat son plein jusqu'à demain soir. On y découvre des merveilles qui font polémiques, des sportives de rêves et des autos moins chères. Loin de la Porte de Versailles, le patron de Stellantis nourrit et laisse courir les rumeurs sur d'éventuelles fusions à venir.
Les prochaines échéances électorales, européennes et américaines, sont scrutées de près par l'industrie automobile. Son avenir est peut-être lié aux choix des électeurs lors des consultations de juin dans l'Union, et de novembre aux États-Unis. Explications.
Le patron du groupe Stellantis a peur que les élections à venir au sein de la Commission européenne et aux Etats-Unis n’entraînent d’importants changements de stratégie sur l’électrification du parc automobile mondial.
Le groupe dirigé par le Français Carlos Tavares change totalement sa stratégie en Chine. Stellantis devient actionnaire de la marque Leapmotor à la hauteur de 21% et possèdera les droits de vente de ses voitures en dehors de la Chine. Oui, Stellantis prévoit de vendre des voitures chinoises en Europe !
À l’occasion de la publication des résultats, exceptionnels, de Stellantis au premier semestre, son patron Carlos Tavares a discuté avec quelques médias, dont Caradisiac, pour faire le point sur la situation actuelle, et future, de son groupe.
Cette batterie assure aussi les fonctions de chargeur et d'onduleur, et les modules lithium-ion peuvent être remplacés indépendamment les uns des autres en cas de défaillance. Arrivée sur le marché prévue "d'ici la fin de la décennie."
Renault affiche des résultats pour le moins encourageants au premier semestre, dans un contexte qui reste inquiétant pour toute l'industrie automobile.
Le groupe s'apprête à investir dans la production et le déploiement d'un aéronef, le Midnight de chez Archer Aviation. Cette « voiture volante » va-t-elle un jour intégrer le catalogue de Stellantis comme Opel, Peugeot ou Citroën ? Rien n’est moins sûr.
Après Renault il y a quelques jours, c'est au tour du groupe Stellantis d'annoncer de bons résultats au premier trimestre.
Les actionnaires du groupe Stellantis vont émettre leur souhait sur le salaire de leur grand patron, qui pourrait atteindre 23,5 millions d'euros. Seulement, ce vote ne reste que consultatif.
Fort d’un chiffre d’affaires net de 179 milliards € et d’un bénéfice net de 16,8 milliards € engrangé en 2022, le groupe Stellantis se porte bien. De bons résultats qui vont encourager le recrutement de 1 200 personnes en France en 2023.
La mobilité électrique "accessible" se fera, mais probablement dans un délai bien plus long que celui espéré par le pouvoir politique.
Le patron français du groupe Stellantis pourrait finalement toucher 23,5 millions d’euros de salaire pour l’année 2022. De quoi lui permettre de rester le patron le mieux payé du CAC40 ?
Selon le Directeur général de Stellantis, il faut notamment se préparer à un "combat terrible" avec les constructeurs chinois.
Le CES de Las Vegas représente le premier grand rendez-vous automobile de l'année. Peugeot et BMW y seront particulièrement scrutés.
Rattachée au groupe Renault en 1999 par Louis Schweitzer, le patron du constructeur au losange de l'époque, la marque d'origine roumaine est une vraie success-story, qui suscite beaucoup de jalousie. Dernier exemple en date, Carlos Tavares, Directeur Général de Stellantis, qui réfléchit à importer des Citroën fabriquées en Inde afin de concurrencer la Spring de chez Dacia.
Quand Toyota, le premier constructeur mondial avance vers l‘électrique à tous petits pas et que Volkswagen, qui lui dispute le titre, ralentit la cadence, tous les autres se posent des questions. Et si le marché n’était pas prêt ? Et si les politiques changeaient d’avis ? Et si on revenait à la case départ ? Et si on trouvait d’autres solutions ? Et si, et si…
D’après le patron de Stellantis Carlos Tavares, il serait actuellement trop coûteux de construire des voitures électriques en Europe. Il préférerait les fabriquer en Inde.
Après la visite d’Emmanuel Macron ce lundi au Mondial de l’Auto de Paris, le gouvernement annonce aujourd’hui de nouvelles aides publiques pour la filière automobile française afin d’atteindre l’objectif fixé, de produire deux millions de véhicules électriques par an en France en 2030, et de décarboner le parc auto français.
Interrogé ce matin sur France Info, Carlos Tavares, le patron du groupe multinational Stellantis prédit une baisse drastique des prix des voitures électriques. Selon lui, dès 2026, les voitures électriques pourraient même être moins chères que les véhicules thermiques.