Plusieurs conducteurs n’ont pas pu mettre du carburant dans leurs voitures à cause d’un problème avec les terminaux de pompes à essence automatisées dans le pays.
C’est un jour qui revient tous les quatre ans mais qui peut être accompagné de mauvaises surprises. En Nouvelle-Zélande, le 29 février n’a pas été de tout repos pour certains conducteurs. En cause, un problème avec les pompes à essence automatisées. Souhaitant faire le plein, ils n’ont pas pu payer leur carburant car le logiciel utilisé par les terminaux de paiement des pompes à essence “n’a pas su se calibrer sur le fait que nous sommes le 29 février”, a expliqué Julien Leys, porte-parole de Gull New Zealand, l’une des sociétés affectées, au New York Times.
Invenco, autre entreprise qui a connu des dysfonctionnements, a précisé qu’il s’agissait d’un problème ponctuel, causé par une mise à jour logicielle effectuée lors de la pandémie de coronavirus. Bien que ces terminaux de paiement soient utilisés dans plus de 100 pays, la Nouvelle-Zélande a été le seul affecté.
Problèmes logiciels
Les problèmes avec les logiciels sont pourtant courants lors des années bissextiles. Outre les pompes à essence en Nouvelle-Zélande, le jeu de course Sports WRC d’Electronic Arts a planté au démarrage à cause de la date, obligeant l’éditeur à conseiller aux joueurs de changer la date au 1er mars sur leur console pour pouvoir jouer.
En France, des rues parisiennes ont été privées d’éclairage public dans la nuit du 28 au 29 février à cause d’un bug informatique lié à l’année bissextile.