- Moins d’anti-dépresseurs et d’anxiolotiques
- Les associations de «vélotafeurs» pulullent
- Le vélotafeur n’est pas au dessus des lois
Une femme se rend au travail à vélo, à Paris.
Moins d’anti-dépresseurs et d’anxiolotiques
Se rendre au travail à vélo est ainsi synonyme d’une meilleure santé mentale comparé aux autres modes de transports urbains… C’est ce que suggère une publication scientifique l’International Journal of Epidemiology – une publication de l’Université d’Édimbourg. L’analyse a porté sur près de 380.000 personnes de 16 à 74 ans. On apprend ainsi que la baisse de prescription d’antidépresseurs et d’anxiolytiques est évaluée à 15% environ chez les cyclistes… Ou encore que la présence d’une piste cyclable près de chez soi pousse à se mettre au vélo.
Les « vélotafeurs » – c’est le nom que l’on donne aux actifs qui se rendent Au travail ! à vélo sont de plus en plus nombreux. Les entreprises encouragent d’ailleurs aussi, dans ce même mouvement, leurs salariés à effectuer leurs trajets vie personnelle – vie professionnelle à vélo… Quand c’est possible, évidemment ! Les collectifs et associations sur ce sujet, sur cette cause sociétale même – pullulent…
Les associations de «vélotafeurs» pulullent
Un rappel nécessaire vous avez raison. Il faut remettre l’église au centre du village. Les cyclistes ont la réputation de ne pas être très respectueux du Code de la route, des feux tricolores, et parfois insensibles aux autres… On le sait chaque cliché porte en lui une part de vérité… Et il suffit en effet d’observer les vélos dans les rues, sur les boulevards, pour se convaincre de la vérité partielle de cette idée reçue.
Le vélotafeur n’est pas au dessus des lois
La Cour de cassation a rappelé récemment que même s’il ne dirige pas un engin à moteur, le cycliste demeure responsable des accidents qu’il cause. Sur le fondement classique de la responsabilité civile. Que sa santé mentale soit meilleure que celle des autres – ou pas – le vélotafeur n’est pas au-dessus des lois !