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BMW série 1 : une vraie bonne voiture ou un ordinateur sur roues ?

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BMW série 1 : une vraie bonne voiture ou un ordinateur sur roues ?

De profil, les lignes ont très peu changées.

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A l’intérieur, on profite de la dalle entièrement numérique et de tout un tas de technologies embarquées.

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La série 1 F70 garde le même châssis que sa prédécesseur.

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A bord, une motorisation micro-hybridée de 170 ch.

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La Série 1 a un volume de coffre de 300 L.

La BMW série 1 fonctionne très bien chez nous. Après le X1, c’est tout simplement le modèle du constructeur bavarois le plus vendu en France. Le 25 juillet dernier nous découvrions ensemble sur cette chaine, la nouvelle génération de la berline compacte, la F70 pour les puristes. Pour la rentrée, il est temps désormais de prendre le volant du modèle et d’affronter le froid d’Autriche. Nous allons donc voir ensemble si cette nouvelle série 1, avec son nouveau moteur essence micro-hybridé de 170 ch et ses nouvelles technologies embarquées est aussi plaisante à conduire qu’annoncé et si elle tient toutes ses promesses.

Un extérieur légèrement modifié

Niveau style, la BMW série 1 a quelque peu évolué. La face avant est beaucoup plus sculptée que sur l’ancienne génération. Le bouclier est plus marquée et la ligne du capot est plus plongeante. La calandre s’étire sur les cotés et arbore un nouveau design avec des barres verticales et obliques. Plus donc de gros double haricots sur la berline. Bon à savoir, la technologie BMW Iconic glow, qui permet de bénéficier d’un contour de calandre éclairé arrivera sur le modèle en début d’année prochaine. Sinon, seule la version 135 Xdrive à une calandre différente et exclusive.  Les phares à LED sont de série et décomposés en deux éléments, pour donner une nouvelle signature lumineuse au modèle. Au global le rendu est moins agressif, mais donne un style plus aérodynamique et plus fluide au véhicule.Une fois de profil, sur notre modèle d’essai, nous n’aurons pas le droit au toit noir en option. En revanche, le petit badge M présent sur l’aile avant nous indique que l’on est en présence d’une finition M Sport. Sinon, notre BMW série 1 est équipée de jantes en alliage léger de 18 pouces, pouvant aller jusqu’à 19 pouces en option. Avec la finition d’entrée de gamme, les jantes sont de 17 pouces. Juste dessous, nous pouvons apercevoir les étriers de freins du système de freinage M Sport.
Par rapport à l’ancienne génération, il n’y a pas beaucoup de changement au niveau des lignes. Le pan de Hofmeister, cette petite forme géométrique au bout de la vitre latérale arrière, présente sur presque toutes les voitures du constructeur, n’a pas été oublié par les designers et il se pare, cette fois-ci, d’un petit 1 pour évoquer le nom du modèle. Enfin au passage, les vitres se arborent désormais d’un contour noir de série sur le modèle.

Plus de sortie d’échappement

A l’arrière, le bouclier est beaucoup plus proéminent et imposant. Un style qui convient mieux à un SUV plutôt qu’à une berline. Au passage, les sorties d’échappement ont disparu. Elles sont désormais cachées sous la carrosserie pour notre motorisation. Les feux ont été redessinés. Comme à l’avant il donne une nouvelle identité visuelle en deux parties et comme sur l’ancienne génération, ils viennent déborder sur l’aile arrière. Sur la malle de coffre, on a bien l’appellation 120 qui nous rappelle la motorisation essence que nous avons aujourd’hui, car oui, le petit “i” que l’on retrouvait après les chiffres habituellement, par exemple, la 18i ou la 20i a disparu au profit des motorisations électriques chez le constructeur, pour plus de clarté.

Un intérieur bourré de technologie

A l’intérieur, grâce à notre finition M Sport, nous avons le droit à des sièges en similicuir très confortables. Idem pour le volant, muni aussi de palettes pour gérer la commande de boîte. L’ambiance lumineuse est agréable sans être trop envahissante. Mais là où BMW joue sa carte maîtresse, c’est dans sa technologie embarquée. Aujourd’hui, beaucoup d’automobilistes achète ou loue une voiture d’abord pour son interface, sa connectivité, ses gadgets et ses ADAS. Et ça, le constructeur l’a bien compris et a mis le paquet !La BMW série 1, par rapport à l’ancienne génération, propose de nombreux équipements dès l’entrée de gamme. Sur le tableau de bord, nous retrouvons une dalle entièrement numérique. Nous avions déjà pu la voir dans d’autres modèles du constructeur. Elle est composée de deux écrans, un en face du conducteur de 10,24 pouces et un écran de contrôle un peu plus à droite qui mesure lui 10,7 pouces. Le tout est opéré par l’Operating System 9, le dernier en date de BMW. Pour les moins à l’aise avec la technologie, il faudra malheureusement passer par l’écran central pour gérer la grande majorité des commandes.
De série le modèle embarque un park assist dernier ci, des sièges chauffants la climatisation automatique, un système d’alarme, des rétroviseurs extérieurs rabattables électriquement, une Personal e-SIM, des aides à la conduite imposé par la norme GSR2, la connectivité Apple CarPlay® et Android Auto™ ainsi que le BMW Live Cockpit Plus comprenant le système de navigation basé sur le cloud BMW Maps. ça fait beaucoup, et surtout, ce sont des équipement que l’on retrouve sur une i5. Le bémol vient du coffre, qui perd 80 L d’espace de chargement par rapport à l’ancienne génération, pour atteindre au total 300 L.

Une conduite digne d’une BMW

C’est une fois au volant que la BMW série 1 nous montre qu’elle n’est pas qu’un ordinateur sur roues rempli de gadgets. Dans les routes de montagnes d’Autriche, la berline offre un réel plaisir de conduite. Elle est fidèle à l’intention du conducteur et à son regard sur la route. La direction est précise et le moteur a du répondant. Il s’agit de l’association d’un 3 cylindres de 156 ch et d’un moteur électrique situé dans la commande de boîte. La motorisation est couplée à une boîte automatique steptronic à 7 rapports avec double embrayage.
Niveau châssis, cette nouvelle génération reprend celui de la F40, mais la structure a été renforcée et est mieux rigidifiée. Avec notre finition M Sport, nous avons aussi le droit à des étriers de freins spécifiques. Ils assurent beaucoup de mordant lors des phases de freinage. Enfin la nouvelle BMW série 1 propose une conduite autonome de niveau 2 bien pratique dans les bouchons.

En conclusion, la nouvelle BMW série 1 est une très bonne voiture. Même si certes, au niveau du tarif, nous pourrions croire qu’elle se met des bâtons dans les roues avec une entrée de gamme pour notre motorisation à 38 950 €. Pourtant, les nouvelles technologies présentes à bord et ses prestations de conduite peuvent justifier cette augmentation de prix. Et en réalité, à puissance quasiment équivalente avec son 20i de 178 ch, l’ancienne BMW série 1 n’était pas proposée bien moins cher. Et par rapport à la concurrence des autres constructeurs premiums allemands, elle est dans les prix. Le lancement est prévu pour le 5 octobre prochain.

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    Crédit photo : BMW

    De profil, les lignes ont très peu changées. A l’intérieur, on profite de la dalle entièrement numérique et de tout un tas de technologies embarquées. La série 1 F70 garde le même châssis que sa prédécesseur. A bord, une motorisation micro-hybridée de 170 ch. La Série 1 a un volume de coffre de 300 L.

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