L’ultime Chiron, littéralement, vient de sortir de l’usine alsacienne. Une robe unique bien sûr, qui rappelle la toute première du nom et évoque les lieux qui ont compté dans « la vie » du modèle
Auto – L’ultime Chiron, littéralement, vient de sortir de l’usine alsacienne. Une robe unique bien sûr, qui rappelle la toute première du nom et évoque les lieux qui ont compté dans « la vie » du modèle
On retient d’abord que cette « L’Ultime » est basée sur une version Super Sport (1,600 ch, poupe allongée de 25 ch, poids réduit de 23 kg), habillée dans un dégradé des bleus French Racing et Atlantic. Comme sur la toute première Chiron, mais le dégradé est inversé. Le macaron Bugatti au centre de la calandre est également bleu, tout comme le cuir et le carbone de l’habitacle.
Manuscrits
Mais la touche unique, ce sont toutes ces choses qui semblent avoir été écrites à la main sur la carrosserie. Il y a le logo « #500 », évidemment, et surtout le nom de multiples lieux qui comptent dans l’histoire de la Chiron.
Le (défunt) salon de Genève, les concours d’élégance de Chantilly, Goodwood, Dubaï, le Nürburgring, ou encore Ehra-Lessien, la fameuse piste d’essai du groupe VW, ou la Bugatti a été la première voiture au monde à franchir la barre des 300 mph (482,8 km/h).
Et tandis que la Chiron tire sa révérence, il n’y a plus long à attendre avant de découvrir sa remplaçante, que Bugatti dévoilera d’ici quelques semaines.
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