Simultanément, les deux groupes ont dévoilé leurs résultats trimestre ce qui concerne Renault, et leurs prévisions annuelles pour Nissan. Et si ce dernier accuse un coup de moins bien, le Français se porte parfaitement bien. Une situation inversée par rapport à ce qu'elle était il y a quelques années encore.
Auditionné par le Sénat, le Président du conseil d'administration du groupe Renault a répété que le losange basculera bien dans le tout électrique d'ici 2030, ce qui ne sera pas le cas de toutes les marques du groupe.
Dans une lettre ouverte, Luca de Meo exhorte le futur parlement européen à accompagner l'industrie automobile dans les défis énergétiques à venir. Le directeur général du groupe Renault plaide notamment pour le développement de petits véhicules électriques accessibles inspirés des Kei Cars japonaises.
Les deux constructeurs japonais ont décidé de s'allier pour partager une future plateforme électrique. Les prémices d'une nouvelle super-Alliance ou plutôt une uniformisation à venir de l'automobile si Renault, Volkswagen, Nissan et Honda partagent tous une même mécanique ?
Renault veut devenir le champion de la livraison du dernier kilomètre. A cette fin, il s’associe au groupe Volvo et à l’armateur CMA-CGM, avec pour objectif le lancement d'une gamme de petits utilitaires électriques "made in France" dès 2026.
Une fois l'engouement pour la nouvelle star du losange passé, que restera-t-il de la R5 madeleine de Proust ? Un lancement commercial en fin d'année dont le succès n'est pas garanti, pour plusieurs raisons.
Luca de Meo invite ses concurrents, et les États européens, à rallier son panache blanc et à s'unir contre les constructeurs chinois et leurs velléités de fondre sur le vieux continent. Un fantasme ou une action possible ?
Les prochaines échéances électorales, européennes et américaines, sont scrutées de près par l'industrie automobile. Son avenir est peut-être lié aux choix des électeurs lors des consultations de juin dans l'Union, et de novembre aux États-Unis. Explications.
C'est du moins la conclusion du rapport de la Cour des comptes européenne qui vient d'être publié. Le document s'en prend aux instances publiques, accusées d'avoir trop longtemps pratiqué des tests d'homologation hors sol, mais aussi aux constructeurs ravis de participer à ce jeu truqué. Sauf que les choses en la matière évoluent depuis quatre ans. Mais la Cour omet un tout petit détail qui freine le renouvellement, et le verdissement du parc : le prix des voitures dans l'Union et leur hausse ces dernières années.
L’actualité culturelle autour de l’automobile nous offre l’occasion de belles rencontres autour de la créativité.
Luca de Meo, président de l'Association européenne des constructeurs automobiles, assure qu'il n'y aura pas de retour possible sur l'électrique.
Luca de Meo, le patron du groupe Renault, demande plus de synergies et d’efficacité dans la collaboration entre les équipes françaises et anglaises de l’écurie Alpine F1. Et il veut des résultats.
Renault affiche des résultats pour le moins encourageants au premier semestre, dans un contexte qui reste inquiétant pour toute l'industrie automobile.
Le patron de Renault veut s’inspirer des kei-cars japonaises pour arriver à proposer une voiture électrique la moins chère possible.
Après Renault il y a quelques jours, c'est au tour du groupe Stellantis d'annoncer de bons résultats au premier trimestre.
Renault commence à délivrer quelques éléments sur la genèse de la R5, sa citadine électrique dont le lancement interviendra en 2024. Au programme: compacité, train arrière multibras, direction précise et module de batteries allégé. La marque nous promet ainsi une voiture plaisante à conduire et à des prix inférieurs à ceux de la concurrence.
Le patron de Renault Luca de Meo a augmenté sa rémunération de 35% en 2022, mais il reste loin de Carlos Tavares. Il a gagné 3,2 millions d’euros l’année dernière en salaire.
Le patron de Renault (et de l’ACEA) fait tout son possible pour convaincre les instances européennes d’aider les constructeurs automobiles à développer l’électrique, comme le font les Etats-Unis et la Chine.
La marque « Entry » de Renault s’embourgeoise avec des prix en hausse continue et de nouvelles finitions à boutons dorés. Et cela alors que le cœur de sa clientèle subit de plein fouet l’inflation des prix de l’alimentation et de l’énergie. La bonne tactique ?
Avec 6 562 exemplaires vendus dans l’Hexagone en janvier 2023, la Dacia Sandero domine le classement des ventes de voitures. Un succès qui dépasse même les frontières de la France puisque le modèle star de Dacia était également la voiture la plus vendue en Europe en janvier 2023.
L'Alliance Renault-Nissan se réorganise, chacun détenant 15% du capital de l'autre. Cet équilibrage permettra-t-il de sauver l'attelage du naufrage?
Dans une interview, le DG du groupe Renault détaille la façon dont il va piloter la réorganisation de l'entreprise. Morceaux choisis.
Présenté le mois dernier par la Commission européenne, le projet de loi qui fixe les contours de la future norme Euro7 concernant la pollution et les émissions des véhicules vendus en Europe à partir de 2025 fait grincer des dents du côté des constructeurs.
Le vaste plan de réorganisation de Renault peine pour le moment à séduire les analystes, qui redoutent sa complexité.
Au cœur du projet électrique du groupe Renault, la nouvelle société ElectriCity regroupe les usines de Douai, Maubeuge, et la megafactory de Cléon. Écosystème spécialisé dans la production des véhicules électriques de la marque au losange, ElectriCity est un lieu d’innovations unique en France.
Après la visite d’Emmanuel Macron ce lundi au Mondial de l’Auto de Paris, le gouvernement annonce aujourd’hui de nouvelles aides publiques pour la filière automobile française afin d’atteindre l’objectif fixé, de produire deux millions de véhicules électriques par an en France en 2030, et de décarboner le parc auto français.
En avant-première, Caradisiac est en mesure de vous dévoiler l’info qui va faire l’effet d’une bombe ce lundi au Mondial de l’auto : l’incroyable R5 Turbo 3E va bel et bien connaître un destin routier, notamment en rallye.
Avec 23 ans d’existence, l’Alliance Renault/Nissan n’en est pas à ses premiers atermoiements. Régulièrement, l’Alliance vacille. Et pourtant, l’Alliance résiste. Secouée par l’affaire Ghosn, puis la guerre en Ukraine, l’Alliance est au centre des discussions à la faveur de la nouvelle entité réservée aux véhicules électriques que souhaite créer Renault : Ampère.