Plus c’est petit, plus l’amour des voitures de sport est développé. Ce sont les conclusions d’une étude menée par des chercheurs britanniques, concernant donc que la partie masculine des automobilistes. La taille de leur engin, intime, étant inversement proportionnelle à la sportivité de leur engin roulant.
Respectons la science !
Ceux au volant de voitures de sport au son rauque, laissant échapper par la fenêtre ouverte, sur lequel repose l’avant-bras au poil qui s’hérisse, un rap puissant en provenance du subwoofer dernier cri. Tant de virilité affichée ne cacherait-elle pas quelque indigence plus intime ? Une sorte de transfert de vigueur, ce que l’homme ne peut satisfaire par lui-même, il l’affiche de manière ostentatoire. En clair (oui, nous y arrivons), l’homme à l’organe réduit compenserait par la conduite de voiture virile.
Une équipe de chercheurs britanniques s’est penchée sur la question, le rapport entre l’outil personnel et la chose roulante. Et la réponse est… oui. Il y a bien, selon cette étude, corrélation entre la taille de l’intimité masculine et la puissance de la voiture.
Dis-moi quelle est ta voiture, je devinerai le reste…
Toutefois, propriétaires de Porsche, Ferrari et autres Aston Martin, ne vendez pas votre voiture tout de suite ! Le travail de ces chercheurs n’a été validé ni par leur pairs, ni par aucune publication scientifique. Ce qui rassurera nombre de mâles.