- Mi-électrique, mi-hydrogène
- Une empreinte carbone limitée à 5 tonnes, au total
- L’habitacle sera très prochainement révélé
Renault Emblème
Propulsé à la tête du design Renault en 2020, Gilles Vidal, transfuge de Peugeot, signe avec l’étude Emblème le langage formel des futures Renault, en rupture avec celui initié au début des années 2010 par Laurens van den Acker. Quoi de mieux qu’un break de chasse long de 4,80 m pour déclarer ses intentions, bien que ses lignes s’appliqueront également aux futures Clio et Mégane, à moyen terme.
Mi-électrique, mi-hydrogène
Outre par son design, cette étude se révèle aussi emblématique des orientations technologiques retenues par la marque qui croit dur comme fer à l’avènement d’une bicarburation électrique. Sur les courtes et moyennes distances, Renault Emblème se contente d’une batterie NMC (nickel-manganèse-cobalt) de seulement 40 kWh par souci de maîtrise du poids (1 750 kg) et de l’encombrement, tandis que, pour les longs trajets, une pile à combustible PEMFC de 30 kW alimentée en hydrogène prend le relais. L’avenir nous dira si une telle dualité apparaît crédible industriellement parlant.
Une empreinte carbone limitée à 5 tonnes, au total
L’habitacle sera très prochainement révélé
A l’occasion du Mondial de l’auto qui se tient du 14 au 20 octobre, la Renault Emblème ne laisse entrevoir que ses lignes extérieures au grand public. Mais ses concepteurs nous ont d’ores et déjà promis la révélation de sa planche de bord d’ici à la fin du mois. Auto-Moto vous la révèlera très prochainement.
