Quand Enrico Galliera, le numéro deux de la marque, a dévoilé le Purosangue en octobre dernier, il nous avait promis que nous aurions là une vraie Ferrari. Pour le vérifier, malgré son gabarit de SUV, nous sommes allés lui dégourdir les bielles en Champagne, autour de l’ancien circuit de Reims-Gueux où les bolides de la marque italienne se sont illustrés entre 1950 et 1966.
- 1. Essai – Ferrari Purosangue (2023) : un drôle de dinosaure
- Equipements et options
- Equipements de sécurité
- Equipements de confort
- Esthétique / Carrosserie
- Autres équipements
- Options disponibles
1. Essai – Ferrari Purosangue (2023) : un drôle de dinosaure
Le Ferrari Purosangue.
Note
de la rédaction
14,6/20
EN BREF
1er SUV Ferrari
V12 725 ch
À partir de 384 229 €
Il n’y a que les cons qui ne changent pas d’avis. C’est admis.
Surtout dans le monde automobile, où après Porsche qui s’est sauvé les fesses avec son Cayenne diesel alors que la direction de la marque allemande avait toujours dit qu’elle ne céderait jamais aux sirènes du carburant gras, Ferrari vend comme des petits pains (bénis) son nouveau SUV. Qui n’en est pas un si on écoute les patrons de la marque.
La situation est légèrement différente : la firme italienne ne s’est jamais aussi bien portée qu’avant le lancement du Purosangue. Ce n’était donc pas une question de survie, mais bien une envie… d’aller botter le derrière des marques rivales qui se prennent pour des concurrentes. Ferrari n’en a pas, et le prouve une fois de plus avec son nouveau modèle. Que cela soit Rolls-Royce ou Bentley côté ultra luxe, avec leurs monstrueux Cullinan et Bentayga, ou encore Lamborghini ou Aston Martin avec les Urus et DBX chez les faiseurs de supersportives, personne ne propose la même chose.
Cette chose, qui mesure près de cinq mètres de long pour un mètre soixante de haut et plus de deux tonnes, c’est donc le Purosangue. Traduisez par pur-sang en français. Pas un SUV, donc d’après Galliera, même s’il en a les mensurations, le nombre de portes et de roues motrices, parce qu’il n’a que quatre places selon Enrico.
Avec quatre superbes sièges baquets ajustables en tous sens, chauffants et ventilés si vous avez coché les bonnes cases sur le bon de commande.
Basé sur une plateforme adaptée de Ferrari Roma, ce pur-sang reprend des éléments techniques d’autres modèles au Cavalino. On pense à la transmission intégrale, ce petit module intégré au moteur qui va distribuer du couple aux roues avant selon les besoins, prélevé de la « berline » GTC4. Avec deux vitesses (et non huit comme sur le train arrière), et une fonction de transmission vectorielle de couple pour accélérer la roue extérieure au virage et améliorer l’agilité sur les surfaces à faible adhérence (on pense à la terre ou à la neige).
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Et côté moteur, pour clouer le bec à tous ses prétendants rivaux, Ferrari a pioché chez la 812 Competizione, en dotant son pur-sang d’un V12 6.5 litres, ouvert à 65° et développant la bagatelle de 725 ch et 716 Nm de couple. Sans turbo, sans compresseur, ni assistance électrique ! Une sorte de revival d’une automobile passée, de dinosaure, dans la production mondiale actuelle. Ce n’est pas Purosangue qu’il fallait l’appeler, mais T-Rex. Et, cerise sur le cake, Ferrari a développé avec la marque Multimatic un système de suspension adaptative totalement nouveau, capable tout en supprimant les barres antiroulis de lutter contre ces mouvements néfastes à la tenue de route. De petits moteurs couplés à des vis à billes, placés en bout de tige d’amortisseurs, permettent de jouer sur la longueur de celles-ci en quelques millièmes de seconde et d’éradiquer le roulis en virage comme la plongée au freinage. Avec quatre disques en carbone céramique et des étriers de Boeing 747, cela peut être utile.
Évidemment, en plus d’avoir signé une ligne à couper le souffle, même portes ouvertes avec celles de derrière qui s’ouvrent en opposition de sens (et même électriquement), l’équipe de designers de Flavio Manzoni a imaginé (et produit) un habitacle magnifique. Avec quatre sièges individuels on l’a dit, mais surtout une planche de bord façon double cockpit, dotée d’un affichage 100 % digital proposant différentes vues. Et comme sur toutes les Ferrari récentes, toutes les commandes liées à la conduite sont regroupées sur le volant, sur la face ou derrière les branches, comme les essuie-glaces ou l’appel de phares. Il faut s’y faire, mais cela donne une impression pas désagréable de piloter une voiture de course façon formule 1.
La finition, faite de cuir et de carbone sur notre véhicule d’essai, est juste parfaite, jouant sur les couleurs et les textures avec beaucoup d’élégance. Mais comme d’habitude à Maranello, tout est question d’option et d’envie. Car dans le luxe, et le Purosangue joue dans cette cour avec son tarif de base à 390 000 € hors options, on peut tout demander et tout faire faire. Si bien que tous les pur-sang prévus en production pour les deux prochaines années sont déjà configurés et vendus. Avec un tarif moyen à près de 450 000 €. Ferrari n’avait pas besoin de cela pour afficher une santé financière insolente.
Chiffres clés *
- Longueur : 4,97 m
- Largeur : 2,02 m
- Hauteur : 1,58 m
- Nombre de places : 4 places
- Volume du coffre : 473 l / NC
- Boite de vitesse : Auto. à 8 rapports
- Carburant : Essence
- Taux d’émission de CO2 (norme NEDC) : g/km
- Bonus : NC
- Date de commercialisation du modèle : Septembre 2022
* A titre d’exemple pour la version 6.5 V12 725.
Le bonus / malus et le taux d’émission de CO2 sont données à titre d’indication pour la version la plus écologique.
Le bonus / malus affiché est celui en vigueur au moment de la publication de l’article.
2. Ferrari Purosangue (2023) – Sur la route : une vraie Ferrari ?
@ Jalil Chaouite
Pour le savoir, nous sommes allés limer de la gomme Michelin dans la région Champagne, entre la montée de Champillon, au départ de Dizy et inversement, et l’ancien circuit de Reims-Gueux. Les connaisseurs apprécieront.
Si justement le volant typiquement Ferrari et la sonorité du V12 donnent le change dès les premiers kilomètres, le gabarit et la position de conduite surélevée laissent planer quelques doutes. D’autant qu’au sortir de Paris, sur l’autoroute A4 vers l’est, on se surprend à rouler en huitième à presque 140 km/h compteur ! Cela donne près de 70 km/h pour 1 000 tours, soit la démultiplication d’une bonne camionnette turbo-diesel.
@ Jalil Chaouite
Pourtant, ce pur-sang est bien un T-Rex, un dinosaure certes, mais du genre méchant, le prédateur ultime. Car une fois sorti de l’autoroute, la transmission à double embrayage ne va quasiment plus jamais engager les deux derniers rapports, pour exploiter les 725 ch du V12 au mieux. La crainte que ce bloc habitué à bouger des sportives de 1600 à 1700 kg ne soit anesthésié par la masse du T-Rex (2,2 tonnes) n’a plus de raison d’être. Le travail réalisé à Maranello pour lui gonfler le couple à bas régime a parfaitement fonctionné, avec 80 % du couple disponible dès 2100 tr/min. En plus des accélérations supersoniques, les reprises sont foudroyantes.
Surtout quand vous basculez le Manetino vers la droite, sur sport. Là, les temps de passages et les stratégies de fonctionnement de la boîte sont optimisés, la réponse du V12 immédiate et les lois d’amortissement revues pour davantage de dynamisme.
Alors que Monsieur le dinosaure semblait étonnamment confortable dans les modes wet ou confort (nous n’avons pas essayé Ice), lissant les gendarmes couchés comme le ferait un char d’assaut de 40 tonnes, il devient moins prévenant pour les lombaires en mode sport, réduisant le roulis à néant et ne plongeant plus du tout au freinage, même très appuyé. Bluffant. Train avant incisif, bien aidé par les Pilot Sport 4 + qui recouvrent les jantes énormes (23 pouces derrière), équilibre rassurant, avec la répartition des masses parfaite (51 % derrière), le Purosangue aime autant les grandes courbes qu’une Roma ou même une F8. Il est juste un peu plus lourd et haut. Mais ça, c’est sur le sec.
@ Jalil Chaouite
Car sur le mouillé, quand l’adhérence vient à manquer, c’est une autre histoire. Pas qu’il devienne compliqué à maîtriser, avec sa franche prépondérance sur l’arrière bien maîtrisée par un super ESP, mais qu’avec sa suspension révolutionnaire, il gomme les sensations et isole un peu trop le pilote de ses roues. Savoir où on en est de l’accroche est alors compliqué et mieux vaut rendre un peu la main.
Vous êtes prévenus.
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3. Ferrari Purosangue (2023) – Équipement : l’infini ou presque
Il faudra avoir beaucoup d’imagination pour vouloir un équipement qui n’est pas sur la liste des options du Purosangue.
Côté confort, vous pouvez tout avoir, des sièges chauffants, massants, ventilés, et bien évidemment réglables électriquement dans tous les sens. Pour la hi-fi, c’est pareil. Et les habillages de cuir, d’Alcantara ou de carbone, tout est possible. Dans les faits, le programme de personnalisation de Ferrari permet presque toutes les excentricités, à condition toutefois que cela ne nuise pas à l’image de la marque.
Vous voulez un cuir de paon, teinté en rose pâle, avec des coutures en fil de vers à soie de couleur parme, ça ne sera peut-être pas possible. Et encore.
Côté équipements de sécurité, le seul que nous n’avons pas trouvé est le système de vision de nuit. Mais peut-être que votre revendeur Ferrari vous offrira des lunettes infrarouges si vous le demandez poliment.
Equipements et options
Version : 6.5 V12 725
Equipements de sécurité
-
Fermeture automatique portes AR
-
ISOFIX pour les sièges AR
-
Clé avec transpondeur, système antivol, télécommande pour portes et coffre, système de démarrage sans clé
-
Système de contrôle de pression et température des pneumatiques
-
Airbags AV et latéraux à double enclenchèment
-
ABS EVO
-
Contrôle de traction F1 avec intégration SSC
Equipements de confort
-
Ecran passage 10.2″
-
Ecran 16″ entièrement numérique
-
4 sièges entièrement électriques
-
ISOFIX pour les sièges AR
-
Système Infotelematic avec nouveau HMI, port USB dans le tunnel central, Bluetooth audio streaming
-
Miroirs extérieurs chauffants et repliables électriquement
-
Capteurs de luminosité et de pluie
-
Système de contrôle de pression et température des pneumatiques
-
Régulateur de vitesses adaptatif
-
Direction assistée électrique dynamique
Esthétique / Carrosserie
-
Toit en fibre de Carbone
-
Jantes en alliage 22″/23″
Autres équipements
-
4 portes à fermeture souple
-
Kit maintien de charge
-
Housse de protection
-
Caméra de parking AR
-
Capteurs de parking AV et AR
-
Système air conditionné 4 zones
-
Kit de réparation pneumatiques
-
Phares entièrement LED
-
Détection des angles morts
-
Aide au maintien de la voie
-
Avertissement de sortie de voie
-
Frein d'urgence automatique
-
-
Système de freinage carbo-céramique (CCM4)
-
Système suspensions actives Ferrari
-
Contrôles dynamiques véhicule (Manettino avec 5 réglages : Glace, Mouillé, Confort, Sport, ESC OFF)
-
Empettement virtuel (PCV 3.0) avec roues arrière directionnelles
-
Transmission Dual Clutch 8 vitesses
-
Différentiel à contrôle électronique avec intégration SSC
-
Système Side Slip Control (SSC) 8.0
-
4RM – S Evo
Options disponibles
-
Phares à LED à matrice active
0 €
-
Vue panoramique
0 €
-
Système Audio High-End
0 €
-
Smartphone connection
0 €
-
Kit coffre
0 €
-
Capteurs Qualité de l’Air
0 €
-
Design EQP
72000 €
-
Poignées intérieures en carbone
0 €
-
Parties en Fibre de Carbone avec inserts en cuivre
0 €
-
Parapluie
600 €
-
Système antivol SVR – abonnement 1 an (with card)
3402 €
-
Système antivol SVR – abonnement 1 an (no card)
3402 €
-
Kit fumeur
630 €
-
Fond compte-tours Rouge
0 €
-
Fond compte-tours Jaune
0 €
-
Fond compte-tours Blanc
0 €
-
Fond compte-tours Aluminium
0 €
-
2 Sac week-end
5922 €
-
2 Sac de voyage
5292 €
-
1 Sac de voyage
2646 €
-
2 Trolley
6804 €
-
1 Trolley
3402 €
-
4 Trolley
12600 €
-
1 Trolley + 1 Sac de voyage
6048 €
-
Système homelink pour ouverture garage
1008 €
-
Pneumatiques Run Flat
3780 €
-
Surélévateur AV
5040 €
-
Système d’appel d’urgence
0 €
-
Film anti projections sur pare-chocs AV
2016 €
-
Film anti projections
3654 €
-
Partie haute de l’habitacle en Cuir couleur au choix
3150 €
-
Couleur sur demande pour coutures spéciales
1134 €
-
1134 €
-
Sièges AR ventilés et chauffants
3150 €
-
Passepoils couleur au choix
1386 €
-
Volant en Carbone avec LEDs
3780 €
-
Intérieur en cuir Semi-Aniline
6426 €
-
Sellerie en Cuir
4410 €
-
Sièges AV ventilés et massants
4410 €
-
Surtapis avec logo voiture brodé
1260 €
-
Cavallino brodé sur les appui-têtes
1638 €
-
Couleur sur demande pour partie supérieure du tableau de bord
1008 €
-
Ceintures de sécurité 3 points couleur au choix
1008 €
-
Tapis habitacle en cuir
6300 €
-
Détails habitacle couleur au choix
882 €
-
Tunnel supérieur en carbone
3780 €
-
Seuils de portes extérieurs en Carbone
2520 €
-
Panneaux des portes en carbone
8820 €
-
Zone supérieure instruments de bord en Carbone
6300 €
-
Clé de voiture en fibre de carbone
630 €
-
Colonnes roues en titane
1260 €
-
Jantes forgées diamantées Noir opaque
7308 €
-
Jantes forgées diamantées brillant
7308 €
-
Jantes vernies en Gris opaque
1890 €
-
Jantes forgées en argent liquide
5922 €
-
Jantes standard chromées peintes
1890 €
-
Couleurs extérieures spéciales
9324 €
-
Couleurs classiques
9324 €
-
Couleurs extérieures historiques Ferrari
9324 €
-
Couleurs extérieures additionnalles
4662 €
-
Ecussons Scuderia sur ailes AV
1386 €
-
Spoiler AV en carbone
6300 €
-
Echappement de couleur Noire
1890 €
-
Echappement Sport
1260 €
-
Toit panoramique
15120 €
-
Cache moyeu en noir
630 €
-
Retroviseurs extérieurs en Carbone
1890 €
-
Bas de seuils de portes extérieurs en fibre de Carbone
6552 €
-
Toit en fibre de Carbone
-
Extracteur AR en carbone
8820 €
-
Passage de roue en fibre de Carbone
6552 €
-
Volant chauffant
944.4 €
-
Repose-pieds en Aluminium
314.4 €
-
1 Sac à main
2204.4 €
-
1 Valise
2456.4 €
-
1 Sac week-end
2960.4 €
-
1 Sac de voyage + 1 Sac week-end
5606.4 €
-
1 Trolley + 1 Sac week-end
6362.4 €
-
Extincteur habitacle
818.4 €
-
Plaque dédicacée Argentée
566.4 €
-
Sièges au Desing spécifique
3716.4 €
-
Couleur sur demande pour volant
566.4 €
-
Vitres AR teintées
3464.4 €
-
Cache moyeu en fibre de Carbone
944.4 €
-
Etriers de freins de couleur Giallo
1700.4 €
-
Etriers de freins de couleur Rosso Scuderia
1700.4 €
-
Etriers de freins de couleur Rosso Corsa
1700.4 €
-
Etriers de freins de couleur Or
1700.4 €
-
Etriers de freins de couleur Grigio Silverstone
1700.4 €
-
Etriers de freins de couleur Bleu
1700.4 €
-
Etriers de freins peints Nero
1700.4 €
-
Etriers de freins de couleur Aluminium
1700.4 €
-
Intérieur bicolore
1800 €
-
Rétroviseur Digital
2520 €
-
Insert rouge en fibre de Carbone
0 €
-
1 Porte-habit
2204.4 €
-
2 Porte-habit
4410 €
-
Chargeur de smartphone sans fil
0 €
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4. Ferrari Purosangue (2023) – La concurrence, le bilan global, tous les prix
Les concurrents
En attendant un éventuel SUV McLaren, qui n’est pas prévu et que la marque anglaise n’a pas vraiment les moyens de développer, le Purosangue Ferrari n’a pas réellement de concurrents. On peut toutefois citer pour la curiosité les versions SUV de Lamborghini (Urus, V8 biturbo 666 ch à partir de 260 000 €), Aston Martin (DBX, 6 cyl ou V8 turbo 435 à 707 ch, à partir de 206 000 €) ou Bentley (Bentayga, V6 hybride, V8 diesel ou W12 essence 435 à 635 ch, à partir de 140 000 €).
À retenir
Même si Ferrari martèle que ce n’en est pas un, le Purosangue est un SUV. Sans doute le meilleur du genre sportif, avec des solutions techniques qui le rendent unique, comme son V12 atmosphérique, sa transmission intégrale à répartition vectorielle de couple sur l’avant et sa suspension pilotée sans barre antiroulis, une première. Tout cela pour donner un cocktail étonnant, ultra-performant et garantissant une très bonne valeur de revente. Tous les constructeurs en rêvent. Beaucoup de conducteurs aussi.
Les prix
Version | Co2 (en g/km) | Prix | Bonus / Malus |
---|---|---|---|
6.5 V12 725 | 393 (wltp) | 384 229 € | 50000 € |
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5. Ferrari Purosangue (2023) – L’évaluation dans la catégorie : 37 critères analysés et notés
Ferrari Purosangue | ||
---|---|---|
Budget | 3.75 |
|
Coût d’achat | 0 | |
Bonus/malus | 0 | |
Consommation : données constructeur | 4 | |
Consommation : relevés Caradisiac | 2 | |
Courroie de distribution/chaîne | 4 | |
Cote attendue | 10 | |
Durée de la garantie | 6 | |
Fiabilité attendue/coût de réparations | 4 | |
Pratique | 7.86 |
|
Qualité de la finition | 10 | |
Rangements | 8 | |
Modularité | 7 | |
Coffre (volume, seuil, facilité de chargement) | 6 | |
Places AR : longueur aux jambes | 8 | |
Places AR : largeur aux coudes | 8 | |
Places AR : garde au toit | 8 | |
Rapport prix/équipements | 9.33 |
|
Aides à la conduite | 8 | |
Conduite (liaisons au sol) | 8 | |
Confort | 10 | |
Multimédia | 10 | |
Style intérieur | 10 | |
Style extérieur | 10 | |
Sur la route | 8.11 |
|
Agrément moteur | 10 | |
Agrément boîte | 10 | |
Amortissement | 9 | |
Dynamisme | 9 | |
Emissions polluantes à l’usage | 0 | |
Insonorisation | 9 | |
Maniabilité | 7 | |
Performance | 10 | |
Position de conduite | 9 | |
Sécurité | 7.5 |
|
Degré maximal d’autonomie | 4 | |
Freinage | 10 | |
Systèmes de sécurité | 10 | |
Visibilité périphérique | 6 | |
Note globale : | 14,6 /20 |
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6. Ferrari Purosangue (2023) – La fiche technique
Les chiffres clés
Ferrari Purosangue 6.5 V12 725 | |
---|---|
Généralités | |
Date de commercialisation | 01/09/2022 |
Garantie pièce et main d’œuvre : en km | Kilométrage illimité |
Garantie pièces et main d’œuvre : en mois | 24 mois |
Dimensions | |
Longueur | 4,97 m |
Largeur sans rétros | 2,02 m |
Hauteur | 1,58 m |
Empattement | 3,01 m |
Volume de coffre mini | 473 L |
Nombre de portes | 4 |
Nombre de places assises | 4 |
Poids à vide | 2 033 Kg |
Caractéristiques moteur | |
Motorisation | Essence |
Moteur | 12 cylindres , |
Cylindrée | 6 496 cm3 |
Puissance | 725 ch |
Couple | 716 Nm à 6 250 trs/min |
Boîte de vitesses | Automatique |
Nombre de rapports | 8 |
Roues motrices | 4×4 |
Performances / consommation | |
Vitesse maximum | 310 km/h |
Accélération de 0 à 100 km/h | 3.3 s |
Volume du réservoir | 100 L |
Emissions de CO2 | 393 g/km (wltp) |
Malus écologique | 50000 |
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