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Lewis Hamilton révèle quel élément a été décisif pour sa signature chez la Ferrari

lewis hamilton révèle quel élément a été décisif pour sa signature chez la ferrari

Dans un monde de la Formule 1 où les transferts peuvent parfois ressembler à un véritable jeu d’échecs stratégique, le passage de Lewis Hamilton à l’écurie Ferrari en 2025 a fait l’effet d’une bombe. Pourtant, au cœur de cette décision historique, se cache une histoire de relation et d’amitié qui transcende les simples calculs sportifs et financiers. C’est la réunion avec un ancien complice, Frédéric Vasseur, qui a scellé le destin de Lewis Hamilton avec la Scuderia.

Lewis Hamilton et Frédéric Vasseur partagent une histoire commune qui remonte à plus de deux décennies. Ensemble, ils ont connu le succès en F3 avec l’équipe ASM en 2005, une victoire qui annonçait déjà le brillant avenir du pilote britannique. Leur collaboration s’est poursuivie l’année suivante en F2 avec ART, confirmant leur alchimie victorieuse. Ces souvenirs de gloire passée ont forgé entre eux un lien indéfectible, qui a joué un rôle déterminant dans la décision d’Hamilton.

Interrogé sur l’influence de Vasseur dans son choix de rejoindre Ferrari, Hamilton n’a pas caché l’importance de leur relation. « J’ai une excellente relation avec Fred, » a-t-il confié. Leur parcours commun en GP2 a été un tournant, marquant le début d’une amitié durable. Hamilton a toujours cru en la capacité de Vasseur à diriger une équipe de F1, même à une époque où ce dernier n’y aspirait pas encore. Leur histoire commune a traversé les années, et la nomination de Vasseur à la tête de la Scuderia a été un facteur clé dans la décision d’Hamilton.

Pour Hamilton, le passage chez Ferrari représente plus qu’un simple changement d’équipe, c’est la réalisation d’un « rêve de gosse ». Cependant, malgré ses succès et sa renommée, il avoue n’avoir jamais exploré l’univers Ferrari de l’intérieur. « Je n’y suis jamais allé, » dit-il au sujet de Maranello, soulignant une certaine distance avec la marque au cheval cabré malgré l’achat de sa première Ferrari en 2010. Sa loyauté envers Mercedes lui a jusqu’alors interdit de franchir le seuil de l’usine italienne, un tabou qu’il brisera en 2025.

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