- Taxi 1 et 2 : à 250 km/h dans les rues de Marseille et Paris
- Baby Driver : le chauffeur qu’il vous faut
- Le Transporteur 1 : Règle N°1, rouler vite
- James Bond – Quantum of Solace : permis de tuer
- Ronin : Hidalgo n’apprécierait certainement pas
Depuis l’invention de la voiture et son arrivée sur le grand écran, les réalisateurs n’ont jamais cessé de les mettre en scène dans des situations toujours plus spectaculaires. Cela dit, parmi toutes les scènes filmées au fil des années, certaines sont devenues absolument cultes, soit grâce aux modèles qui apparaissent, soit grâce à la mise en scène impeccable. On en fait un tour d’horizon.
L’automobile est un véritable objet de culte, cela s’est vérifié au fil des ans depuis sa première apparition sur le grand écran. Incarnation de la liberté et de l’évasion, la voiture a également beaucoup servi à de pauvres innocents pour échapper à des criminels assoiffés de sang, ou à des braqueurs pour semer la police. Aujourd’hui, on passe en revue 5 scènes de course poursuite parmi les plus légendaires du cinéma.
Taxi 1 et 2 : à 250 km/h dans les rues de Marseille et Paris
L’une de nos fiertés nationales, la gloire des Marseillais. Une Peugeot 406 blanche, un kit carrosserie inspiré du championnat allemand de DTM, Samy Naceri au volant… Il n’en fallait pas plus pour que le synopsis donne envie de regarder ces films, notamment les deux premiers. Pourquoi seulement ces deux-là ? Parce que les « méchants » roulent en Mercedes 500E et en Mitsubishi Lancer Evo 6. Des voitures que l’on peut voir rouler à toute berzingue dans les rues de Marseille, pour le premier épisode, ainsi que dans les rues encombrées de Paris pour le deuxième opus. Rassurez-vous, le taxi s’en sort toujours indemne.
Baby Driver : le chauffeur qu’il vous faut
Quel plaisir de voir une Sub' malmenée à ce point !
Le Transporteur 1 : Règle N°1, rouler vite
Une Série 7 digne, et puissante
Un casting aussi improbable que qualitatif, des voitures iconiques, des paysages de rêve, de la tôle froissée. Voilà, en gros, le menu du premier opus de la série de films Le Transporteur. Jason Statham, ex-militaire et éternel chauffard, amateur de berlines allemandes et professionnel reconnu à la profession… floue. La course poursuite qui sert d’ouverture au film embarque le spectateur dans les rues de Nice, alors que le héros est poursuivi par la police tandis qu’il conduit une magnifique BMW Série 7 E38, qui connait malheureusement un triste sort plus tard dans le film.
James Bond – Quantum of Solace : permis de tuer
Là encore, cette course poursuite entre l’Aston Martin DBS et des Alfa Romeo 159 sur les rives d’un lac en Italie sert d’ouverture à Quantum of Solace. Gros point fort de cette scène, on n’a clairement pas l’impression que James Bond est invincible, sa voiture terminant dans un bien piteux état. La façon de filmer et la bande son, laissant la place au rugissement des moteurs, subliment encore davantage cette poursuite, qui est l’une des dernières réussites de la saga de 007.
Ronin : Hidalgo n’apprécierait certainement pas
Cette Série 5 est bien plus rapide que le métro
Encore une course poursuite dans les rues de Paris, cette fois entre une Peugeot 406 et une BMW Série 5. Le spectateur est plongé en immersion, grâce à des plans en caméras embarquées et à une bande sonore qui se limite aux bruits des moteurs. La cohérence de l’itinéraire, le choix des voitures ainsi que le réalisme des plans en font une scène à voir au moins une fois pour tous les passionnés de voitures.