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La Nissan Skyline R34 GT-R va avoir 25 ans et les Américains se frottent déjà les mains

Véhicule de Collection, Sportives, Nissan, GT-R

À quelques mois du seuil des 25 ans, l’attente est palpable parmi les amateurs de voitures japonaises aux États-Unis pour l’arrivée imminente de la R34 Skyline GT-R. Avec son design emblématique et ses performances exceptionnelles, cette icône automobile promet de marquer une nouvelle ère pour les passionnés américains.

L’effervescence grandit parmi les aficionados des bolides japonais aux États-Unis, alors que le compte à rebours approche de la barre symbolique des 25 ans. Pourquoi ce seuil magique ? C’est le moment où une voiture peut être officiellement importée aux États-Unis, et dans un mois à peine, la mythique R34 Skyline GT-R atteindra ce statut convoité.

La R34 Skyline GT-R a gravé une empreinte indélébile dans l’histoire automobile depuis son dévoilement en 1999. Sa renommée repose sur une esthétique à couper le souffle, un moteur exceptionnel et des performances qui ont surpassé bon nombre de ses concurrentes de l’époque. En s’illustrant dans la franchise Fast and Furious et les jeux vidéo de course des années 2000, elle a conquis une renommée mondiale.

Qu’est-ce qui distingue la R34 Skyline GT-R ? Son moteur, le RB26DETT, un six cylindres en ligne biturbo de 2,6 litres, était une prouesse technique à l’époque et continue de l’être. Bien que Nissan ait officiellement déclaré 276 chevaux, les tests sur banc ont régulièrement révélé une puissance bien supérieure, ouvrant la voie à une ère de tuning qui a propulsé la GT-R vers des sommets inégalés.

Même sans modifications, la R34 GT-R était une machine redoutable dès sa sortie d’usine. Sa transmission manuelle à six vitesses alimentait les quatre roues, et le système de direction à quatre roues HICAS de Nissan assurait une maniabilité exceptionnelle dans les virages.

Alors que l’importation de la R34 GT-R devient une réalité pour les passionnés américains, mettre la main sur l’une des 199 voitures Midnight Purple III sera une tâche herculéenne. Commercialisée uniquement sur quelques marchés triés sur le volet, elle ajoute une touche d’exclusivité à son charme.

Pour ceux prêts à relever les défis logistiques, plusieurs méthodes d’importation s’offrent. Faire appel à une entreprise spécialisée simplifie le processus, prenant en charge l’expédition jusqu’aux formalités douanières. Cependant, importer ces joyaux ne sera ni bon marché ni rapide, avec des prix moyens avoisinant les 200 000 dollars selon les médias américains.

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