Oliver Rowland en action lors du e-prix de Tokyo. (K. Matsuo/Presse Sports)
On retiendra que Maximilian Günther a remporté sur sa Maserati le premier e-prix de Tokyo, son premier succès de l’année, mais la course de celui qu’il a battu dans les derniers tours, Oliver Rowland, tout comme la belle remontée de l’autre pilote Nissan, Sacha Fenestraz, ont quelque peu égayé une longue procession de près d’une heure.
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L’un, au visage – et silhouette – de pilier de pub finit deuxième, après avoir signé la pole. Pour le plus grand bonheur des tribunes tout acquises à la cause des voitures aux couleurs des fleurs de cerisier qui hurlaient leur joie à chaque passage du Britannique. Le second, à la figure poupine et l’allure d’une crevette, a remonté la moitié de la grille, revenant de la dernière ligne pour échouer à la porte des points (11e), mais premier Français. Jean-Éric Vergne (DS) est juste derrière lui et Norman Nato paye son accrochage dans les derniers tours, pénalisé de cinq secondes et relégué en bas du classement (16e).
Au Championnat, le pilote anglais de Nissan remonte à la troisième place (54 pts), à neuf unités du leader Pascal Wehrlein (63). Prochaine manche dans quinze jours à Misano.
Classement général du Championnat
