- Le grand départ en 2026
- L’alliance improbable
- Des euros, des euros, et encore des euros
- La révolution du fourgon
- La polyvalence au rendez-vous
Le grand départ en 2026
Si vous avez hâte de vous glisser au volant de ces bolides électriques, il va falloir patienter un peu. En 2026, la production de ces fourgonnettes électriques devrait enfin démarrer. C’est comme attendre le clap de fin d’un film à suspense : on sait que quelque chose de génial se prépare, mais on doit trépigner d’impatience.
L’alliance improbable
Des euros, des euros, et encore des euros
Pour financer cette aventure, nos tourtereaux ont sorti leur chéquier. Chacun met 300 millions d’euros sur la table, histoire de montrer qu’ils sont vraiment, vraiment motivés. Et pour pimenter un peu plus la fête, CMA CGM, un armateur de porte-conteneurs, apporte sa contribution avec 120 millions d’euros. Tout ça pour nous offrir une fourgonnette électrique qui, espérons-le, ne nous sautera pas à la figure.
La révolution du fourgon
Nos tourtereaux ont des idées plein la tête. Ils veulent révolutionner le monde de la fourgonnette. Une nouvelle plateforme de véhicules utilitaires légers 100 % électriques permettra d’adapter différentes carrosseries pour réduire les coûts. On nous promet aussi une « architecture électronique » baptisée « Software-Defined Vehicle » qui permettra de surveiller les activités de livraison et les performances des utilisateurs. Ça sonne bien, mais ça nous rappelle quand même un peu ces gadgets électroniques qu’on achète et qu’on n’utilise jamais.
La polyvalence au rendez-vous
Ces fourgonnettes du futur auront une compacité inédite pour se faufiler dans les ruelles urbaines, mais aussi une grande polyvalence. Elles offriront des solutions sur mesure et différentes capacités de batterie, dont une version de 800 V, ce qui est apparemment une première pour ce genre de véhicules. En somme, nos tourtereaux nous promettent une fourgonnette électrique qui s’adapte à tous nos caprices.
