La marque Alpine est pleine d’ambition : atteindre un chiffre d’affaires supérieur à 8 milliards en 2030, une gamme complète de sept modèles, conquête de l’Amérique tout en investissant les courses d’endurance et continuer en Formule 1. Comment la marque va-t-elle s’y prendre ? Voici la stratégie vue par Luca de Meo et le patron d’Alpine Laurent Rossi.
En 2030, la gamme Alpine comptera sept modèles.
C’est depuis le site d’Alpine Racing à Enstone, au Royaume-Uni, que la marque présentera son « Future Tour » à partir de 14 h. Les deux dirigeants détailleront leurs « objectifs à l’horizon 2030 et sa stratégie de développement pour les années à venir ».
En 2024, la citadine électrique A290 fera son apparition, suivie l’année suivante du Crossover GT (produit à Dieppe), puis de la remplaçante de l’A110, qui deviendra électrique, en 2026.
À ce jour, Alpine se félicite du succès de sa Berlinette puisque le carnet de commandes au niveau mondial atteint sept mois de ventes. Plus de 4 000 unités devraient trouver preneur en 2023.
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C’est l’Amérique
Pour atteindre 8 milliards d’euros de chiffre d’affaires d’ici 2030 et un équilibre financier en 2026, une gamme variée est indispensable. Surtout, il va falloir les vendre. Alpine va déployer une « phase d’expansion mondiale » à partir de 2027, dont un déploiement aux États-Unis via des partenariats avec RedBird et AutoNation.
Rendez-vous à 14 h pour connaître en direct ce plan d’action inédit pour Alpine.