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Essai Smart #3 : trois fois mieux ?

Devenue une marque 100 % électrique, Smart lance son deuxième SUV. Plus grande encore que la Smart #1, la Smart #3 promet de corriger certains défauts de jeunesse de sa petite sœur.

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Désormais émancipée de Mercedes, Smart s’est lancée très tôt dans la voiture 100 % électrique, abandonnant totalement les motorisations thermiques en Europe dès 2019. L’entreprise est maintenant une joint-venture entre Mercedes-Benz et le géant chinois Geely, avec un système de distribution de vente en ligne sur stock à la place des fameux silos Smart adossés aux concessions de la marque à l’étoile. Et si Mercedes ne possède plus que 50 % de Smart, les deux marques conservent néanmoins leur proximité historique, le réseau restant en charge du service après-vente et de l’approvisionnement des pièces détachées.

Sous sa nouvelle forme, Smart a aussi abandonné son fameux concept de petite voiture maline (d’où son nom) qui pouvait se garer pratiquement partout. Que les amateurs se rassurent, la fameuse Fortwo pourrait revenir un jour et son nouveau nom est d’ailleurs tout trouvé si l’on en croit le porte-parole de la marque : Smart #2. En attendant, c’est la Smart #3 qui est à l’honneur aujourd’hui.

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Un design moderne, mais loin de l’identité Smart

Lancée en décembre 2023, la Smart #3 vient rejoindre la Smart #1 qui est commercialisée depuis juin 2023. S’il s’agit là encore d’un SUV, celui-ci adopte une carrosserie de coupé qui se veut plus sportive. Pour autant, l’air de famille est bien présent, notamment à l’avant avec la calandre en forme de A (ou de casque de Stormtrooper du Nouvel ordre, c’est au choix) avec ses phares très fins qui sont reliés par un bandeau à LED.

De profil, la Smart #3 affiche une allure plus athlétique que sa petite soeur grâce à son châssis rabaissé et à la ligne de toit plongeante soulignée par un aileron qui profite à l’aérodynamique. De 3/4 arrière, on reconnait la patte des designers de Mercedes avec une ressemblance marquée avec la Mercedes EQC. Enfin, à l’image de la Smart #1, la signature lumineuse à l’arrière de la Smart #3 est très proche de celle de la Mercedes EQA avec les deux feux reliés par un bandeau à LED.

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Basée sur la plateforme de Geely qui équipe la Volvo EX30 mais aussi la Zeekr X et la Polestar 4, la Smart #3 est plus longue de 13 cm que la Smart #1 à 4,40 m. Quiconque est déjà monté dans la Smart #1 retrouvera ses petits avec une présentation similaire, si ce n’est au niveau des buses d’aération rondes au milieu du tableau de bord. Là aussi, ces dernières semblent avoir été prélevées dans une Mercedes.

La nouvelle venue bénéficie aussi d’un empattement plus long de 350 mm, qui profite pleinement à l’habitabilité de la Smart #3. Et notamment aux places arrière qui sont aisément accessibles et qui offrent un bel espace, tant au niveau des genoux que de la garde au toit. Comme souvent, la place centrale est vraiment utilisable en l’absence de tunnel de transmission, mais le dossier est très ferme, réservant son utilisation aux courts trajets.

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Un Smart #3 bien équipé et bien rangé

L’habitacle est baigné de lumière naturelle grâce au toit en verre panoramique Halo de série, et la surface vitrée de 1,6 m2 bloque pratiquement tous les rayons UV à l’aide d’un procédé d’argenture. À l’avant, Smart a conservé la même présentation comme on l’a mentionné plus haut. Les deux sièges de la Smart #3 sont séparés par la console centrale qui fait office de colonne vertébrale, avec notamment une partie centrale qui peut être refermée (et qui rappellera le dos l’armure d’Iron Man à certains après la face avant de Stormtrooper), ou encore un compartiment ventilé généralement réservé au premium de la catégorie supérieure.

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Les rangements sont nombreux avec notamment un berceau pour le chargeur de smartphone à induction à côté duquel se trouvent deux ports USB type C (deux autres sont intégrés à l’arrière juste en dessous des buses d’aération). Deux ports USB type C supplémentaires sont disponibles pour les places arrière.

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Un mot enfin sur le coffre de la Smart #3, ou plutôt sur ses coffres. Le hayon arrière est motorisé et son bouton est dissimulé dans le “a” du lettrage Smart. Bien vu. Doté d’un espace pour les câbles sous le plancher, le coffre affiche un volume plutôt moyen de 370 litres, et jusqu’à 1 160 litres en rabattant la banquette arrière.

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Contrairement à Mercedes (mais aussi BMW et Audi), Smart n’a pas oublié le frunk. Certes celui de la Smart #3 est plutôt petit avec un volume de 15 litres seulement. Il a néanmoins le mérite d’exister, notamment pour ranger les câbles de recharge quand le coffre arrière est plein sur la route des vacances.

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Un système d’infodivertissement efficace mais avec quelques ratés

En l’absence de boutons physiques, le grand écran tactile central de 12,8 pouces est incontournable à bord de la Smart #3. Très lumineux et parfaitement lisible même en plein soleil ou avec des verres polarisés, il reprend l’interface originale et conviviale de la Smart #1. Très dense, celle-ci demande néanmoins un temps d’adaptation pour retrouver ses petits.

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Chaque rubrique est accompagnée d’un petit texte explicatif et le système est relativement fluide. Ce qui tombe plutôt bien quand on veut désactiver les alertes audio qui sont désormais imposées aux constructeurs automobiles.

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Pour nous faciliter la vie, Smart propose des contrôles rapides via un volet qui s’affiche en faisant glisser le doigt de haut en bas. La fenêtre donne alors accès à des icônes que l’on peut personnaliser, mais le choix est limité. On peut par exemple choisir d’ajouter l’Alerte attention pour la déconnecter rapidement, mais pas l’Alerte de survitesse qui se réactive à chaque redémarrage de la Smart #3.

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Même si elle n’est pas aussi insupportable que sur d’autres voitures modernes, il est légitime de vouloir couper cette dernière. Pour ce faire, il faut donc accéder au menu de la voiture, puis choisir la rubrique “Assistance à la conduite”. De là, il faut encore sélectionner l’onglet “Assistance”, puis faire défiler l’affichage jusqu’à la fonction “Avertissement de limitation de vitesse actif” et cliquer sur “Non”.

Ce n’est pas le plus pratique d’autant que, rappelons-le encore une fois nous aussi, il faut réitérer la manipulation à chaque fois que vous avez appuyé sur le bouton P après avoir stationné le véhicule. Un défaut que l’on retrouve sur de plus en plus de véhicules aujourd’hui, mais les représentants français de Smart nous ont précisé avoir fait remonter l’information. Un raccourci plus pratique tel que celui qu’on trouve chez Mercedes par exemple pourrait être ajouté par la suite via une mise à jour OTA (Over The Air, via une connexion Internet).

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Son emplacement est d’ailleurs tout trouvé avec le volet inférieur qui s’ouvre en appuyant sur le bouton tactile situé en bas à droite de l’écran. Celui-ci donne accès à certaines commandes comme l’activation de la fonction S-Pedal pour la conduite à une pédale, le réglage du freinage régénératif, ou encore la désactivation de l’ESP ou de l’assistant au maintien dans la voie.

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Après quelques minutes au volant de la Smart #3, l’interface n’a plus vraiment de secret pour les utilisateurs qui peuvent aussi utiliser l’assistant vocal Cheetah symbolisé à l’écran par une panthère plutôt qu’un renard dans la Smart #1. Très réactif, le système a parfaitement fonctionné en répondant correctement à nos commandes, qu’il s’agisse de régler la température de l’habitacle ou même d’ouvrir le hayon ou les fenêtres arrière par exemple.

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Le cas problématique du GPS

Reste un autre domaine dans lequel la Smart #3 mérite là aussi une mise à jour dans les plus brefs délais pour voyager sereinement en électrique : le GPS et son pseudo planificateur d’itinéraire. Durant notre essai, la fenêtre du GPS indiquant la direction suivante à prendre, la distance avant de tourner et l’heure d’arrivée s’est bloquée à deux reprises dans deux modèles différents de la Smart #3. Un bug qui concernait non seulement l’écran principal d’infodivertissement, mais aussi l’affichage tête haute. Nous avons tenté d’arrêter et de verrouiller la voiture pendant quelques minutes, en vain. Heureusement, la route à suivre était toujours affichée dans la fenêtre principale.

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De plus, s’il est possible de saisir une destination lointaine, la Smart #3 ne propose pas de planificateur d’itinéraire à proprement parler. En sélectionnant un parcours de Aix-en-Provence à Paris, le système de la voiture nous indiquait une arrivée avec un SOC (niveau de charge de la batterie) de – 173 %.

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L’astuce consiste alors à cliquer sur le bouton “Ajouter” avec son icône de borne pour afficher les arrêts de recharge. Mais là encore, le système se limite à indiquer des bornes qui ne sont pas forcément sur autoroute, et en préconisant une charge jusqu’à 80 % sans autre considération. Au final, il faudra pour le moment se contenter d’utiliser le GPS et de sélectionner l’outil de recherche des bornes quand le niveau de la batterie de la Smart #3 commence à baisser. Celui-ci permet de filtrer par niveau de puissance et par type de connecteur.

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ADAS et infordivertissement efficaces

Bien équipée, la Smart #3 met à profit la qualité de son écran pour les aides au stationnement. Les images issues de caméras avant et arrière sont de qualité, avec une vue à 360 degrés vraiment pratique. Il est même possible de sélectionner la caméra de son choix et vous ne pourrez pas rater votre créneau à moins de le faire exprès.

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Autre très bon point du système d’infodivertissement de la Smart #3, l’intégration de CarPlay (sans fil s’il vous plait) est particulièrement réussie (il prend également en charge Android Auto mais nous n’avions pas de smartphone compatible sous la main). Alors qu’il faut se contenter d’une fenêtre bien trop petite dans la Mini Countryman SE All4 par exemple, le système d’Apple tire ici parfaitement profit des 12,8 pouces de la dalle tactile. Les icônes sont aisément accessibles grâce à leur grande taille, et les informations sont toujours bien lisibles en un clin d’œil.

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Alors que la Volvo EX30 qui est basée sur la même plateforme a choisi de ne proposer qu’un seul écran d’infodivertissement y compris pour la conduite, la Smart #3 est équipée d’un deuxième écran derrière le volant. Dédié à l’instrumentation, celui-ci affiche les informations habituelles :

  • vitesse
  • niveau de la batterie en pourcentage
  • autonomie restante en km
  • limitation de vitesse actuelle
  • heure
  • température extérieure
  • aides à la conduite et l’ordinateur de bord (odomètre, consommation moyenne)

Enfin, un affichage tête haute de dix pouces est proposé de série sur les Smart #3 Premium et Brabus. Pas franchement indispensable, il se contente d’afficher la vitesse, les panneaux de limitation de vitesse et la direction à suivre aux échangeurs. Notez que l’affichage tête haute n’est pas compatible avec les verres polarisés des lunettes de soleil.

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Quatre versions pour la Smart #3

La Smart #3 se décline dans quatre finitions Pro, Pro+, Premium, et bien entendu Brabus. Les trois premières partagent la même motorisation avec un bloc électrique synchrone à aimants permanents en position arrière, qui développe 200 kW de puissance maximale (soit environ 271 ch) et 343 Nm de couple. La vitesse maximale est limitée à 180 km/h et le 0 à 100 km/h donné pour 5,8 secondes.

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Avec ses deux moteurs (un sur l’essieu avant et un sur l’arrière), la Smart #3 Brabus est comme de coutume la plus puissante du lot avec 315 kW (428 ch, excusez du peu) et 584 Nm de couple ! La vitesse de pointe ne change pas avec là encore 180 km/h, mais le 0 à 100 km/h ne demande plus que 3,7 secondes. C’est cette version que nous avons pu essayer dans un premier temps avant de passer à la Smart #3 Premium.

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Côté batterie, la Smart #3 Pro est équipée d’un pack LFP (lithium fer phosphate) de 49 kWh. Avantage de cette technologie, il est possible de recharger jusqu’à 100 % sans dégradation notable de la batterie. Le constructeur annonce une autonomie WLTP de 325 km. Sur ce modèle, la puissance de charge est limitée à 130 kW sur les bornes rapides en courant continu DC, et 7,4 kW en courant alternatif. Comptez environ 30 minutes pour passer de 10 % à 80 % dans le premier cas, et 5,5 heures dans le second cas.

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Les plus pressés et ceux qui roulent beaucoup s’orienteront naturellement vers la Smart #3 Pro+. En effet, celle-ci est équipée d’une batterie NCM (nickel cobalt manganèse) de 66 kWh. Contrairement à la technologie LFP, il est recommandé de recharger jusqu’à 80% au quotidien. L’autonomie WLTP annoncée est ici de 435 km, et la puissance de charge passe à 150 kW en courant continu. De quoi recharger là encore en moins de 30 minutes malgré la capacité plus importante de la batterie. Enfin, la recharge en courant alternatif est trois fois plus rapide grâce au chargeur embarqué de 22 kW. L’opération demandera alors moins de trois heures pour une charge de 10 à 80%.

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Plus lourde de 30 kg mais équipée du même moteur et de la même batterie que la Smart #3 Pro+, la Smart #3 Premium annonce pourtant une autonomie WLTP un peu plus importante à 455 km. En effet, cette version est équipée d’une pompe à chaleur plus efficiente. La puissance de charge en courant continu et en courant alternatif reste la même tout comme les temps de recharge annoncés. Enfin, toujours équipée de la même batterie NCM de 66 kWh, la Smart #3 Brabus promet une autonomie WLTP de 415 km. La faute à ses 100 kg de plus pour un poids total de 1910 kg à vide. Les puissances de charge et les temps de pause nécessaires sont les mêmes que pour les version Pro+ et Premium.

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Au volant de la Smart #3

Il est temps de prendre le volant de la Smart #3, d’abord dans sa version Brabus de plus de 400 ch. Celle-ci se distingue extérieurement avec quelques éléments de carrosserie, des jantes de 20 pouces au lieu de 19 pouces pour le reste de la gamme, et les badges Brabus.

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La présentation intérieure est soignée, en particulier au niveau des sièges enveloppants qui offrent un excellent maintien. Élégants avec leurs rivets, ils n’oublient pas non plus d’être très confortables en plus d’être chauffants et ventilés. Bon point, Smart n’a pas jugé utile d’intégrer un bouton de démarrage. Comme chez Tesla, il suffit de baisser le comodo droit sur le mode D pour se lancer.

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Les premiers tours de roues confirment les améliorations apportées à la Smart #3 en matière de comportement dynamique par rapport à la Smart #1. Le châssis rabaissé et son empattement rallongé lui confèrent un comportement plus sain et permet d’exploiter la puissance disponible.

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Et tant mieux tant la Smart #3 Brabus peut se montrer violente, voire même trop violente, surtout pour les passagers. En ligne droite, les accélérations sont incroyables et les reprises restent particulièrement vives même passés les 100 km/h. Elle ne manque vraiment pas de Watts cette nouvelle Smart, du moins jusqu’à ce que la batterie rendre les armes. Car avec une consommation d’un peu plus de 25 kWh/100 km, il sera bien difficile d’atteindre l’autonomie annoncée. Tant mieux pour notre confrère assis sur le siège passager qui commençait à devenir vraiment pâle.

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Il faut dire que nous avons aussi profité de cet essai pour tester le Launch Control de la Smart #3 Brabus. Une fois la fonction activée via le bouton dédié, il suffit d’appuyer sur le frein tout en accélérant à fond pour lancer un compte à rebours. En lâchant les freins, on se retrouve littéralement collé au siège alors que la voiture électrique nous catapulte à 100 km/h en quelques secondes seulement.

En baissant le rythme, la consommation se stabilise à moins de 18 kWh/100 km, et même 16 kWh/100 km environ en cycle urbain. Pour ce faire, la Smart #3 propose les incontournables modes de conduite. Ils sont au nombre de quatre sur la Smart #3 Brabus, et de trois pour les autres versions :

  • Eco
  • Confort
  • Sport
  • Brabus

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Le premier ne manque déjà pas de puissance et est parfaitement adapté à la conduite en milieu urbain. Mais ce sont finalement les modes Confort et Sport qui auront notre préférence. À la limite de la caricature, le mode Brabus durcit la direction et délivre toute la puissance avec une violence rare sur ce segment. À réserver pour les tours de manège donc.

La Smart #3 est aussi équipée d’une fonction S-Pedal pour la conduite à une pédale. Le système fonctionne jusqu’à l’arrêt total du véhicule, mais il faut néanmoins anticiper pour ne pas irrémédiablement appuyer sur la pédale de frein. Et ce même en activant le niveau le plus élevé de freinage régénératif.

Pour finir, nous avons aussi utilisé le système de conduite autonome de niveau 2. Baptisé Assistant Smart Pilot, celui-ci garde la Smart #3 au milieu de sa voie et conserve une distance de sécurité avec le véhicule qui la précède. Il est possible de lâcher le volant pendant quelques secondes avant d’être rappelé à l’ordre par le système.

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Quel tarif pour la Smart #3

La Smart #3 est commercialisé à partir de 37 315 euros pour la version Pro en entrée de gamme. Celle-ci bénéficie d’un niveau d’équipement déjà fort intéressant avec :

  • le toit panoramique Halo
  • le hayon électrique
  • l’Assistant Smart Pilot
  • la caméra à 360 degrés
  • l’écran d’infodivertissement de 12,8 pouces
  • les jantes de 19 pouces
  • les sièges avant chauffants
  • la recharge du smartphone par induction
  • les projecteurs LED avec feux de route automatiques

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Affichée à partir de 42 315 €, la Smart #3 Pro+ ajoute :

  • les sièges en cuir synthétique
  • la batterie de 66 kWh
  • le hayon électrique
  • la recharge en courant continu à 150 kW
  • le chargeur embarqué de 22 kW

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La Smart #3 Premium est proposée à partir de 45 315 €. Elle bénéficie notamment :

  • des sièges et du volant en cuir
  • du système audio Beats
  • de l’affichage tête haute de dix pouces
  • de l’éclairage d’ambiance
  • des feux de route adaptatifs
  • des poignées de porte escamotables
  • de l’aide au stationnement automatique

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Enfin, la Smart #3 Brabus chapeaute la gamme à partir de 49 815 €. Elle est équipée de :

  • sièges en microfibre et d’un volant en Alcantara
  • du système audio Beats avec 13 haut-parleurs
  • des jantes de 20 pouces
  • d’étriers de frein peints en rouge

Alors que toutes les versions de la Smart #3 sont affichées à moins de 47 000 €, la version Brabus mise à part, la voiture n’est pas éligible au bonus écologique de 4 000 €, ni même aux aides et primes locales. En effet, à l’instar de la Volvo EX30 avec laquelle elle partage sa plateforme mais qui devrait aussi être produite en Europe à partir de l’année prochaine, la Smart #3 est fabriquée en Chine.

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