Seule citadine trois portes survivante du marché avec la Fiat 500, la toute nouvelle Mini de cinquième génération se lance dans sa version électrique. Elle coûtera 34 000€ en premier prix.
La nouvelle Mini de cinquième génération ressemble beaucoup à la version restylée de la précédente mouture sous cet angle.
La Mini fait peau neuve pour la quatrième fois depuis le lancement de la fameuse première mouture de 1959, la troisième depuis que la marque a été intégrée au groupe BMW. Pour cette cinquième génération, c’est la technologie électrique qui est mise en avant par la division anglaise du groupe allemand puisque la citadine n’existe pour l’instant qu’en version à zéro émission (les déclinaisons thermiques arriveront ultérieurement).
Le style conserve l’esprit de la lignée des Mini du 21ème siècle, mais avec quelques différences notables au niveau de la poupe. Elle reste, de très loin, la citadine la plus forte en personnalité du segment. Et le seul modèle avec la Fiat 500 à continuer d’exister avec une carrosserie à trois portes, un genre disparu chez tous les autres constructeurs. Tant mieux pour le design extérieur, mais il faut hélas composer en contrepartie avec une habitabilité très moyenne aux places arrière. Et un coffre rikiki de 200 litres, à peine plus généreux que celui d’une Fiat 500e (185 litres) et loin derrière celui des vraies citadines du segment B.
L’intérieur conserve le même esprit mais l’écran tactile central passe à 24 cm de diamètre.
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Le style toujours touchant et mignon dans la catégorie des citadines.
Le coffre rikiki et les places arrière inévitablement limitées.
L’instant Caradisiac
La version thermique exposée sur le stand de Mini à côté de la version électrique est l’ancien modèle de quatrième génération, toujours au catalogue du constructeur sur notre marché. La future nouvelle mouture thermique sera une évolution de l’actuelle.
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