- Turo, le premier service d’autopartage au monde, débarque en France
- L’entreprise avait racheté l’acteur français OuiCar
- L’autopartage est l’occasion pour les propriétaires de rentabiliser leur véhicule dormant
- Turo en France, grâce à OuiCar
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Turo, le premier service d’autopartage au monde, débarque en France
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L’entreprise avait racheté l’acteur français OuiCar
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L’autopartage est l’occasion pour les propriétaires de rentabiliser leur véhicule dormant
Turo en France, grâce à OuiCar
C’est officiel : il est temps de dire au revoir à OuiCar… et bonjour à @turo ! Passez au niveau supérieur en rejoignant la plus grande plateforme d’autopartage au monde.Téléchargez l’app Android : https://t.co/be2RVLLdjj
Ou iOS : https://t.co/TnEgp273LM#turo #autopartage pic.twitter.com/OnI1R44tNu— OuiCar (@ouicar) 15 novembre 2023
Turo dispose d’un solide historique sur son propre sol. Il est possible de réserver à peu près n’importe quel véhicule (y compris des voitures de prestige) dans différents pays : “Turo est la plus grande plateforme d’autopartage au monde. Elle vous permet de réserver la voiture que vous désirez, là où vous voulez, auprès d’une communauté dynamique d’hôtes tant au Canada, aux États-Unis, au Royaume-Uni, en Australie qu’en France. Que vous veniez de loin ou que vous cherchiez une voiture près de chez vous, que vous soyez à la recherche d’une camionnette robuste ou d’une voiture élégante, les invités peuvent prendre le volant de la voiture parfaite pour toute occasion”.
En France, un véhicule ne serait utilisé en moyenne que de 7h12 par semaine selon une étude d’Ipsos et Boston Consulting. Il y a donc matière à rentabiliser ces périodes dormantes pour les propriétaires.
Mais il ne faut pas oublier de s’assurer que son assurance prend en compte le partage de son véhicule pour quelques heures, ou quelques jours. Si une assurance est bien comprise dans le coût de la location sur la plateforme Turo, il faut toutefois bien prendre en compte les frais couverts. Et selon, compléter avec son assurance personnelle. Et bien entendu, en cas d’infraction routière, le contrat de location fourni par la plateforme apportera la preuve que ce n’est pas le propriétaire qui était au volant du véhicule, mais bien l’usager de la plateforme.