L’Apple Car, comme on l’appelle officieusement, n’arrivera pas avant des années sur les routes, mais Apple la développe et la teste discrètement en coulisses. On en sait peut-être d’ailleurs déjà un peu plus à son sujet.
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En effet, dans les voitures conventionnelles, les sièges sont fixes et les airbags sont placés dans les surfaces intérieures, telles que le tableau de bord, le volant, les portes et le toit. De cette manière, les constructeurs peuvent prévoir où se trouvera la tête des passagers en cas de collision et déployer les airbags en conséquence. Cependant, avec les sièges flexibles, la tête des passagers peut se trouver dans des positions différentes, en fonction de la manière dont ils règlent leur siège. Il est donc plus difficile de concevoir et de déployer les airbags de manière efficace. Heureusement, Apple aurait une solution.
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L’Apple Car pourrait être encore plus intelligente que ses rivales sur la sécurité
Apple envisagerait donc une approche radicalement différente de la sécurité par rapport à la concurrence. Toutefois, cette nouvelle technologie soulève également des questions quant à la fiabilité et à la fiabilité de la technologie de conduite autonome, en particulier à la lumière des accidents occasionnels qui se sont produits avec d’autres voitures autonomes.
Comme il s’agit d’un brevet, Apple pourrait ne pas intégrer cette fonctionnalité dans la première génération de sa voiture à conduite autonome, mais plutôt dans une version ultérieure, lorsque la technologie de conduite autonome aura mûri et fait ses preuves. Pour l’instant, Apple pourrait s’en tenir à des sièges et des commandes plus conventionnels, et se concentrer sur l’amélioration des performances et de la sécurité de sa voiture à conduite autonome, qui on le rappel, serait prévue pour 2026 ou plus tard.