Le pitch
Vous ne connaissez peut-être pas la Bentley Batur (voyez les liens ici) vu qu’il n’y en a eu que 18 de construites. Mais cette Bentley exclusive carrossée par Mulliner se voit désormais déclinée en version cabriolet dénommée Bentley Batur Convertible. Pour bien faire maronner ceux qui ont acheté le coupé ? Ceux qui ont déjà une Bacalar feront sans doute les blasés…
Les perfs et les specs
On retrouve aussi la boîte double embrayage 8 rapports ainsi qu’un échappement sport. L’échappement a été réalisé en titane, tout comme ses embouts de sorties qui ont été fabriqué en impression 3D.
Le look
Pour cette version Convertible, les designers de Mulliner ont mixé les designs du roadster Bacalar et de la Batur tout en lui intégrant la facilité d’utilisation d’un cabriolet. Les designers ont dessiné un habitacle « enveloppant » inspiré du design de la Bacalar.
La capote peut être déployée et rangée en 19 secondes, et ce jusqu’à 50 km/h.
Les clients pourront évidemment personnaliser quasiment tous les éléments de leur modèle. Le choix de la teinte est infini, il est possible de faire réaliser des éléments graphiques peints à la main sur la carrosserie. On peut mélanger des couleurs claires et foncées, satinées ou brillantes, et même des teintes en titane. Il est également possible d’opter pour une couleur contrastée graduelle sur la calandre, pour un effet ombré.
Mais sinon, pour une deux places, elle n’a pas un peu le cul long ?
Les prix
S’il y a eu 18 Batur coupés, il n’y aura que 16 Batur Convertible. Pour les amateurs d’exclusivité, sachez quelle sera malgré tout plus « répandue » que la première Mulliner cabriolet baptisée Bacalar qui était une Continental GTC dont le W12 « ne produisait que » 659 ch contre 750 ici.
On ne connait pas encore le prix exact mais le coupé coûtait déjà près de 2 millions d’euros. Bentley précise que « les clients ont été sélectionnés pour co-créer une pièce réellement unique« .
L’opinion
Est-ce que c’est plus joli qu’une Bacalar ? Est-ce que c’est plus sympa à l’oeil qu’une GTC ? À vrai dire, on n’arrive pas à trancher mais si on devait craquer pour un exemplaire, ça nous ennuierait beaucoup d’en croiser une autre identique dans la rue un jour.
