Bentley vient de dévoiler la dernière réalisation de son département de personnalisation, Mulliner. La nouvelle Batur Convertible reprend les dessous du coupé éponyme, tout en abandonnant son toit pour pouvoir cruiser cheveux au vent. Avec ce cabriolet ultra exclusif, les quelques propriétaires chanceux pourront afficher leur supériorité par rapport aux possesseurs de banales Continental GTC !
Quand on a beaucoup d’argent, vraiment beaucoup, et qu’on souhaite s’offrir une belle voiture, on se tourne vers Rolls-Royce ou Bentley. Mais quand on a tellement d’argent et que l’on ne sait plus quoi en faire, alors on va frapper à la porte des départements de personnalisation de ces deux marques, Mulliner dans le cas de Bentley. Cette division d’ultra luxe est en effet à l’origine de certains des modèles les plus exclusifs du marché, comme la Bacalar ou la plus récente Batur.
Si le style Bentley est bel et bien reconnaissable au premier coup d'oeil, on s'aperçoit rapidement que les lignes sont affinées au maximum
Comment faire passer une Continental GTC pour la voiture du peuple ?
Les lignes sont largement reprises à la Batur Coupé. On retrouve la même face avant, cela dit les changements sont plus notables à l’arrière du fait de l’abandon du toit au profit d’une capote en toile. La voiture abandonne donc son profil fastback. La face arrière en elle-même ne change que très peu, on note simplement l’apparition d’un becquet discret, tandis que la vaste plage arrière arbore un double bosselage qui prolonge les appuie-têtes.
Vous avez des enfants ? Dommage…
En parlant de numéro, sachez que Bentley ne prévoit de produire que 16 exemplaires pour le monde. Ni plus, ni moins. Ne perdez donc pas de temps si vous en voulez un, même s’il y a fort à parier qu’ils soient déjà tous vendus à des clients triés sur le volet. Chaque Batur Convertible sera équipée du W12 biturbo de la version coupé, développant 750 chevaux pour 1.000 Nm de couple, associé à un échappement sport pour profiter du son du moteur, cheveux au vent.
Les prix ont soigneusement été tenus confidentiels, mais on peut imaginer un tarif à 7 chiffres… L’ennui avec cette Batur Convertible, au-delà de son tarif et de sa faible quantité d’exemplaires, c’est qu’elle relègue la Continental GTC, pourtant déjà luxueuse, au rang de banal cabriolet !
