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Essai Kia Sportage : au volant du cousin du Hyundai Tucson

essai kia sportage : au volant du cousin du hyundai tucson

Kia Sportage (2021) : sur route

Le Kia Sportage adopte un look plus clivant

Crédit : Kia

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Kia Sportage (2021) : profil

Cette 5ème génération reprend la technique du Hyundai Tucson


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Kia Sportage (2021) : arrière

L’arrière évoque le SUV électrique de la marque, le Kia EV6

Crédit : Kia

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Kia Sportage (2021) : intérieur

L’intérieur affiche un beau double écran, et des raccourcis tactiles en dessous


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Kia Sportage (2021) : banquette arrière

La banquette est inclinable et chauffante sur ce niveau de finition

Crédit : Kia

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Kia Sportage (2021) : coffre

Le coffre est donné pour 587 L Crédit : Kia

Le constructeur coréen ne s’en cache pas : le Kia Sportage est, de loin, le modèle le plus important de sa gamme. Alors au moment de renouveler son SUV star, Kia n’a pas fait les choses à moitié. La partie technique est largement empruntée au cousin Hyundai Tucson, qui est un des plus gros cartons de l’année. Avec un look radicalement différent et un intérieur high-tech, le Kia Sportage vise le haut d’un panier très chargé sur le segment des SUV compacts. Découvrez notre essai en vidéo :

Un bond technologique évident par rapport au précédent Sportage

Dès l’extérieur, la révolution face à la génération précédente du Kia Sportage est évidente. Finies les formes rondouillardes et un peu banales, Kia mise, comme pour son SUV électrique l’EV6, sur un style volontairement clivant. L’objectif est de ne pas laisser indifférent. A l’intérieur en revanche, le Sportage reprend les codes des tendances du moment. On découvre donc un bandeau de deux écrans incurvés vers le conducteur. De 12,3 pouces chacun, il sont configurables à l’envi, et adoptent, sur notre finition GT Line haut de gamme, toutes les technologies actuelles. On retrouve donc de nombreuses aides à la conduite dont l’affichage automatique de l’angle mort lorsque le clignotant est allumé, et la conduite semi-autonome. Pas d’affichage tête-haute en revanche, dommage.

Pour le reste, l’intérieur de ce Kia Sportage haut de gamme est assez cossu, avec une finition sérieuse. On regrette juste une assise un peu ferme des fauteuils avant comme arrière, et des vide-poches un peu étroits dans les portières. La banquette arrière, fractionnable en 40/20/40, est inclinable et chauffante, très rare à ce niveau du marché. Le coffre est donné pour 587 L par Kia, et est bizarrement le plus généreux dans cette version hybride.

Au volant du Kia Sportage : cher, mais bien motorisé

Justement, parlons motorisation. Là aussi, le nouveau Kia Sportage se calque sur le Hyundai Tucson. Notre version d’essai était équipée de l’hybride 230 ch 4×4, facturée 46 990 € dans cette finition GT Line. Cher payé certes, mais à ce prix vous n’aurez littéralement aucune option à ajouter, hormis une peinture métallisée. De plus, ce 1.6 L hybride s’est montré très frugal dans nos mesures du Labo Auto Plus sous le capot du Tucson : 6,9 L/100 km en moyenne, et surtout 5,9 L/100 km en ville. Il se montre également d’une belle douceur d’utilisation, même si les performances sont loin d’être décoiffantes avec près de 1 700 kg sur cette version 4×4.

Bref, ce nouveau Kia Sportage reprend les (bons) arguments techniques du Hyundai Tucson, et saupoudre le tout d’un intérieur techno et d’un look qui ne passera pas inaperçu. Ce dernier devrait donc être déterminant quant à son succès sur le marché, face à des références comme son cousin ou le Peugeot 3008. Affaire à suivre !

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