- Un design malin… ou presque
- Un intérieur durable et recyclé… comme une bonne blague
- Des performances… dans la moyenne
- Le Fisker Blade : le gadget connecté
Cette berline compacte haut perchée, présentée lors du Product Vision Day d’août, est censée révolutionner la mobilité urbaine pour les jeunes citadins du monde entier. Mais avant de vendre la mèche, Fisker a décidé de nous faire languir jusqu’en juillet 2025 pour les premières livraisons. Parce que la patience, c’est bien connu, c’est le secret des grandes révolutions.
Un design malin… ou presque
Avec une longueur de 4,55 m, la PEAR se la joue compacte, mais pas trop. Elle se distingue par un coffre arrière ingénieux, baptisé le « coffre Houdini ». Ce dernier, comme son nom l’indique, a des pouvoirs magiques : il descend derrière le pare-chocs arrière pour éviter les collisions arrière. C’est sympa, mais on espère qu’il ne nous fera pas disparaître le contenu du coffre en cas de mauvais tour.
Et si le coffre arrière ne suffit pas à ranger votre pizza ou votre tenue de sport, pas de panique, la PEAR a pensé à tout avec son « frunk », un coffre avant. Vous pourrez y ranger vos affaires, et même isoler le tout pour garder vos aliments chauds ou froids. Oui, car il faut bien trouver un moyen de justifier le prix.
Un intérieur durable et recyclé… comme une bonne blague
Des performances… dans la moyenne
Côté performances, la PEAR n’est pas non plus une bête de course. Elle passe de 0 à 98 km/h en 6,3 secondes. Pas mal, mais il y a mieux. Et si vous préférez la transmission intégrale, vous pourrez opter pour des roues de 22 pouces avec des pneus haute performance, histoire de justifier encore un peu plus le prix.
Le Fisker Blade : le gadget connecté
La grande nouveauté, c’est le Fisker Blade, un ordinateur haute performance conçu en interne. Il promet une expérience connectée et digitale de haut vol. Bon, on ne sait pas vraiment ce que ça signifie, mais ça a l’air cool. Il y a aussi de la 5G, du WiFi 6, et tout un tas de trucs high-tech qui transforme la PEAR en minicentre de données. On se demande bien ce qu’on va pouvoir faire avec tout ça.