Appelées à se généraliser d’ici à 2025, les Zones à faibles émissions (ZFE) n’ont plus la cote auprès des élus. La mesure est même une « bombe sociale qui pénalise les plus pauvres » pour le patron des communistes, Fabien Roussel, qui appelle à « revenir en arrière » sur la mise en place du dispositif.
L’élu communiste s’indigne d’une mesure antisociale.
Acté par le Gouvernement il y a déjà de nombreux mois, le déploiement à grande échelle des Zones à faibles émissions (ZFE) pourrait pourtant avoir du plomb dans l’aile.
Fabien Roussel appelle ainsi le gouvernement à « revenir en arrière » sur un dispositif qui : « pénalise les plus pauvres. »
Dans le même temps, le patron du PC propose de « permettre aux Français de pouvoir acheter des véhicules électriques pas chers avec une prime à la conversion plus importante » avec des véhicules aux prix bloqués, et de rendre les transports en commun gratuits.
À ce jour, la loi prévoit pourtant toujours une extension des ZFE à 43 agglomérations de plus de 150 000 habitants d’ici 2025.