Déjà très audacieux sur la première génération (avec toutefois un assagissement lors de son restylage et sur la version électrique), le Kona 2 peut se permettre de continuer sur cette voie en raison de ses succès commerciaux validés (qui ne sont toutefois pas liés à son style, mais plutôt d’un ensemble de variables qui en ont fait un produit abouti au rapport qualité/prix avantageux. On pensera à la version électrique très bien positionnée). On reconnaîtra ici les gènes du Sportage avec un curseur qui a été mis encore un peu plus loin en terme de prise de risque, et c’est cohérent avec son positionnement inférieur qui l’expose un peu plus à une clientèle jeune (bien que cette dernière soit acculée par cette époque si difficile …).
Mais sachez que son minois se déclinera de manière assez tranchée entre les versions classiques, N-Line et électrique, avec des calandres bien spécifiques (la version N-Line rappelle le style du Kona phase 1 qui était plus charismatique mais aussi clivante).
La nouveauté se situe surtout au niveau de ses mensurations qui évoluent largement à la hausse, ce qui le rapproche désormais du Niro (il a désormais la même taille que le Niro 1 et ses 4.36 mètres). Avec pas moins de 19 cm en plus par rapport au précédent (Kona phase 1), on peut dire que c’est loin d’être anecdotique ! Il semble donc que les études de marché aient mené vers ce format plus polyvalent qui le rapproche désormais des SUV urbains polyvalent (un 2008 II fait 4.3 mètres par exemple).
On ne change pas une équipe qui gagne
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