Hyundai

Hyundai Kona

Hyundai Kona : à bord de la seconde génération du SUV multi-énergies

Hyundai a entièrement revu son SUV urbain Kona pour sa deuxième génération, plus grande et habitable mais toujours multi-énergies. Nous avons pu monter à bord avant sa commercialisation.

hyundai kona : à bord de la seconde génération du suv multi-énergieshyundai kona : à bord de la seconde génération du suv multi-énergieshyundai kona : à bord de la seconde génération du suv multi-énergieshyundai kona : à bord de la seconde génération du suv multi-énergieshyundai kona : à bord de la seconde génération du suv multi-énergieshyundai kona : à bord de la seconde génération du suv multi-énergieshyundai kona : à bord de la seconde génération du suv multi-énergieshyundai kona : à bord de la seconde génération du suv multi-énergieshyundai kona : à bord de la seconde génération du suv multi-énergieshyundai kona : à bord de la seconde génération du suv multi-énergieshyundai kona : à bord de la seconde génération du suv multi-énergieshyundai kona : à bord de la seconde génération du suv multi-énergieshyundai kona : à bord de la seconde génération du suv multi-énergieshyundai kona : à bord de la seconde génération du suv multi-énergieshyundai kona : à bord de la seconde génération du suv multi-énergieshyundai kona : à bord de la seconde génération du suv multi-énergieshyundai kona : à bord de la seconde génération du suv multi-énergieshyundai kona : à bord de la seconde génération du suv multi-énergieshyundai kona : à bord de la seconde génération du suv multi-énergieshyundai kona : à bord de la seconde génération du suv multi-énergieshyundai kona : à bord de la seconde génération du suv multi-énergieshyundai kona : à bord de la seconde génération du suv multi-énergieshyundai kona : à bord de la seconde génération du suv multi-énergieshyundai kona : à bord de la seconde génération du suv multi-énergieshyundai kona : à bord de la seconde génération du suv multi-énergieshyundai kona : à bord de la seconde génération du suv multi-énergieshyundai kona : à bord de la seconde génération du suv multi-énergieshyundai kona : à bord de la seconde génération du suv multi-énergieshyundai kona : à bord de la seconde génération du suv multi-énergies

En décembre dernier, Hyundai révélait en partie la deuxième génération de son SUV urbain, le Kona. Après le succès de la première itération face à une concurrence pourtant très affutée (Renault Captur, Ford Puma, Peugeot 2008…), la marque devait faire les bons choix pour renouveler le modèle.

Ainsi, Hyundai a choisi de commencer par développer les déclinaisons 100 % électriques du nouveau Kona, avant de transposer leurs attributs et équipements spécifiques aux variantes hybrides. Cela donne un style futuriste pour toutes les variantes, très épuré à l’avant comme à l’arrière et dicté par l’aérodynamique. Les optiques sont placées aux quatre coins, sur des ailes surgonflées, rappelant le cousin Kia Niro. Des bandeaux lumineux courent sur toute la largeur de la carrosserie à l’avant comme à l’arrière, à la façon d’un Hyundai Staria. De profil, on a le sentiment de voir un petit Tucson, avec des lignes anguleuses sur les portes et un vitrage latéral qui remonte vers le becquet, souligné par une fine baguette chromée ou noire selon la version.

On note quelques détails spécifiques selon les versions, comme une prise de recharge à l’avant, une grille en bas du pare-chocs et des bandeaux de feux de jour (avant et arrière) en pixels sur le Kona électrique, ou une calandre spécifique sur l’hybride. La finition sportive N Line s’offre un look plus agressif, avec des pare-chocs plus imposants, un double échappement et un grand becquet sur le hayon. Cet aileron ne sera pas sur la version vendue en France.

L’un des plus grands du segment

Le constructeur coréen a choisi de faire grandir le Kona, faisant de lui l’un des plus imposants de son segment avec 4,35 m de long (voire même 4,39 m en finition N Line aux pare-chocs proéminents). C’est la taille d’un Toyota C-HR, et bien plus grand qu’un 2008 ou un Captur, respectivement à 4,30 m et 4,23 m. Cela permet de mieux se distinguer du Bayon, plus petit et plus proche de la i20 (à la plateforme et aux motorisations différentes). Ces 15 à 17 cm de plus en longueur (dont 6 cm d’empattement) bénéficient surtout aux places arrière et au coffre. Il gagne 100 litres pour atteindre 466 litres sur toutes les versions. A noter que la variante électrique dispose en plus d’un “frunk” inédit, un petit coffre de 27 litres sous le capot avant permettant d’y loger les câbles de recharge.

Un habitacle plus moderne et accueillant

L’habitacle évolue lui aussi avec une planche de bord intégrant un double écran incurvé de 12,3 pouces chacun. Les boutons physiques sont conservés, avec un gros bloc pour la climatisation et une ligne de raccourcis sous l’écran multimédia pour la navigation, la radio, les réglages ou l’accès à une fonction favorite enregistrée. Deux molettes sont placées de chaque côté (volume à gauche et changement de station radio à droite). En bas de la console centrale, on trouve deux prises USB type C et un chargeur de smartphone à induction. La console ouverte bénéficie de porte-gobelets modulables et d’un petit accoudoir. Deux rangées de boutons (sièges chauffants et ventilés, volant chauffant, Auto-Hold…) et une molette pour les modes de conduite y sont aussi placées. Enfin, un autre espace de rangement ouvert est situé au-dessus de la boîte à gants, avec un éclairage d’ambiance personnalisable.

Les sièges avant sont affinés pour gagner en espace à bord, en plus de l’empattement généreux qui dégage aussi de la place aux jambes des passagers du second rang. Le plancher est totalement plat et la banquette arrière est très peu creusée. En revanche, elle n’est pas coulissante comme sur un Captur. L’habitacle regorge encore de plastiques durs, même en haut de la planche de bord. Malgré tout, des efforts ont été faits sur les inserts façon alu brossé sur la planche de bord, qui se prolongent vers les raccourcis sous l’écran. Sur la contreporte, un élément moussé plus agréable se situe sur la zone de contact, près de la poignée de porte.

Hybride ou électrique en France

Sous le capot, le Kona propose toujours plusieurs motorisations. Néanmoins, la version 100% thermique n’est pas vendue en France contrairement à d’autres marchés. Le SUV de Hyundai reprend à son compte la motorisation hybride du Kia Niro, un quatre-cylindres 1.6 de 105 associé à un moteur électrique de 43,5 ch pour une puissance cumulée de 141 ch. En revanche, aucun PHEV n’est prévu pour le moment. Même si la technologie est disponible, il n’y pas vraiment d’intérêt sur le marché en plus de l’hybride simple selon la marque. Le sportif Kona N, avec son 2.0 de 280 ch, n’est pas renouvelé. De toute façon, la première génération n’était pas vendue en France.

Pour cette nouvelle génération, Hyundai mise encore plus sur le Kona électrique, qui a réalisé 41% des ventes européennes depuis le lancement en 2017 (et plus de 50% en France !). Pour cela, deux versions sont proposées : une de 160 kW (218 ch) associée à une batterie de 65,4 kWh pour une autonomie d’environ 490 km, et une seconde de 114,6 kW (156 ch) associée à une batterie de 48,4 kWh offrant environ 342 km d’autonomie. La plateforme K3 utilisée reste sur un système 400V et non pas le 800V des Ioniq 5 et Ioniq 6 basées sur une plateforme E-GMP. Ainsi, elle n’offre pas une recharge aussi rapide et la puissance de charge maximale est de 103 kW. Un chargeur 11 kW est livré de série.

Commercialisation et prix du nouveau Hyundai Kona

Le Kona hybride, produit en Corée du Sud, sera commercialisé en juin 2023. Il sera affiché à partir de 34 000 € en entrée de gamme. Le Kona électrique, lui, sera disponible en concessions à la rentrée de septembre 2023, et produit en République Tchèque. Selon la marque, toutes les versions devraient être accessibles au bonus écologique de 5 000 € en France, soit un tarif en-dessous des 47 000 €.

Photos : DR.

TOP STORIES

Top List in the World