Dévoilée l’année dernière au Mondial de l’Automobile de Paris, la nouvelle Jeep Avenger tente de marier modernité et tradition. Un peu comme tenter de faire fonctionner une machine à écrire avec un iPhone : ambitieux et peut-être un peu fou. Ce véhicule électrique compact, mais étonnamment spacieux, se veut le fer de lance des valeurs de la marque, un peu comme le cousin électrique excentrique de la famille Jeep.
Pour nous faire avaler la pilule électrique, Jeep a lancé une websérie sur YouTube. Quatre épisodes d’une minute, chacun correspondant à l’une des valeurs chères à Jeep. Oubliez les sagas interminables à la Seigneur des Anneaux, c’est court, direct, et ça parle de bagnoles électriques, rien de plus exaltant. Dans le premier épisode, Sandro Beni, un parachutiste, nous embarque dans le ciel à la recherche du sens de la liberté. Parce que rien ne dit “liberté” comme sauter d’un avion et espérer que le parachute fonctionne. Un sentiment que Jeep promet de maintenir avec l’Avenger, grâce à un accent particulier sur la durabilité. Parce que rien n’est plus durable qu’un véhicule électrique alimenté par des batteries qui coûtent un bras. Le deuxième épisode se la joue aventurier avec Szilvia Rados, une exploratrice de 44 ans. Elle nous explique que l’aventure, c’est un peu comme tomber amoureux. Si c’est le cas, alors l’Avenger est son partenaire de voyage, capable de braver les routes non goudronnées aussi vaillamment qu’elle affronte les lignes escarpées du canyon. On se demande juste si l’amour peut être rechargé à une station-service. L’authenticité, une valeur chère à Jeep. Umberto Dattola, designer dans l’épisode trois, nous fait un tour exclusif de son atelier. Selon lui, être authentique, c’est un peu comme être le pionnier du SUV 4×4. Il transforme les matières premières en quelque chose d’inégalé et remarquable, tout comme l’Avenger, qui espère être à la hauteur des standards de qualité et d’éthique du travail de Jeep.
