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L’O.P.P. aime quand les utilisateurs indiquent à quel endroit ils sont situés sur la route pour les trappes à vitesse.
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De nos jours, les automobilistes peuvent compter sur une multitude d’outils et d’applications pour mieux naviguer à travers les mailles de la jungle urbaine et extra-urbaine. L’une d’entre elles, l’application Waze notamment disponible sur les systèmes intégrés Apple CarPlay et Android Auto, s’est surtout fait remarquée grâce à son modèle d’affaire qui se base sur l’information générée par ses utilisateurs.
Par exemple, un automobiliste qui aperçoit un bouchon de circulation ou un nid-de-poule ou n’importe quelle autre entrave sur son chemin peut très rapidement soulever la présence de cet obstacle sur l’application qui l’enregistre et le rend disponible à tous les autres automobilistes.
Toutefois, l’identification de ces trappes à vitesse pourrait s’avérer bénéfique aux yeux de l’O.P.P. (pour Ontario Provincial Police). Contrairement à la croyance populaire voulant que les policiers soient contre ce type d’application, l’O.P.P. préfère que les utilisateurs utilisent cette application – d’ailleurs, Waze n’est plus la seule application qui offre ce service basé sur la volonté des utilisateurs – pour rendre la route plus sécuritaire et plus prévisible.
Lorsque les récidivistes de la vitesse aperçoivent ces alertes de trappes à vitesse, ils ralentissent et contribuent à rendre la route plus sécuritaire. C’est dans cette optique que le corps policier ontarien espère ralentir les ardeurs des automobilistes.
Bref, si on se fie aux dires du corps policier ontarien, l’application Waze et sa fonction d’identification des « trappes à vitesse » sur la route est une bonne chose pour la sécurité des utilisateurs de la route.