Il n’y a pas plus voyageur que l’Espace dans la gamme Renault. On a donc fait 2 000 km pour mettre à l’épreuve le nouveau modèle, devenu un SUV hybride. La première surprise vient de sa consommation.
- RENAULT Espace 1.2 E-Tech Techno
- Moteur Renault Espace 2023 : full hybride ou rien
- Ce qu’on a aimé avec le nouveau Renault Espace
- Ce qu’on a moins apprécié avec le Renault Espace 6
- Faut-il choisir le Renault Espace 6 ?
- Les finitions, les prix et les équipements
- Renault Espace Techno : 44 500 €
- Renault Espace Esprit Alpine : 47 500 €
- Renault Espace Iconic : 49 500 €
- Fiche technique détaillée Renault Espace E-Tech 200
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Prix, fiche technique et avis : retrouvez toutes nos infos dans cet essai du Renault Espace 6.
RENAULT Espace 1.2 E-Tech Techno
- – Moteur : Hybride
- – Puissance: 200 ch
- – Lancement : Avril 2023
- – A partir de 44 500 €
- – Ni bonus ni malus
- Voir la fiche technique
En tournant le dos à la formule monospace pour adopter une morphologie de SUV familial, le Renault Espace 6 fait un saut dans une catégorie bien fournie où l’on compte notamment les Peugeot 5008, Skoda Kodiaq ou Volkswagen Tiguan Allspace. Face à cette concurrence, quelles sont les armes du Renault Espace 2023 pour convaincre ? C’est ce que nous sommes partis découvrir lors d’un road-trip de 2 000 km entre la région parisienne, le nord de la France et la Bretagne.
Avant le départ pour Lille, faisons le tour du propriétaire de « notre » Espace d’essai qui est la version la plus accessible de la gamme. Il s’agit en effet de la finition Techno à 44 500 €, habillée de la peinture gris Schiste facturée 750 €. Renault ne s’est pas tordu le poignet pour dessiner cet Espace : il ressemble comme deux gouttes d’eau à l’Austral, avec lequel il partage sa base technique. À l’avant, seule la calandre à barrettes verticales est spécifique au modèle. Pour loger sa troisième rangée de sièges dans le coffre et proposer plus d’aisance au second rang, l’Espace porte sa longueur à 4,72 m, soit 21 cm de plus que l’Austral, répartis ainsi : 7 cm sur l’empattement et 14 cm sur le porte-à-faux arrière.
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Petite pause devant un port breton pour notre Renault Espace E-Tech Techno. Vous lui trouvez un air d'Austral ? Rien de plus normal, l'Espace 6 repose sur la même base.
Bertrand Bellois – L'argus
Moteur Renault Espace 2023 : full hybride ou rien
L’Espace ne laisse pas le choix côté moteur avec une seule proposition, celle de la nouvelle génération du système hybride E-Tech. Cet ensemble est composé d’un moteur trois cylindres turbo à cycle Miller, d’une batterie de 2 kWh et de deux moteurs électriques, dont un pilote la boîte de vitesses à crabots. Ce propulseur offre une puissance de 200 ch en pic et une valeur mixte de consommation très basse à 4,6 l/100 km. Ainsi gréé, l’Espace hybride affiche des émissions de CO2 qui lui permettent d’échapper au malus écologique, ce qui n’était pas le cas de l’Espace 5 diesel en fin de carrière et ce qui n’est pas le cas des concurrents carburant au gazole.
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Lors de cet essai longue durée, nous avons souvent rencontré des routes humides, voire détrempées. L'Espace n'y a montré aucune faiblesse côté motricité.
Alexandre Krassovsky
Ce qu’on a aimé avec le nouveau Renault Espace
1) La consommation. Dans tous les essais que nous faisons à L’argus, nous constatons que moteur full hybride et carrosserie de SUV font rarement bon ménage côté consommation, surtout sur l’autoroute. Pas avec l’Espace, qui nous a réservé une bonne surprise de ce côté. Sur les 1 990 km parcourus, la consommation s’est établie à 6,4 l/100 km à l’ordinateur (6,7 l en réel après nos vérifications à chaque plein). On est loin de la consommation WLTP, mais le résultat est remarquable pour un modèle hybride essence si volumineux.
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La consommation moyenne s’est établie à 6,4 l/100 km au bilan des 1 990 km de notre essai.
Bertrand Bellois – L'argus
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Sur l'ensemble du trajet, 674 km ont été parcourus en mode électrique, soit un tiers de la distance.
Bertrand Bellois – L'argus
La performance est d’autant plus à souligner que l’autoroute, exercice peu favorable aux hybrides, a représenté la moitié de la distance. Nous avons d’ailleurs enregistré les débits suivants sur différents trajets : 5,6 l/100 km (5,9 l en réel) sur un parcours route-périurbain et 6,9 l/100 km (7,2 l en réel) sur autoroute. Ces consommations sont proches de celles qui avaient été relevées pendant l’essai longue durée de l’Austral E-Tech Esprit Alpine, qui était équipé de jantes de 20 pouces contre 19 pouces pour notre Espace Techno.
2) La douceur de conduite. Papas pressés, passez votre chemin ! Si l’Espace affiche une puissance flatteuse de 200 ch, ce n’est pas par sa vigueur qu’il va convaincre. Ce sont plutôt ses nombreuses phases de roulage en électrique, surtout en ville, qui séduiront avec à la clé douceur et silence de marche (sur 1 990 km d’essai, 674 km ont été parcourus en électrique, soit un tiers de la distance). Et quand le trois-cylindres vient à se réveiller – avec moins de brutalité que sur les premiers E-Tech essayés –, c’est pour porter assistance à la propulsion et à la recharge de la batterie, non pour transformer l’Espace en SUV musclé.
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La conduite de l'Espace E-Tech s'apprécie au fur et à mesure des kilomètres. Une fois que l'on a cerné le fonctionnement de son système hybride, on privilégie la souplesse à la manière forte.
Alexandre Krassovsky
C’est donc en adoptant une conduite souple que l’on apprécie le mieux l’Espace, surtout avec notre version Techno dépourvue du châssis 4Control (roues arrière directrices et train arrière multibras). Le SUV n’a donc pas l’agilité des versions qui reçoivent cet équipement (Esprit Alpine et Iconic). Il faut dès lors se satisfaire d’un comportement plus classique et d’une maœuvrabilité moindre dans les parkings. En revanche, la précision de la direction, le freinage facile à doser et la régénération qui se règle depuis les palettes derrière le volant nous ont permis d’apprécier l’expérience de conduite tout au long de ce road-trip.
3) Le confort et l’habitabilité. Le sens de l’accueil familial, on connaît chez Renault. Et le dernier Espace se fait fort de transporter tout le monde convenablement. Grâce à la suspension confortable et au niveau sonore maîtrisé il est possible de parcourir de longues distances sans fatigue. On a particulièrement apprécié l’ergonomie des sièges avant, ainsi que le large accoudoir central permettant de reposer le bras droit. Sur les étapes autoroutières, c’est toujours appréciable. Les passagers arrière sont aussi dorlotés, bénéficiant d’un très bon espace pour les jambes et d’un dossier de banquette inclinable pour parfaire le confort postural. Deux adultes y seront même plus à l’aise que dans l’ancien Espace, dont les trois sièges indépendants positionnaient les passagers latéraux trop près des panneaux de porte.
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Les sièges avant profitent d'une bonne longueur d'assise et d'un maintien latéral efficace.
Alexandre Krassovsky
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La banquette coulisse en deux parties, et la place aux jambes est royale à l'arrière.
Alexandre Krassovsky
Depuis le lancement de la Mégane E-Tech puis de l’Austral, Renault est entré dans une nouvelle ère en matière de multimédia grâce à son système Open R Link, composé de deux écrans positionnés en L renversé. La qualité des écrans (graphismes et contrastes) tout comme la réactivité de l’interface sous Android sont remarquables. Google Maps très efficace et services connectés viennent en renfort du système, qui profite aussi d’une ergonomie digitale évitant l’écueil d’une distribution trop complexe des menus. L’ensemble est d’autant plus pertinent et facile d’usage que Renault ne fait pas l’impasse sur des commandes physiques pour les fonctions souvent employées. Résultat : le compromis proposé est l’un des meilleurs du marché.
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Le poste de conduite de l'Espace est très plaisant.
Alexandre Krassovsky
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L'écran central est réactif et facile à appréhender.
Alexandre Krassovsky
L’Espace a aussi la bonne idée de retenir une technologie utile et pas trop envahissante. Par exemple, il suffit de déconnecter une fois l’assistant de ligne via une touche physique pour qu’il ne se réactive pas à chaque démarrage. Cela devient rare sur les voitures neuves. Quant au régulateur de vitesse adaptatif (pack Driving à 400 € sur notre version), il réagit sans à-coups lorsqu’il s’agit de gérer l’écart avec le véhicule de devant (freinages et relances).
5) La présentation et l’équipement de série
L’Espace 6 avance un style extérieur qui manque d’originalité par rapport à ceux de ses prédécesseurs. Heureusement, il se rattrape avec une présentation chaleureuse de son habitacle. Les matériaux sont agréables, la sellerie en tissu des sièges fait costaud, et l’assemblage de l’ensemble ne souffre d’aucune critique. Les rangements sont par ailleurs suffisamment nombreux à l’avant pour stocker à portée de main tout ce dont on a besoin lors d’un voyage : bouteille d’eau, lunettes de soleil, biscuits et smartphone. Ce dernier prend place sur un support qui assure sa recharge par induction et qui coulisse pour découvrir les rangements de la console centrale.
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Le poste de conduite du Renault Espace 6 est très agréable, et le mobilier présente un dessin moderne. Des panneaux en tissu habillent les contre-portes ainsi que la planche de bord sur cette finition Techno.
Alexandre Krassovsky
L’équipement de série de la finition Techno ne présente ni le petit plus esthétique de la finition Esprit Alpine ni la générosité de l’Iconic, mais l’essentiel est là avec le système R Link, le GPS Google Maps, les connexions Apple Carplay et Android Auto, la recharge de smartphone par induction, l’accès mains libres, la caméra de recul et les compteurs numériques. L’ensemble est emballé à moins de 45 000 €, ce qui est compétitif dans le segment. L’affichage tête haute (800 €), le pack Driving (400 €) et le toit panoramique (1 000 €) seront cependant des options à ne pas négliger pour parfaire l’agrément au quotiden et pour faciliter la revente du véhicule plus tard. À noter que l’Espace est facturé au même prix en 5 et en 7 places. Notre modèle d’essai se présente d’ailleurs en configuration à 5 places. Il n’est donc pas équipé des deux sièges escamotables dans le coffre, qui sont à réserver à des enfants mais peuvent aussi faire office de dépannage pour deux adultes.
Ce qu’on a moins apprécié avec le Renault Espace 6
1) La capacité de chargement. L’Espace a longtemps été le véhicule à tout faire. Avec sa belle hauteur sous cabine et la possibilité de retirer ses sièges arrière, il servait aussi bien de voiture familiale que de petit déménageur. La cinquième génération avait écorné cette réputation avec son statut de crossover et ses sièges que l’on ne pouvait plus extraire. L’Espace 6 fait encore un pas en arrière avec un coffre qui manque de générosité pour un SUV familial (581 l avec la banquette reculée) et un seuil de chargement assez haut, défaut partagé avec d’autres SUV. Certes, le coffre peut augmenter sa capacité à 777 l en avançant la banquette, mais il n’y a alors plus de place pour les jambes des passagers. Sur ce point, le Renault fait moins bien que ses concurrents Peugeot 5008 et Skoda Kodiaq.
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Seuil de chargement haut et volume suffisant mais sans grande générosité : le coffre n'est pas ce qui se fait de mieux chez les SUV familiaux.
Alexandre Krassovsky
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L'absence de plancher à double niveau dans cette version 5 places dessert la modularité lorsque les dossiers sont rabattus.
Alexandre Krassovsky
2) La modularité en recul. Si vous êtes adepte des multiples aménagements de la cellule arrière, ce sera là aussi la déception. L’Espace 6 fait l’impasse sur les trois sièges individuels et coulissants vus à bord du modèle précédent. Il se contente d’une banquette coulissante 60-40 qui offre peu de solutions au moment de charger. Surtout, Renault n’a pas soigné les finitions. Si vous abaissez l’accoudoir central de la banquette, vous voyez ce qui se passe dans le coffre. Si vous baissez les dossiers,vous n’obtenez pas de surface de chargement plane du fait de l’absence d’un plancher à deux niveaux dans le coffre de cette version 5 places. Enfin, le seuil forme une marche avec le plancher, ce qui n’est jamais agréable pour décharger des objets lourds. Sur tous ces aspects pratiques, l’ex-roi de la modularité a abdiqué.
3) La boîte de vitesses trop lente. On l’a dit plus haut, l’Espace s’apprécie surtout en conduite souple qui sied bien à son hybridation. On aurait toutefois apprécié une boîte de vitesses plus réactive lorsqu’un besoin de puissance se fait sentir, pour doubler ou pour se relancer dans un col de montagne par exemple. Ici, il y a trop d’intertie au moment de rétrograder, et cela suprend. Pas en bien. Décidément, les voitures hybrides ont du mal avec la réactivité sur la route : chez Renault la boîte est lente, et chez Toyota le moteur s’emballe dans les relances. Il faut composer avec.
4) Le manque d’originalité. Auparavant, chaque génération d’Espace apportait son lot d’innovations et de surprises au plan estéhtique. Pas cette fois, puisque Renault a conçu et dessiné l’Espace 6 à moindres frais sur la base de l’Austral. La proximité esthétique avec ce dernier ne va pas faciliter la mission des vendeurs de la marque pour faire pencher la balance du côté du nouveau venu. C’est à se demander si ce véhicule devait absolument se nommer Espace, surtout que sa morphologie est bien plus proche de celle de feu le Koleos. Mais le retour de ce patronyme n’aurait pas été un choix commercial judicieux, surtout au moment où Renault s’appuie sur les noms de modèles à succès de son passé pour se relancer.
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À voir la proximité esthétique entre ces deux-là (jusque dans la découpe de la lunette arrière), on se dit que l’Espace 6 aurait dû s’appeler Koleos 3. Évidemment, c’est moins vendeur…
Bertrand Bellois – L'argus
Faut-il choisir le Renault Espace 6 ?
- L’Espace 6 apparaît comme une proposition compétitive dans son segment des SUV familiaux avec un prix bien placé. C’est surtout un véhicule agréable à conduire et qui utilise la technologie à bon escient, comme on l’a constaté au cours de cet essai longue durée. Quant à la frugalité de son hybridation, c’est un argument qui parle à l’heure de l’essence chère. Dommage que l’Espace bute sur une capacité de chargement inférieure à celles de ses rivaux et sur la banalité de sa modularité. Pour un véhicule dont le nom fait référence à une image idéalisée de la voiture familiale française c’est regrettable, mais pas insurmontable au moment du choix.
Les finitions, les prix et les équipements
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Grâce à son hybridation efficace, le Renault Espace 6 échappe au malus CO2 qui plombe souvent l'achat d'un grand véhicule familial. Avec 1 587 kg, notre Espace Techno 5 places évite aussi le malus au poids qui se déclenche à 1 600 kg en 2024.
Bertrand Bellois – L'argus
Renault Espace Techno : 44 500 €
De série. Aide au stationnement avant/arrière et latéral. Caméra de recul. Avertisseur d’angle mort. Multi-sense (selecteur de modes de conduite). Chargeur de smartphone à induction. Écran central tactile de 12 pouces. Compteurs numériques de 12,3 pouces. Apple CarPlay. Android Auto. Climatisation automatique bizone. Accès et démarrage mains libres. Rétroviseurs extérieurs électriques, dégivrants et rabattables. 5 ou 7 places. Jantes en alliage de 19 pouces.
Renault Espace Esprit Alpine : 47 500 €
En plus de Techno. 4 roues directrices. Barres de toit noir satiné. Bouclier avant avec lame sport gris satiné. Pédalier alu. Appuie-tête avec broderie Alpine. Tableau de bord avec Alcantara. Volant en cuir et Alcantara. Sellerie mixte tissu/Alcantara. Jantes en alliage de 20 pouces.
Renault Espace Iconic : 49 500 €
En plus de Techno. 4 roues directrices. Caméra 3D à 360°. Parking mains libres. Régulateur de vitesse adaptatif avec Stop & Go. Sièges et pare-brise chauffants. Barres de toit noir satiné. Bouclier avant avec lame sport noir brillant. Sellerie cuir gris clair. Insert en frêne sur le tableau de bord. Jantes en alliage de 20 pouces.
Fiche technique détaillée Renault Espace E-Tech 200
| Dimensions et poids | |
| Longueur | 4,72 m |
| Largeur sans rétroviseurs | 1,84 m |
| Hauteur | 1,65 m |
| Empattement | 2,74 m |
| Volume du coffre version 5 pl. | 581 à 777 l |
| Volume du coffre version 7 pl. | 477 à 677 l / 159 l |
| Capacité du réservoir | 55 l |
| Pneus sur modèle d’essai | 205/55 R19 |
| Poids à vide version 5 pl. | 1 587 à 1 663 kg |
| Poids à vide version 7 pl. | 1 622 à 1 698 kg |
| Moteurs et performances | |
| Type de moteur thermique | essence, 3 cylindres turbo |
| Cylindrée | 1 199 cm3 |
| Puissance et couple thermique | 130 ch et 205 Nm |
| Puissance et couple électrique | 50 ch-205 Nm + 25 ch-50 Nm |
| Capacité batterie | 2 kWh |
| Puissance cumulée | 200 ch |
| Couple cumulé | nc |
| Transmission | aux roues avant |
| Boîte de vitesses | auto, type crabots + moteur élec. |
| 0 à 100 km/h | 8,8 s |
| Vitesse maximale | 175 km/h |
| Consommation – CO2 – Malus | |
| Mixte WLTP | 4,6 l/100 km |
| Rejets de CO2 | 104 à 111 g/km |
| Malus CO2 – 2024 | aucun |
| Malus au poids – 2024 | aucun en 5 places Techno |
| Puissance fiscale | 7 CV |
| Garantie | 3 ans ou 100 000 km |
| Pays de production | Espagne |
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