La gamme Renault évolue, et le mois dernier, un modèle important a été arrêté : la Megane. La Megane électrique continue bien sûr, elle est l’avenir, mais la Megane essence, une voiture qui s’était très, très bien vendue dans le passé, n’est plus fabriquée. A priori, ce n’est pas un drame, puisque le marché a changé, et que les gens préfèrent aujourd’hui des SUVs, comme la Captur, ou des crossovers, comme l’Arkana. Mais il existait aussi une Megane break, et celle-là, sa succession se faisait attendre.
La face avant est quasi-identique, et l’empattement est le même, c’est à l’arrière qu’il y a la différence, avec une porte-à-faux nettement accru, pour le bénéfice des passagers arrières qui disposeront d’une banquette coulissante, et du volume du coffre.
Avec cette banquette arrière coulissante, le volume disponible pour les bagages est variable, de 434 à 548 dm3 en mesure VDA, ou de 492 à 624 litres. Et en rabattant les sièges arrières, l’espace va jusqu’à 1582 litres. Voilà qui devrait satisfaire la plupart des automobilistes, surtout que ces volumes correspondent à la Symbioz avec une motorisation hybride. Dans la Captur avec ce même groupe propulseur, le volume du coffre n’est que de 305 dm3.
Parce qu’un break VW Golf est encore plus logeable, même s’il est nettement plus long. Alors qu’avec une longueur de 4,41 m (17 cm de plus qu’une Captur), la Symbioz reste très raisonnable.
La Symbioz promet aussi d’être agréable à vivre avec un grand toit en verre dotée d’une fonction opacifiante en appuyant sur un bouton. Elle sera disponible à l’automne.