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Essai Volvo EX30 : un essai concluant pour la marque suédoise

Dévoilée l’été dernier, la Volvo EX30 est désormais disponible. Avec ce nouveau SUV compact 100 % électrique, la marque suédoise compte bien renforcer sa position sur le segment.

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Comme d’autres constructeurs automobiles, l’avenir de Volvo en Europe sera électrique. La marque suédoise a d’ailleurs insisté sur sa transition vers cette motorisation à l’occasion de la Climate Week NYC qui s’est tenue l’été dernier à New York. Et on peut dire qu’à l’instar de Smart par exemple, Volvo ne perd pas de temps en arrêtant purement et simplement la production de tous les modèles thermiques dès cette année. Ce choix représente la première étape d’une stratégie en trois temps avec la moitié des ventes en électrique en 2025, le passage au tout électrique en 2030 (en Europe seulement), avant de venir une entreprise neutre sur le plan climatique en 2040.

La Volvo EX30 s’inscrit ainsi dans cet objectif en venant rejoindre la Volvo C40 Recharge que nous avons déjà pu essayer et la Volvo XC40 Recharge. 2024 devrait également voir arriver la Volvo EX90, un imposant SUV sept places qui se veut le véhicule le plus sûr de la marque

Partageant sa plateforme technique avec la Smart #1 et la Zeekr X qui devrait arriver au deuxième semestre 2024, la Volvo EX30 est donc le SUV le plus compact de la marque avec 4,23 m de long et 2,03 m de large, pour 1,55 m de haut et un empattement de 2,65 m. Ce qui ne l’empêche pas d’être aussi son modèle le plus puissant comme nous le verrons plus loin. Lors de sa présentation à la presse, Volvo a longuement insisté sur le design de sa nouvelle voiture électrique. Un design plutôt réussi il faut bien le dire.

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Un design qui fait son effet pour la Volvo EX30

Malgré son gabarit, la Volvo EX30 adopte la même posture d’un gros SUV, ce qui ne manquera pas de flatter les potentiels acquéreurs. Comme c’est la norme chez Volvo, il s’agit de suivre les principes du design scandinave avec un travail important sur les volumes et les surfaces à grand renfort de transitions. Les roues sont repoussées vers l’extérieur afin de réduire autant que possible les porte-à-faux. La voiture affiche ainsi une forme de monolithe à laquelle les designers ont ensuite retiré de la matière, de sorte à lui donner de la profondeur. Et ça marche, la Volvo EX30 en impose avec ses formes sculptées et des éléments de détail marqués, à l’instar des arches prononcées des passages de roues, ou encore du bouclier et des jupes latérales noires avec des effets de relief (mais sans peinture, développement durable oblige).

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À l’avant, la Volvo EX30 est dépourvue de calandre sans pour autant perdre son identité. Pour ce faire, un élément graphique donne l’impression de surélever le bouclier. Outre cette astuce de design, cette partie facilite aussi une intégration plus discrète des différents capteurs qui équipent la voiture. De plus, cet élément va s’étendre sur toute la largeur avant de remonter pour se terminer au niveau des phares. Ces derniers conservent bien entendu leur forme de marteau de Thor si chère à la marque.

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Par ailleurs, alors que le capot nervuré et les flancs creusés créent une sensation de mouvement, l’arrière souligne là encore l’identité visuelle de la Volvo EX30. La traditionnelle signature lumineuse verticale offre un traitement différent en séparant les éléments lumineux. Ces choix permettent d’accentuer la posture de la voiture tout en lui conférant un sentiment de sécurité et de stabilité.

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À bord de la Volvo EX30

En présentant la Volvo EX30, Volvo a insisté sur l’aspect développement durable. Ce qui se traduit par sa motorisation 100 % électrique bien sûr, mais aussi à travers différents éléments dans l’habitacle. Plusieurs intérieurs différents et tous inspirés par la nature suédoise sont proposés. Au nombre de quatre (Céleste, Brume, Pin Scandinave et Marine), ils partagent une caractéristique : tous sont fabriqués à partir de matériaux renouvelables et recyclés, à grand renfort de polyester recyclé, mais aussi de laine et de lin tissé. Avec un rendu plus ou moins réussi en fonction de la finition choisie à notre avis.

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En effet, notre essai a été réalisé à bord d’une Volvo EX30 avec un intérieur Céleste. Très confortables et joliment dessinés avec un mélange de tissu pixelisé fabriqué à partir d’huile de pin, les sièges Nordico donnent l’impression d’être en cuir. Alors que leur composition fait l’impasse sur les produits dérivés du pétrole. Ils sont également plus légers ce qui s’avère important dans une voiture électrique dans laquelle chaque kilo compte.

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En revanche, les inserts décoratifs sont moins réussis et nous ont beaucoup moins convaincus. S’il s’agit là aussi de matériaux recyclés provenant de châssis de fenêtres et de volets roulants en PVC. Mais leur apparence est bien moins flatteuse avec un effet noir étoilé à l’apparence de plastique dur, qui tranche avec les autres finitions de la Volvo EX30. Et plus particulièrement Pin Scandinave et Brume dont le lin tissé habille les inserts décoratifs pour rehausser la qualité perçue. Bref, tout va dépendre de la finition que vous aurez choisie.

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D’autres détails viennent renforcer la qualité perçue, à l’instar des poignées de portières dont le plastique a bénéficié d’un traitement à l’aspect chromé. Un détail qui rappelle d’ailleurs les poignées de la Zeekr X. De la même façon, l’éclairage d’ambiance fait son effet avec ses différents thèmes inspirés là encore de la nature. Les inserts décoratifs, les garnitures de portières et les rangements des sièges avant, s’illuminent progressivement, et il est même possible d’ajouter des sons d’ambiance si l’envie vous en prend. Enfin, et pour rester dans la thématique, les tapis de sol sont fabriqués à partir de filets de pêche usagés et de matières recyclées.

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L’ambiance à bord est plutôt cossue et le toit panoramique en verre apporte une belle luminosité qui sied parfaitement aux coloris de notre modèle d’essai. Petite curiosité de la Volvo EX30, aucun haut-parleur n’est intégré dans les portières. En effet, la partie audio est laissée aux bons soins d’une barre de son qui trône au-dessus du tableau de bord. Signée par la marque spécialisée Harman/Kardon, elle bénéficie d’une belle réserve de puissance et délivre des basses profondes, qui une fois n’est pas coutume, ne font pas vibrer les portières, forcément. Il faut dire que la barre de son renferme 9 haut-parleurs qui sont associées à un caisson de graves dans le coffre et à deux enceintes dans les portières arrière. Le tout délivrant la bagatelle de 1 040 W. Le système audio standard est forcément beaucoup plus modeste avec ses 5 haut-parleurs et une puissance de 100 W seulement.

Ce choix d’abandonner les haut-parleurs qui sont habituellement intégrés dans les portières avant a plusieurs avantages. Économique d’abord en limitant le câblage, mais aussi pratique en allégeant la voiture.

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De la même façon, il a pour conséquence de forcer Volvo à déporter les boutons de commande des vitres. Ceux-ci prennent donc place sur la console centrale mais il faut un petit temps d’adaptation pour les trouver instinctivement. En effet, ils sont un peu trop reculés et un troisième bouton permet de basculer entre la commande des vitres avant et des vitres arrière. Ce qui n’est pas l’idéal comme on avait déjà pu le constater à bord de la Volkswagen ID.3, qui avait fait le même choix.

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Par ailleurs, les passagers qui sont assis à l’arrière doivent se pencher vers l’avant pour accéder aux commandes des vitres. En effet, celles-ci prennent place à l’arrière de la console centrale, juste entre les deux ports USB Type C et à proximité des nombreux rangements qui sont disponibles.

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À propos des ports USB, on en trouve aussi deux autres à l’avant qui sont un peu cachés dans un compartiment dans la console centrale. Les rangements sont nombreux à bord de la Volvo EX30, qui dispose aussi de deux emplacements pour poser son smartphone, un peu comme dans la Tesla Model 3 et Tesla Model Y. Mais à l’inverse de ces deux voitures électriques, seul le socle de gauche va recharger le smartphone par induction.

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D’autre part, si l’empattement de la Volvo EX30 est plutôt important pour une compacte, il reste néanmoins 20 cm plus court que sur la Volvo XC40. Ce qui n’est pas sans conséquence sur l’habitabilité. Les occupants assis à l’avant sont les mieux lotis tandis que les grands gabarits se sentiront un peu à l’étroit au niveau des genoux à l’arrière.

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De la même façon, le coffre est un peu juste avec ses 318 litres. Par contre Volvo n’a pas oublié le frunk (un second coffre plus petit situé sous le capot à l’avant de la voiture). Ce dernier permet de ranger le câble de recharge qui est ainsi facilement accessible.

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Tesla, une source d’inspiration pour la Volvo EX30 ?

Le moins que l’on puisse dire, c’est que l’intérieur de la Volvo EX30 est très épuré. Le constructeur a choisi de supprimer pratiquement tous les boutons comme chez Tesla. Et à l’instar des Model 3 et Model Y de la marque américaine, le SUV compact électrique fait l’impasse sur l’écran d’instrumentation derrière le volant, se contentant du seul écran tactile d’infodivertissement de 12,3 pouces.

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Ce dernier affiche une définition adaptée, des angles de vision suffisamment larges et une luminosité élevée afin de garantir une bonne lisibilité même en plein soleil. En témoignent les images issues de la caméra de recul comme on peut le voir ci-dessous.

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Basée sur Android, l’interface est très dense mais aussi facile à appréhender pour quiconque a déjà utilisé un smartphone. Tant mieux car l’écran est indispensable, y compris pour des fonctions aussi basiques que d’ouvrir la boite à gants (comme chez Tesla une fois encore). Au passage, celle-ci se trouve sous l’écran tactile plutôt qu’en face du siège passager.

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Parfaitement fluide, l’interface est divisée en plusieurs parties. D’abord les raccourcis vers les fonctions de base et vers le menu principal tout en bas. Ce bandeau reste affiché en permanence, ce qui permet notamment un accès direct aux commandes de climatisation, au réglage de la température ou du volume sonore du système audio de la Volvo EX30.

Au centre de l’écran, l’interface va changer en fonction du contexte, affichant une grande carte bien lisible pour la navigation, les réglages de la voiture, ou l’interface de Spotify par exemple. Et bien entendu Android Auto est pris en charge (on n’en attendait pas moins de la part d’un système d’exploitation signé Google), tout comme Apple CarPlay.

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Enfin, la partie supérieure de l’interface est réservée à l’instrumentation qui l’on trouve habituellement derrière l’écran. C’est donc là que le conducteur va devoir regarder pour consulter la vitesse de la voiture, le niveau de la batterie, l’autonomie restante, la consommation moyenne ou encore la distance parcourue et la commande de boîte. Une fois encore, il faudra un petit temps d’adaptation pour s’habituer à regarder vers la droite et en haut de l’écran pour savoir à quelle vitesse on roule à bord de la Volvo EX30.

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Jusqu’à 660 km d’autonomie pour la Volvo EX30

La Volvo EX30 se décline dans trois versions. La première baptisée Single Motor (avec un seul moteur donc) est une propulsion qui développe 200 kW (soit 272 ch) et 343 Nm de couple, pour un 0 à 100 km/h en 5,7 secondes. Associée à une batterie LFP (lithium fer phosphate) de 51 kWh (49 kWh de capacité utile), elle annonce jusqu’à 344 km d’autonomie WLTP en cycle mixte, et jusqu’à 475 km en ville. Pour cette version, Volvo annonce un temps de recharge de 26 minutes pour passer de 10 % à 80 % sur une borne en courant continu (DC) d’une puissance de 135 kW. Comptez 6 heures pour un 0 à 100 % une fois la Volvo EX30 Single Motor branchée sur une borne triphasée en courant alternatif de 11 kW.

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Dotée de la même motorisation, la Volvo EX30 Single Motor Extended Range troque la batterie LFP pour une Lithium Ion dont la capacité passe à 69 kWh (64 kWh de capacité utile). Équipée du même moteur de 200 kW, elle est censée accélérer de 0 à 100 km/h en 5,3 secondes, et pouvoir parcourir jusqu’à 476 km WLTP en cycle mixte, et même jusqu’à 660 km en usage strictement urbain. Côté recharge, la Volvo EX30 Single Motor Extended Range pourra accepter une puissance de 155 kW, ce qui lui permettra de passer de 10 à 80 % de capacité en 26,5 minutes (on est précis chez Volvo).

Enfin, la Volvo EX30 Twin Motor Performance est la plus puissante des trois, et à ce jour la Volvo la plus puissante tout court rappelons-le. Elle est équipée de deux moteurs électriques qui développent 315 kW (200 kW sur le train avant et 115 kW sur l’essieu arrière), soit 428 ch (et un couple de 543 Nm. De quoi catapulter la voiture de 0 à 100 km/h en 3,6 secondes seulement. Impressionnant pour un petit SUV urbain il faut bien l’avouer. La batterie reste la même que sur la Single Motor Extended Range (une Lithium Ion de 69 kWh et 64 kWh de capacité utile), de sorte à parcourir jusqu’à 450 km WLTP sur une seule charge en usage mixte, et jusqu’à 590 km en ville. Et là encore, la puissance acceptée et le temps de recharge sur une borne rapide en courant continu (DC) restent identiques à la version Single Motor Extended Range.

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Avant de passer à la conduite, sachez que malgré son statut de petit SUV urbain, la Volvo EX30 est capable de tracter une charge de 1 000 kg pour la version Single Motor, 1 400 kg pour la Single Motor Extended Range, et 1 800 kg pour la Twin Motor Performance.

Un mot enfin sur le poids de la Volvo EX30 qui sera forcément impactée par la nouvelle lubie anti-voiture de la Mairie de Paris si elle se confirme d’un point de vu légal. Les trois versions du petit SUV affichent un poids respectif en ordre de marche de 1 840 kg, 1 850 kg et 1 960 kg.

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Au volant de la Volvo EX30

Il est temps de prendre la route à bord de notre Volvo EX30. Pas de bouton démarrer ici, il suffit de basculer le comodo de droite vers le bas pour passer en mode D et démarrer. Enfantin. Le comodo de gauche permet quant à lui d’activer les clignotants, les essuie-glaces et de basculer en plein phare. Tesla devrait en prendre de la graine, on dit ça on dit rien.

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Les sièges de la Volvo EX30 ne sont pas seulement jolis, ils offrent à la fois un bon maintien, et un excellent confort en association à la suspension souple. Tous les boutons n’ont pas disparu et ceux qui équipent le volant permettent de se passer de l’écran tactile pour les fonctions habituelles comme le contrôle de la musique ou des appels par exemple. La direction est précise et la Volvo EX30 affiche un gabarit parfait pour se faufiler dans la jungle urbaine, surtout au regard de son agilité. Les accélérations sont vives pour s’échapper au feu vert, sans pour autant nous coller au siège, ce qui n’est pas plus mal au quotidien. La récupération d’énergie au freinage permet de ralentir le véhicule, mais son calibrage plutôt doux impose de bien anticiper pour une conduite à une pédale.

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La Volvo EX30 affiche les mêmes qualités sur voies rapides avec en plus une bonne isolation phonique. Ceci étant, les relances se font plus molles une fois que l’on a dépassé les 110 km/h, la faute probablement aux 1 850 kg de notre modèle d’essai. Enfin, nous avons relevé une consommation de 20 kWh/100 km sur un parcours de pratiquement 120 km, essentiellement sur autoroute. De quoi parcourir près de 300 km sur autoroute au volant de la Volvo EX30 avant de devoir faire une pause pour recharger sa batterie.

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Quel prix pour la Volvo EX30 ?

La Volvo EX30 est commercialisée à partir de 37 500 € pour sa version d’entrée de gamme Start. Celle-ci comprend notamment un régulateur de vitesse adaptatif. Pour qui ne veut pas se contenter d’une utilisation strictement urbaine, la Volvo EX30 Single Motor Extended Range demandera une rallonge de 4 200 € pour bénéficier de la batterie de 64 kWh de capacité utile.

Pour 40 450 €, le second niveau de finition Plus ajoute l’écran central tactile de 12,3 pouces, le Pilot Assist pour une conduite autonome de niveau 2 ou encore la caméra de recul. De là, il est aussi possible de passer à la grosse batterie moyennant 4 550 €, ou au modèle le plus puissant, la Volvo EX30 Twin Motor Performance de 428 ch pour 8 800 €.

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Enfin, le niveau Ultra fait grimper la facture à 47 950 € pour bénéficier du toit en verre panoramique, de l’aide au stationnement automatique et de la vue à 360°. La motorisation Single Motor Extended Range dotée de la grosse batterie est ici de série, et le passage à la version Twin Motor Performance est possible moyennant 4 250 €. Soit tout de même 52 200 € pour un petit SUV urbain.

Du côté de la concurrence, on pense bien sûr à la Smart #1 qui utilise la même plateforme que la Volvo EX30. Sa gamme et ses prix ont été revus en fin d’année dernière, avec notamment une nouvelle finition d’accès Pro plus accessible à partir de 36 315 €. Chez Renault, la Mégane E-Tech se positionne directement en face de la Volvo EX30, de par son gabarit. Moins puissante et affichant une autonomie inférieure, la française a l’avantage de toujours être éligible au bonus écologique, qui vient d’ailleurs de passer de 5 000 à 4 000 €. En effet, rappelons que ce dernier a été revu pour intégrer désormais un score environnemental, qui exclut d’emblée la Volvo EX30 contrairement à la Volvo C40 et à la Volvo XC40.

android, essai volvo ex30 : un essai concluant pour la marque suédoise La Mégane E-Tech est l’une des principales concurrentes de l’EX30

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