Dix ans avant le miracle de l’Alpine A110 moderne, Renault avait failli faire renaître sa marque de sport avec une GT basée sur la Nissan 350Z. A l’époque, les dirigeants ont finalement préféré l’annuler.
Cette Alpine-là était basée sur le châssis de la Nissan 350Z.
L’Alpine A110 actuelle s’impose comme l’une des plus fabuleuses voitures de sport du marché automobile. Non seulement ses qualités dynamiques ont séduit tout le monde, mais son existence même relève un peu du miracle puisque les dirigeants de Renault ont toujours rechigné à se lancer dans un projet aussi ambitieux depuis l’arrêt d’Alpine en 1995 avec la fin de carrière de l’A610.
Point de moteur en position centrale arrière pour ce projet de 2007 !
A plusieurs reprises entre la fin des années 80 et 2012, pourtant, Renault a planché sur des projets de résurrection d’Alpine. D’abord au tout début des années 90 avec l’A710 finalement annulée juste avant l’arrivée du nouveau patron Louis Schweitzer (mais transformée ensuite en Spider Renault), puis via une étude de style réalisée à la fin des années 90, l’Alpine Z11, écartée à son tour par l’ancien patron de Renault. L’auto figurant dans les images accompagnant cet article, dont parle l’expert en design Christophe Bonneau de Lignes Auto dans son livre « Concept-cars et prototypes d’étude Renault » et publiées sur le site Worldcoop depuis quelques années, date elle de 2007.
Une Nissan 350 Z transformée en Alpine
Le projet Renault W19 a été écarté au moment où arrivait l’incroyable Nissan GT-R.
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