- Dès 1960, l’Austin Seven qui deviendra ensuite Austin Mini se décline en version break.
- En 2007, la version R55 mise sur une silhouette asymétrique.
- En 2015, la version F54 rentre un peu dans le rang, elle vient tout juste de disparaître.
- De l’Austin Seven …
- Entrez par la petite porte !
- De plus en plus classique…
-
Dès 1960, l’Austin Seven qui deviendra ensuite Austin Mini se décline en version break.
-
En 2007, la version R55 mise sur une silhouette asymétrique.
-
En 2015, la version F54 rentre un peu dans le rang, elle vient tout juste de disparaître.
La toute dernière Mini Clubman vient de sortir de l’usine historique d’Oxford au Royaume-Uni. Le break atypique avec sa paire de portes arrière battantes n’aura pas de remplaçant sacrifié sur l’autel des SUV qui s’avèrent bien plus rentables.
De l’Austin Seven …
En 1960, l’Austin Seven qui deviendra l’Austin Mini par la suite adopte une carrosserie break.© DR
C’est l’occasion de revenir sur les ancêtres dont le tout premier date 1960. L’Austin Seven est baptisé Countryman tandis que sous le label Morris elle se nomme Traveller. Puis l’appellation Clubman n’arrive qu’en 1969, c’est la Mini Clubman Estate.
Le break Mini pour les artisans.© DR
Entrez par la petite porte !
En 2007, la Mini Clubman type R55 entre en scène.© DR
En 2005, le Mini Clubman entre de plain-pied dans l’ère moderne. Afin de préparer son retour dans la gamme en 2007, la marque anglaise propriété de BMW n’a pas lésiné sur les concepts car.
Le concept car présenté au salon de Genève en 2006.© DR
La première génération, baptisée en interne R55, se distingue de la berline par un empattement majoré de 8 cm pour une longueur totale accrue de 24 cm soit un gabarit de 3,96 m. Joli break de chasse sur le flanc gauche avec sa porte avant unique, l’auto se veut plus pratique côté droit à l’aide d’une petite porte antagoniste qui vient en complément. Bien évidemment, les portes battantes restent de mise à l’arrière.
Et pour renouer avec les artisans chics, en 2012, la version Mini Clubvan fait son apparition au salon de Genève.
Et pour assurer la filiation avec les toutes première Mini break avec une « fausse » ossature en bois, le carrossier haut de gamme Castagno Milano a cogité de son côté une berline allongée avec des plaquages en bois précieux. Sa fabrication cessera avec l’arrivée du Clubman dans la gamme. L’artisan italien changera alors son fusil d’épaule en proposant des plaquages de bois précieux pour le Clubman R55.
De plus en plus classique…
L’actuelle génération de la Mini Clubman vient de tirer sa réverrence.© DR
Puis en 2015, c’est au tour de l’actuelle Mini Clubman celle nommée F54 qui entre en lice. Le format est nettement plus imposant (4,25 m) et d’une certaine manière l’auto rentre dans le rang avec ses portes latérales conventionnelles.
La gamme ratisse large avec une entrée de gamme de 102 ch et la tonique variante JCW qui en revendique 306 ! Mais face à un Countryman plus polyvalent, le break Mini ne fait plus le poids, il vient de quitter la scène.
Notez cet article Publié le 06/02/2024 Mis à jour le 06/02/2024