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Michel Barnier essuie des tirs nourris de la part des formations tous bords politiques depuis la présentation de son projet de loi de finances pour 2025. Le Premier ministre table sur un budget très serré pour tenter de réduire l’important déficit, en s’attaquant à plusieurs secteurs dont l’automobile.
Une réduction globale du budget alloué au verdissement du parc auto
Le gouvernement vise des économies de 800 millions d’euros dans le secteur automobile et une augmentation des recettes de 300 millions d’euros. Tout cela sera permis par des mesures qui ne risquent de satisfaire ni les constructeurs, ni les consommateurs : augmentation du malus, baisse des aides à l’achat de voitures électriques…
La suppression de l’ancienne prime à la casse va dans le sens des économies voulues par le gouvernement, qui divisera d’un tiers en 2025 le budget destiné au verdissement du parc automobile (de 1.5 milliard à 1 milliard)