Comme Volkswagen et Audi, le groupe Stellantis pourrait se faire aider par un constructeur automobile chinois pour améliorer ses produits dans l’un des deux marchés automobiles les plus importants au monde.
La Leapmotor 03, une microcitadine électrique rivale de la Dacia Spring.
Mais que reste-t-il de l’expertise des constructeurs automobiles européens ? Avec la généralisation des voitures électriques et les grosses avancées réussies par les marques chinoises sur leur marché domestique, les références européennes historiques se retrouvent à la traîne dans l’Empire du milieu. Et alors que ces marques chinoises commencent à lorgner du côté de l’Europe, plusieurs marques du Vieux Continent se retrouvent contraintes de demander de l’aide à des constructeurs locaux pour développer des produits mieux conçus pour la Chine. Alors que leurs ventes dévissent là-bas, elles veulent à tout prix se replacer.
Utiliser une plateforme pour gagner du temps et plaire aux clients chinois
Le but sera là aussi de récupérer des bases mécaniques le plus vite possible pour développer des modèles adaptés aux goûts de la clientèle chinoise. Fondée en 2015, Leapmotor ne commercialise que des voitures électriques et commercialise aussi bien des citadines que des berlines ou des SUV. Reste à savoir quelles marques du groupe Stellantis seraient concernées par la récupération d’une plateforme de Leapmotor et le développement de modèles spécialement conçus pour la Chine. DS, Peugeot, Citroën ou même Alfa Romeo ou Maserati ?
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