- 1. Peugeot Type 2
- 2. Peugeot Type 7
- 3. Peugeot L76
- 4. Peugeot Bébé
- 5. Peugeot Quadrilette
- 6. Peugeot 201
- 7. Peugeot 301
- 8. Peugeot Eclipse
- 9. Peugeot 402
- 10. Peugeot 202
- 11. Peugeot VLV
- 12. Peugeot 203
- 13. Peugeot 403
- 14. Peugeot 404
- 15. Peugeot 204
- 16. Peugeot 504
- 17. 504 Coupé et Cabriolet
- 18. Peugeot 104
- 19. Peugeot 505
- 20. Peugeot 205
- 22. Peugeot 205 T16
- 23. Peugeot 309
- 24. Peugeot 405
- 25. Peugeot 405 T16
- 26. Peugeot 905
- 27. Peugeot 106
- 28. Peugeot 306
- 29. Peugeot 406
- 30. Peugeot 406 Coupé
Peugeot est l’un des plus anciens constructeurs automobiles.
L’entreprise a débuté en tant que société d’ingénierie en 1810 et a construit sa première voiture près de 80 ans plus tard, peu après la création de la Benz Patent Motorwagen.
Depuis, elle a produit de nombreux modèles de qualité. Voici les 30 que nous n’avons pas pu nous empêcher de vous présenter, par ordre chronologique.
1. Peugeot Type 2
Dans les années 1890, les constructeurs automobiles ne savaient pas si leurs produits devaient être propulsés par la vapeur, l’électricité ou le carburant électrique. Peugeot a choisi la vapeur pour sa voiture à trois roues de type 1, qu’il a décrite plus tard comme “le premier essai technique, mais pas la première automobile”, mais a rapidement décidé que ce n’était pas la voie à suivre.
La Type 2 avait quatre roues et un moteur à essence de 565 cm3 à bicylindre en V fourni par Panhard, qui s’occupait également (sans grand enthousiasme) de la commercialisation. Quatre exemplaires sont construits en 1890, faisant de la Type 2 la première voiture française disponible à la vente au public, bien que le premier ne trouve un acheteur – une société basée à Stockholm – qu’en juin 1891.
2. Peugeot Type 7
Peugeot persévère avec le moteur Panhard avant de passer à un autre bicylindre en V – cette fois un moteur Daimler de 1282 cm3 – pour la Type 7. Ce moteur était à peine assez puissant pour faire tourner les roues d’une voiture moderne, mais il était suffisamment performant en 1894 pour faire de la Type 7 un véhicule routier relativement performant et un coureur automobile couronné de succès.
Les Type 7 ont été les plus rapides des voitures qui n’ont pas été déclarées inéligibles lors de l’épreuve Paris-Rouen en juillet 1894 et de la course Paris-Bordeaux-Paris qui s’est déroulée en juin suivant. Au cours de la vie de la Type 7, un conflit familial a conduit la société d’origine à abandonner les voitures et une organisation distincte appelée Automobiles Peugeot a été créée au début de l’année 1896.
3. Peugeot L76
La L76 a été la première grande voiture de compétition de Peugeot. Développée par un groupe dissident que le bureau d’études appelait par dérision “les charlatans”, elle renversait l’idée dominante selon laquelle la meilleure façon de produire plus de puissance était de construire un plus gros moteur.
Les Charlatans se sont limités à 7,6 litres, mais ont adopté plusieurs caractéristiques radicales, notamment deux arbres à cames en tête et quatre soupapes par cylindre. Cela a fonctionné. Georges Boillot a conduit la L76 à la victoire lors du Grand Prix de France 1912, terminant avec sept minutes d’avance sur une Fiat de 14 litres.
Jules Goux (photo) n’a pas terminé le Grand Prix, mais il a remporté les 500 miles d’Indianapolis en 1913 au volant d’une autre L76, avec une avance encore plus décisive de 13 minutes.
4. Peugeot Bébé
Peugeot a produit une voiture surnommée Bébé en 1905, mais le nom est aujourd’hui généralement associé au Type BP1, qui a été introduit en 1913.
Cette petite voiture à deux places a été conçue par Ettore Bugatti, qui a vendu une licence de production à Peugeot. La Première Guerre mondiale a interrompu la production en 1916, mais le Bébé était déjà devenu la Peugeot la plus populaire, avec 3095 exemplaires construits.
5. Peugeot Quadrilette
L’esprit du Bébé – mais pas sa technologie – a été repris dans la Quadrilette d’après-guerre. Sous sa première forme, officiellement intitulée Type 161, elle était équipée d’un moteur quatre cylindres de 667 cm3 et de deux sièges en tandem.
Peugeot vend 3500 exemplaires en un peu plus d’un an avant de créer le Type 172, qui est en fait la même voiture mais avec des sièges côte à côte, un démarreur et un éclairage électrique. Cette dernière fut encore plus populaire. Peugeot a construit plus de 8500 unités avant que la production ne s’arrête en 1924.
6. Peugeot 201
En 1924, les lecteurs de la Revue Peugeot ont été invités à répondre à la question suivante : “Expliquez-nous quelle est la voiture qui correspond le mieux à vos besoins.” Les réponses à cette première étude de marché ont influencé le développement de la 201, la première Peugeot à utiliser le système de dénomination désormais familier.
7. Peugeot 301
Au début des années 1930, Peugeot a fait de la 201 son seul modèle. Malgré le succès de cette voiture, il est rapidement apparu que ce n’était pas une bonne pratique commerciale. La réponse de l’entreprise a été de créer la 301, qui partageait de nombreux composants avec la voiture précédente, mais dont la carrosserie était plus large.
Elle n’a jamais été aussi populaire que la 201, mais elle a fait son travail. Lancée en juin 1932, elle a permis à Peugeot d’augmenter sa production totale de 28 % l’année suivante.
8. Peugeot Eclipse
La 401 et la 601, similaire mais plus puissante, ont été fabriquées pendant une très courte période au milieu des années 1930, et ne sont généralement pas considérées comme des points forts de Peugeot. Les variantes de l’Eclipse, cependant, sont remarquables pour avoir été les premiers coupés-cabriolets à être commercialisés. La 401 est illustrée ici.
Leurs toits rigides escamotables et rabattables électriquement ont été conçus par Georges Paulin. Peugeot a utilisé le système pour d’autres voitures plus tard dans la même décennie, mais a abandonné l’idée après la Seconde Guerre mondiale (au cours de laquelle Paulin a été exécuté par les nazis) et n’y est revenu qu’au 21e siècle.
9. Peugeot 402
En 1935, Peugeot remplace la 401 par la 402, beaucoup plus spectaculaire. Elle est proposée dans une large gamme de carrosseries (dont une Eclipse), toutes remarquables par leurs formes aérodynamiques, devenues soudainement à la mode avec le lancement de la Chrysler Airflow et de la Tatra 77 l’année précédente.
Mais Peugeot est allé plus loin que Chrysler et Tatra. Les phares de la 402 sont montés derrière la calandre, ce qui réduit la perturbation de l’air entrant dans une mesure jamais atteinte auparavant. Peugeot utilisera le même principe pour d’autres modèles dans les années 1930. Durant cette période, ses voitures ne peuvent être confondues avec aucune autre sur la route.
10. Peugeot 202
Bien qu’il s’agisse d’une voiture nettement plus petite, la 202 partage son look à phares dissimulés avec la 402 et l’éphémère 302. Disponible en berline, en cabriolet, en break partiellement boisé et en camionnette, elle a fait ses débuts en 1938.
La production a été interrompue pendant la Seconde Guerre mondiale, mais elle a repris par la suite et s’est poursuivie jusqu’à la fin des années 1940.
11. Peugeot VLV
Parmi les constructeurs encore en activité aujourd’hui, Peugeot a développé son premier modèle électrique de manière spectaculaire et précoce. La VLV (voiturette légère de ville) est une minuscule voiture biplace en aluminium conçue pour répondre à la pénurie d’essence dans le Paris de la guerre.
Elle avait une autonomie de 80 km et une vitesse de pointe de 32 km/h. Selon une revue contemporaine, “sa vitesse est adéquate pour la conduite urbaine […] on peut atteindre la même performance qu’un cycliste entraîné de première classe, et sans la moindre fatigue”.
377 VLV ont été construites entre 1941 et 1943. Malgré un engouement dans les années 1970, Peugeot n’a pas commercialisé de voiture électrique avant de lancer la 106 électrique en 1995.
12. Peugeot 203
Les travaux de conception de la 203 ont commencé fin 1944, alors que le monde était encore en guerre contre lui-même, et la voiture de série a remplacé la 202 vers la fin de la décennie. Dans la nouvelle ère, Peugeot se concentre à nouveau sur un seul modèle. Elle choisit également d’affronter la concurrence dans la classe moyenne, que les rivaux français, Citroën et Renault, laissaient presque entièrement à eux-mêmes.
Les deux décisions se sont avérées justes. La 203 a été un immense succès et a représenté un retour triomphal aux opérations en temps de paix.
13. Peugeot 403
La prochaine voiture moyenne de Peugeot a été lancée en 1955, cinq ans avant la fin de la production de la 203. La 403 est un modèle de qualité qui a contribué à développer la réputation de Peugeot en tant que producteur de voitures capables d’accumuler d’énormes kilométrages.
Initialement destinée à la clientèle française, qui pouvait attendre jusqu’à un an entre la commande et la livraison, la 403 a commencé à être vendue aux États-Unis, à la suite d’une demande du gouvernement visant à ce que les constructeurs français augmentent leurs exportations. Une version décapotable a été choisie par l’acteur Peter Falk pour son personnage dans la longue série télévisée américaine Columbo.
14. Peugeot 404
Dessinée par Pininfarina et ressemblant beaucoup aux modèles lancés par BMC à peu près à la même époque, la 404 a été produite en France comme grande voiture familiale entre 1960 et 1975, et comme camionnette pendant de nombreuses années par la suite. Les versions berline et break sont volontairement carrées. Peugeot a également produit des versions coupé et cabriolet beaucoup plus élégantes.
La volonté de la 404 de continuer à avancer, même dans des conditions terribles, est illustrée par le fait qu’elle a remporté ce qui était alors connu sous le nom de East African Safari Rally en 1963, 1966, 1967 et 1968.
15. Peugeot 204
L’idée de faire de la 203 d’après-guerre une traction avant a été rapidement abandonnée pour des raisons de coût. Il faudra attendre la 204, en 1965, pour que Peugeot adopte cette disposition et le montage transversal du moteur.
Elle était proposée en berline, coupé, cabriolet, break et fourgonnette, et à partir de 1968, elle pouvait être équipée d’un moteur diesel remarquablement petit de 1255 cm3. Les clients l’adorent. De 1969 à 1971, la 204 est la voiture la plus vendue en France.
16. Peugeot 504
En 1969, la 504 est la première Peugeot (sur six à ce jour) à être élue Voiture de l’année. La berline est en grande partie dessinée par Pininfarina, mais l’avant est l’œuvre d’une équipe interne dirigée par Paul Bouvot.
Des versions break et pick-up étaient également disponibles, ainsi que deux autres modèles que nous examinerons prochainement. La 504 berline, qui n’était pas une candidate évidente au sport automobile, a néanmoins remporté trois manches du championnat du monde des rallyes – le Safari en 1975 et le Rallye du Maroc en 1975 et 1976.
17. 504 Coupé et Cabriolet
Outre les carrosseries mentionnées plus haut, la 504 était également disponible sous la forme d’un coupé ou d’un cabriolet à deux portes d’une beauté saisissante. Les autres versions étaient équipées de moteurs essence ou diesel à quatre cylindres, mais ces deux-là étaient disponibles avec un V6 de 2,7 litres développé conjointement par Peugeot, Renault et Volvo.
Les coupés V6 ont contribué à l’héritage de la 504 en matière de sport automobile, en remportant le Safari et le Rallye Côte d’Ivoire en 1978.
18. Peugeot 104
La première supermini de Peugeot a fait ses débuts en 1972. Elle ressemblait beaucoup à une berline à hayon, mais contrairement à la Renault 5 contemporaine, il s’agissait en fait d’une berline à deux boîtes avec un couvercle de coffre distinct. Une véritable version à hayon n’est apparue que plus tard.
Bien qu’elle n’ait pas été aussi dominante sur son marché national que sa rivale Renault, la 104 a néanmoins été l’une des voitures françaises les plus populaires. Elle est restée en vente jusque dans les années 1980, bien après l’introduction de la 205, et a servi de base à la Citroën LN et à la Talbot Samba.
19. Peugeot 505
La 504 est restée en production sur les marchés étrangers jusqu’au XXIe siècle, mais en Europe, elle a été remplacée (sauf sous forme de camionnette) par la 505 en 1979. La nouvelle grande voiture familiale, dernier modèle à propulsion de Peugeot, avait un style plus affûté que son prédécesseur, et moins de styles de carrosserie. Elle n’a jamais été vendue officiellement qu’en berline ou en break.
Lancée à un moment où Peugeot connaissait de graves difficultés financières, la 505 a continué à être construite dans différents pays jusqu’à la fin des années 1990. Plus de 1,3 million d’exemplaires ont été produits, dont une grande majorité de berlines.
20. Peugeot 205
Au début des années 1980, Peugeot avait la réputation de construire des voitures qui, bien que louables à bien des égards, n’étaient pas particulièrement excitantes ou innovantes. Tout a changé avec l’arrivée de la 205 en 1983. Il s’agissait d’une supermini très moderne, à l’allure superbe (comme elle l’est toujours près de quatre décennies plus tard) et à la fois facile et agréable à conduire.
Selon les chiffres de Peugeot, un nombre remarquable de 5 278 054 exemplaires ont été construits en 16 ans. Nous nous apprêtons à passer à deux dérivés qui ont fait date, mais pas avant d’avoir souligné que, selon une école de pensée, aucune 205 n’a été aussi satisfaisante à conduire, ou n’a eu un meilleur équilibre puissance/prise en main, que le 1.4 XS à hayon ou son successeur, le 1.4 XSi à injection de carburant. Plus encore que la 205, la version GTI est considérée comme l’une des meilleures voitures jamais produites par Peugeot.
22. Peugeot 205 T16
L’ultime 205 est la T16, une spéciale d’homologation conçue pour permettre à Peugeot de participer au championnat du monde des rallyes. Unique dans la gamme pour un bloc essence, son moteur était turbocompressé, monté à l’arrière et entraînait les quatre roues.
23. Peugeot 309
La dénomination hors séquence de la 309, qui a succédé à la 305, qui a connu un succès raisonnable, indique qu’elle n’était pas du tout destinée à être une Peugeot à l’origine. Elle a commencé par remplacer la Talbot Horizon et aurait dû s’appeler Arizona, mais au cours de son développement, Peugeot, qui possédait Talbot à l’époque, a décidé d’abandonner la marque pour les véhicules de tourisme et de ne l’utiliser que pour les véhicules utilitaires.
Pourtant, la 309 était étroitement liée à la 205 et considérablement plus spacieuse qu’elle, bien que l’histoire n’ait pas été aussi clémente à son égard. Il existait également des versions GTI, qui étaient parfois considérées comme encore plus agréables à conduire que leurs équivalents 205 en raison de leur empattement plus long et de leur meilleure stabilité. Certaines avaient des moteurs à 16 soupapes, une caractéristique qui n’a été utilisée dans aucune 205 autre que la T16.
24. Peugeot 405
En plus d’un demi-siècle d’attribution du prix de la Voiture de l’année, il n’est arrivé qu’à dix reprises qu’un modèle devance son rival à la deuxième place avec plus de 100 points d’avance. La plus grande marge de victoire est de 212 points, obtenue par la Volkswagen Golf en 2013 et la Peugeot 405 en 1988.
Apparentée à la Citroën BX, mais sans la suspension hydropneumatique de cette dernière, la 405 était une bonne voiture familiale disponible en version berline et break et avec une grande variété de moteurs, y compris (dans la Mi16 à traction avant et la Mi16x4 à quatre roues motrices) un puissant 2,0 litres à 16 soupapes. La production européenne s’est arrêtée il y a longtemps, mais des dérivés de la 405 sont toujours construits en Iran.
25. Peugeot 405 T16
Il s’agissait d’une version à quatre roues motrices de la 405, non produite en série et à moteur central, destinée uniquement au sport automobile. En 1988, Ari Vatanen a utilisé un exemplaire de cette voiture pour établir un nouveau record sur la course de côte de Pikes Peak, dans le Colorado, bien qu’il ait dû, à un moment donné, piloter d’une main tout en empêchant le soleil de pénétrer dans ses yeux de l’autre. On peut voir cet exemple dans un court métrage primé, Climb Dance.
Vatanen a remporté le Rallye Dakar l’année suivante au volant d’une autre 405 T16, et a réitéré l’exploit l’année d’après.
26. Peugeot 905
Propulsée par un moteur V10 de 3,5 litres, la 905 a été développée spécifiquement pour participer à des courses internationales de voitures de sport. Bien qu’elle ait participé à des épreuves dans le monde entier, la plus célèbre est celle des 24 heures du Mans.
Les choses ne se sont pas bien passées en 1991, mais l’année suivante, les 905 ont terminé à la première et à la troisième place. 1993 est la dernière saison de Peugeot dans cette catégorie avant qu’elle ne passe à la Formule 1 puis au rallye mondial. Pour son chant du cygne triomphal, l’entreprise améliore son résultat précédent. Le triomphe sur le podium confirme que la 905 est la meilleure voiture de course sportive de son époque.
27. Peugeot 106
La 106 a été la dernière supermini de Peugeot lancée au 20ème siècle, faisant sa première apparition en 1991. Plus courte que la 205, elle était essentiellement une remplaçante tardive de la 104. La même technologie a également été utilisée pour une proche parente, la Citroën Saxo.
La version la plus puissante était la GTI 1,6 litre, mais Peugeot a également produit la Rallye 1,3 litre légère en tant que spéciale d’homologation. En 1996, la 106 Électrique est la première Peugeot à batterie à être commercialisée depuis la VLV de la guerre.
28. Peugeot 306
La remplaçante de la 309 était basée sur la Citroën ZX, qui avait été commercialisée avant le lancement de la 306 en 1993. Elle était disponible en version bicorps, berline, break et cabriolet deux portes, avec un large choix de moteurs essence et diesel.
Le modèle le plus intriguant était peut-être la GTI-6, une voiture à hayon qui, fait rare pour l’époque, disposait d’une boîte de vitesses à six rapports. Les 306 préparées pour la compétition, y compris la redoutable Maxi, se sont illustrées dans les courses et les rallyes de haut niveau.
29. Peugeot 406
La 406 n’a pas pu égaler la domination de la 405 dans le prix de la voiture de l’année, mais en 1996, elle a terminé à une place raisonnablement proche de la paire Fiat Bravo/Brava, et loin devant la dernière Audi A4.
Peugeot a été généreux avec ses moteurs, qui comprenaient des quatre cylindres à essence de 1,6 à 2,2 litres, un V6 de 2,9 litres et des diesels de 1,9 à 2,2 litres. Les 406 ordinaires étaient soit des berlines, soit des breaks, mais nous terminerons par une autre carrosserie, nettement plus élégante.
30. Peugeot 406 Coupé
Comme nous l’avons vu, Peugeot a toujours produit de beaux coupés depuis l’époque de la 404. La dernière de ces voitures à avoir été commercialisée au 20e siècle était basée sur la 406.
Conçue et construite par Pininfarina, elle a été présentée pour la première fois au Salon de Paris en 1996 et, au cours des deux années suivantes, elle a reçu des prix décernés par des juges du design séduits par son apparence. 107 633 406 Coupés ont été construits.
