Le 29/11/2023 à 13:16, modifié le 29/11/2023 à 12:31
Rappelez-vous, c’était en 2016, Toyota étonnait tout le monde avec son C-HR. Un SUV au look de manga, loin, très loin de l’habituelle image sage du constructeur japonais.
7 ans et près de 900 000 exemplaires plus tard, le C-HR a très largement trouvé son public en Europe et en France. L’heure pour lui de revenir dans une nouvelle génération.
Sous sa robe spectaculaire, le nouveau C-HR reprend la même plateforme qu’auparavant, certes optimisée. Résultat, ses dimensions ne changent pas avec un gabarit toujours aussi compact pour sa catégorie.
Vous l’aurez compris, les meilleures places sont à l’avant. Pas tellement pour la planche de bord, plutôt classique avec son grand écran tactile, ni même pour son instrumentation de bord numérique assez difficile à prendre en main, mais bien pour sa conduite.
Pour emmener tout ce ptit monde, le C-HR fait évidemment la part-belle à des motorisations hybrides. 4 pour l’occasion dont une inédite version rechargeable qui arrivera l’année prochaine et une autre variante 4 roues motrices. Mais pour notre essai, place à l’hybride de 200 chevaux, qui devrait séduire une bonne partie du public.
Parlons sujet qui fâche maintenant, les tarifs. A partir de 35 000 € avec le moteur de base et jusqu’à de 50 000 € pour la version hybride rechargeable dans ses finitions les plus hautes. Une facture salée, supérieure à la concurrence, mais justifiée par une dotation de série plus riche. Peu importe puisque les futurs acheteurs du Toyota C-HR seront sans doute séduits par son style et sa consommation. Exactement comme avant !