La nouvelle Toyota Prius PHEV peut parcourir 200 km avec un litre d’essence
Il y a quelques mois, Toyota a présenté la cinquième génération de sa Prius, un modèle plutôt étonnant avec un choix esthétique fort, qui rompt globalement avec les précédentes Prius que nous avons eu l’habitude de voir.
Crédit photo: Toyota
L’occasion de générer un certain enthousiasme autour d’elle, et les chiffres avancés par Toyota concernant la consommation homologuée sous le cycle WLTP de la version hybride rechargeable devraient finir de convaincre les clients.
Crédit photo: Toyota
En effet, même si, nous allons le voir, ces chiffres ne reflètent pas forcément la réalité comme pour la majorité des voitures hybrides rechargeables, ils donnent toutefois une bonne indication sur l’efficience du modèle.
La Toyota Prius PHEV a donc été homologuée sur un cycle combiné entre 0,5 à 0,7 l/100 km, ce qui équivaut à un kilométrage de 200 à 142 km pour un litre de carburant.
Crédit photo: Toyota
De leurs côtés, les émissions de CO2 sont annoncées entre seulement 11 et 16 g/km. La consommation homologuée en électrique se situe entre 11,4 et 12,6 kWh/100 km.
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Ces valeurs record ne sont évidemment possibles que grâce au cycle d’homologation WLTP, qui teste la consommation et les émissions avec une batterie chargée entre 70 et 85 %, sous des conditions proches de la réalité certes, mais qui ne prend pas forcément en compte la totalité des paramètres.
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Si un client ne recharge pas régulièrement la batterie, les consommations d’essence vont fort logiquement grimper en flèche.
D’une manière générale, la manière d’homologuer les voitures hybrides rechargeables pose un problème depuis déjà quelques années.
Crédit photo: Toyota
Même si la Toyota Prius PHEV est l’une des meilleures dans la catégorie avec des consommations sans doute mesurées, même batteries vides, ce n’est pas le cas par exemple pour d’autres modèles comme chez Mercedes, avec le GLC 300 de, l’un des seuls hybrides rechargeables diesels du marché, homologué en cycle combiné à 0,4 l/100 km et entre 10 et 11 g/km de CO2.
Crédit photo: Toyota
Le SUV allemand profite de son immense batterie de 31,2 kWh lui conférant une autonomie comprise entre 112 et 128 km en cycle mixte WLTP pour afficher des consommations record, mais encore faut-il que la batterie soit rechargée, auquel cas les consommations vont aussi grimper en flèche, surtout pour un SUV PHEV dont le poids dépasse les deux tonnes et où l’aérodynamisme n’est pas forcément optimal.
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Pour rappel, la nouvelle Prius PHEV est propulsée par un moteur essence quatre cylindres 2,0 litres et 152 ch associé à un moteur électrique de 163 ch pour une puissance cumulée de 223 ch. La batterie de 13,6 kWh offre une autonomie électrique de 85 km selon le cycle WLTP.
La nouvelle Toyota Prius sera disponible en France mi-2023.
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Toyota vient de dévoiler les consommations homologuées sous le cycle WLTP de sa nouvelle Prius PHEV, et le cycle mixte combiné est annoncé entre 0,5 et 0,7 l/100 km, soit entre 200 et 142 km/l. De quoi mettre en lumière, une nouvelle fois, certaines limites du cycle WLTP.
Il y a quelques mois, Toyota a présenté la cinquième génération de sa Prius, un modèle plutôt étonnant avec un choix esthétique fort, qui rompt globalement avec les précédentes Prius que nous avons eu l’habitude de voir.
L’occasion de générer un certain enthousiasme autour d’elle, et les chiffres avancés par Toyota concernant la consommation homologuée sous le cycle WLTP de la version hybride rechargeable devraient finir de convaincre les clients.
Les limites de l’homologation WLTP pour les PHEV
En effet, même si, nous allons le voir, ces chiffres ne reflètent pas forcément la réalité comme pour la majorité des voitures hybrides rechargeables, ils donnent toutefois une bonne indication sur l’efficience du modèle.
La Toyota Prius PHEV a donc été homologuée sur un cycle combiné entre 0,5 à 0,7 l/100 km, ce qui équivaut à un kilométrage de 200 à 142 km pour un litre de carburant. De leurs côtés, les émissions de CO2 sont annoncées entre seulement 11 et 16 g/km. La consommation homologuée en électrique se situe entre 11,4 et 12,6 kWh/100 km.
Ces valeurs record ne sont évidemment possibles que grâce au cycle d’homologation WLTP, qui teste la consommation et les émissions avec une batterie chargée entre 70 et 85 %, sous des conditions proches de la réalité certes, mais qui ne prend pas forcément en compte la totalité des paramètres. Si un client ne recharge pas régulièrement la batterie, les consommations d’essence vont fort logiquement grimper en flèche.
L’importance d’une batterie chargée
D’une manière générale, la manière d’homologuer les voitures hybrides rechargeables pose un problème depuis déjà quelques années. Même si la Toyota Prius PHEV est l’une des meilleures dans la catégorie avec des consommations sans doute mesurées, même batteries vides, ce n’est pas le cas par exemple pour d’autres modèles comme chez Mercedes, avec le GLC 300 de, l’un des seuls hybrides rechargeables diesels du marché, homologué en cycle combiné à 0,4 l/100 km et entre 10 et 11 g/km de CO2.
Le SUV allemand profite de son immense batterie de 31,2 kWh lui conférant une autonomie comprise entre 112 et 128 km en cycle mixte WLTP pour afficher des consommations record, mais encore faut-il que la batterie soit rechargée, auquel cas les consommations vont aussi grimper en flèche, surtout pour un SUV PHEV dont le poids dépasse les deux tonnes et où l’aérodynamisme n’est pas forcément optimal.
Pour rappel, la nouvelle Prius PHEV est propulsée par un moteur essence quatre cylindres 2,0 litres et 152 ch associé à un moteur électrique de 163 ch pour une puissance cumulée de 223 ch. La batterie de 13,6 kWh offre une autonomie électrique de 85 km selon le cycle WLTP.