Puissant et bien équipé, le Tang s’attaque sans complexes à des modèles à l’image solidement établie.
Les BYD sont garanties 6 ans, et même 8 ans pour les batteries et moteur.
Le Chinois BYD est le nouveau géant de l’automobile électrique, avec 3 millions de voitures écoulées en 2023. Il accélère progressivement sur le marché européen (il vise les 80 points de vente en France à la fin de l’année, contre 21 aujourd’hui), ce qui se traduit au salon de Genève par la présentation de la version rafraîchie du Tang, un SUV à vocation haut de gamme. Long de 4,97 m., il accueille jusqu’à 7 passagers répartis sur trois rangées.
La capacité utile de la batterie atteint 108,8 kWh, ce qui permet à l’auto de revendiquer une autonomie moyenne atteignant 530 km, chiffre dont on peut craindre qu’il soit un peu optimiste. Les amateurs de performances retiendront que la Tang, malgré un poids à vide supérieur à 2,5 tonnes (ce chiffre n’a pas encore été communiqué), abat le 0 à 100 km/s en 4,9 s. Le moteur développe quelques 516 ch, pour un couple de 680 Nm. On peut doubler, donc !
Quand la rangée du fond est rabattue, le volume de coffre oscille entre 530 et 630 litres selon la position de la banquette du milieu (qui ne se rabat qu’en deux parties, selon un découpage 60/40). C’est correct sans plus. Par contre, le volume utile maximal dépasse 1,6 m3 quand les rangs 2 et 3 sont repliés.
Le Tang est bien dessiné, avec un profil plutôt équilibré et dynamique s’agissant d’un SUV.
Je n’aime pas
Par contre, le mufle manque singulièrement de caractère
L’instant Caradisiac
Un nom qui rapellera des souvenirs acidulés à tous les quadragénaires…
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