Fisker détaille l’Alaska, son pick-up électrique annoncé pour 2025. Ce rival du Tesla Cybertruck dispose d’une paroi coulissante qui permet d’étendre sa longueur de chargement. Il est d’ores et déjà proposé en pré-commande, y compris en France.
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Fisker dévoile l’Alaska, un pick-up électrique qui sera lancé en 2025. Design, équipements, autonomie, prix… les premières infos !
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Après avoir présenté quatre nouveaux modèles d’un coup dont trois totalement inédits, Fisker les détaille maintenant un à un. Après la berline cabriolet Ronin, c’est au tour du pick-up Alaska, lui aussi 100 % électrique. Ce concurrent des Tesla Cybertruck et autres Ford F-150 Lightning s’annonce performant, mais aussi astucieux.
Une benne modulable
L’Alaska reprend le langage esthétique introduit sur le SUV Ocean, dont il reprend la plate-forme dans une version modifiée. On retrouve un style épuré, de grandes surfaces planes, des feux horizontaux très fins, des ailes larges et des passages de roues presque « carrés ». Doté de jantes allant de 20 à 22 pouces de diamètre, ce pick-up double-cabine long de 5,30 m, à la garde au sol élevée, est doté d’imposantes protections de carrosserie noires.
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Le dessin est sobre mais musclé.
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Le Fisker Alaska mesure 5,30 m de long.
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L'Alaska reprend la plate-forme et le style de l'Ocean.
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Comme le hayon du SUV Fisker Pear, la paroi Houdini qui sépare l’habitacle de la benne peut coulisser électriquement vers le bas pour disparaître dans le châssis. Cela permet d’étendre l’espace de chargement. D’une longueur de 1,37 m de base, la benne peut ainsi être allongée à 2,29 m en rabattant les sièges arrière. A son autre extrémité, ouvrir le hayon motorisé permet de gagner encore 51 cm. Des panneaux battants permettent de protéger la face extérieure de la paroi Houdini ainsi que le dossier des sièges du premier rang. Un coffre se trouve également sous le capot avant.
Des rangements à l’américaine
L’habitacle du Fisker Alaska se veut tout aussi pratique. La console centrale accueille un porte-gobelet de très grand format ainsi qu’un vaste espace de rangement. Un compartiment est dédié aux gants de travail. Un support pour tablette se trouve face au passager avant. Enfin, détail tout américain s’il en est, un porte-chapeau est fixé au plafond de la partie arrière de la cabine. Un grand écran vertical est visible au centre de la planche de bord, mais les équipements du véhicule n’ont pas encore été détaillés.
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L'Alaska comporte un porte-chapeau.
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Les jantes mesurent jusqu'à 22 pouces de diamètre.
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Les performances du Fisker Alaska
L’Alaska sera proposé avec deux capacités de batterie au choix, l’une de 75 kWh et l’autre de 113 kWh. De quoi offrir entre 370 et 550 km d’autonomie selon le constructeur. Ce dernier n’annonce pas encore la puissance de son pick-up mais promet des accélérations dignes d’une sportive, le chrono sur l’exercice du 0 à 60 mph (96 km/h) allant de 3,9 à 7,2 s en fonction de la configuration. Selon Fisker, l’Alaska sera le pick-up le moins lourd de son segment. Il doit être produit aux Etats-Unis à partir du premier trimestre 2025 et peut être pré-commandé, notamment en France, moyennant un acompte de 250 $ (230 €). Aux Etats-Unis, Fisker table sur un prix de 45 400 $ (41 734 €) en entrée de gamme.
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