- Une Lotus impressionnante !
- Une autonomie qui ne fait pas pâle figure
- Attendez-vous à plus… plus tard
D’abord, replaçons les choses dans leur contexte. Lotus, après avoir dévoilé le SUV Eletre et l’hypercar Evija, nous sort un atout de sa manche : l’Emeya. Auparavant connue sous le nom de Type 133, cette bête électrique a clairement une cible en ligne de mire : la Porsche Taycan. Lotus ne s’en cache pas, qualifiant l’Emeya de “hyper GT électrique”. Alors, faut-il prendre ça au sérieux ? Après tout, c’est comme si votre voisin du dessus se qualifiait de “rockstar” parce qu’il sait jouer trois accords de guitare.
Une Lotus impressionnante !
Lotus Emeya partage le look et la technologie de son grand frère, l’Eletre, mais avec une touche de sportivité. Sa calandre, son diffuseur et son aileron arrière sont mobiles, pas pour vous saluer, mais pour améliorer son aérodynamisme. Elle est peut-être électrique, mais elle n’a pas l’intention de passer inaperçue.
Gardez vos superlatifs au placard, mais avouez que c’est impressionnant. La version la plus musclée de l’Emeya embarque deux moteurs qui crachent ensemble 905 chevaux et 985 Nm de couple. Cela signifie que cette électrique peut atteindre 100 km/h en 2,78 secondes et filer à 256 km/h. Pas mal, hein ? On ne vous parle même pas de l’efficacité diabolique dont elle doit faire preuve en conduite.
Une autonomie qui ne fait pas pâle figure
Attendez-vous à plus… plus tard
Malheureusement, il nous manque encore quelques détails croustillants, comme les tarifs de cette bête électrique. Lotus nous promet que nous en saurons plus d’ici la fin de l’année. Quant à la production, il faudra attendre l’année prochaine pour voir ces Emeya parcourir nos routes. Alors, préparez-vous à être électrisés, mais sans tomber dans les superlatif électrisant.