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Max Verstappen apprend à drifter dans une Mazda RX7

Le Champion du monde de Formule 1 a dû se défaire de ses réflexes pour apprendre à glisser dans une voiture !

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Dans la compétition sur circuit, la glisse est l’ennemie de la performance. Les pilotes sont en permanence en quête d’adhérence pour ne pas perdre du temps en courbe ou à l’accélération. Max Verstappen a pourtant dû se défaire de ses habitudes puisque Red Bull, son équipe en Formule 1, lui a organisé un cours de dift.

“J’aime découvrir de nouvelles disciplines, juste pour tester mes compétences d’une autre façon et apprendre auprès des meilleurs”, a déclaré le double Champion du monde de Formule 1, bien parti pour décrocher une nouvelle couronne mondiale cette année.

Galerie: Max Verstappen apprend à drifter

12 Photos Max Verstappen apprend à drifter dans une Mazda RX7 Max Verstappen apprend à drifter dans une Mazda RX7 Max Verstappen apprend à drifter dans une Mazda RX7 Max Verstappen apprend à drifter dans une Mazda RX7 Max Verstappen apprend à drifter dans une Mazda RX7 Max Verstappen apprend à drifter dans une Mazda RX7 Max Verstappen apprend à drifter dans une Mazda RX7

Verstappen est ainsi allé à la rencontre du Néo-Zélandais Mike Whiddett, surnommé “Mad Mike” et spécialiste du drift dans des Mazda, précisément une RX7 de 1992 dépourvue de toute aide électronique : pas d’antipatinage, d’ABS, ou contrôle de stabilité.

Whiddett n’avait jamais laissé un autre pilote prendre le volant de sa voiture avant de la confier à Verstappen. Il lui a appris à maîtriser différentes figures, des donuts que le Néerlandais a déjà effectué dans sa F1 au “scandi flick”, prendre les virages en drift, en passant par des 8 autour de plots.

Le test final consistait à enchaîner les “high five” avec Christian Horner, patron de Verstappen en F1… ou plutôt sa version en carton, avec des mains agrandies pour l’occasion, que le pilote devait percuter avec l’arrière de la Mazda.

“C’était fou d’apprendre à drifter, je ne savais pas à quoi m’attendre”, a reconnu Verstappen. “Je pense que je n’avais jamais été aussi nerveux depuis deux ans parce que ce n’est pas une façon de piloter qui m’est naturelle. J’avais l’impression d’avoir à nouveau 16 ans et de sauter dans une F1 pour la première fois !”

“Dès que le moteur a démarré et que j’ai commencé à drifter avec les roues qui patinaient, j’ai retrouvé un environnement naturel en trouvant les limites de la voiture, comme je le fais en F1. J’ai senti le même rush d’adrénaline et mon instinct a pris le dessus.”

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